Extinction de masse anthropique...c'est parti mon kiki!

Le réchauffement et les changements climatiques: cause, conséquences, analyses...Débat sur le CO2 et autres gaz à effet de serre.
Christophe
Modérateur
Modérateur
Messages : 80001
Inscription : 10/02/03, 14:06
Localisation : Planète Serre
x 11377

Re: Extinction de masse anthropique...c'est parti mon kiki!




par Christophe » 02/11/18, 11:19

C'est déjà pire que je pensais...selon UNE étude...

Adieu poissons, oiseaux, mammifères, amphibiens et reptiles : 60% des vertébrés ont disparu en 44 ans
Par Coralie Schaub — 30 octobre 2018 à 06:03

D'après «l'indice planète vivante», calculé par la Société zoologique de Londres à partir de 4005 espèces entre 1970 et 2014, et révélé ce mardi dans un rapport de WWF, les populations d'animaux sauvages se sont effondrées. La dégringolade est encore plus marquée dans les zones tropicales.

Notre maison perd la vie qu'elle héberge et nous regardons ailleurs – pour paraphraser Jacques Chirac au Sommet de la Terre de 2002. L’ONG WWF publie ce mardi son dernier rapport «Planète vivante» sur l’état de la biodiversité mondiale. Sans surprise, celui-ci est alarmant, confirmant la tendance ahurissante déjà pointée par les derniers rapports datant de 2016 et 2014. Cette année, l’«indice planète vivante» (IPV, calculé par la Société zoologique de Londres à partir de données scientifiques collectées sur 16 704 populations appartenant à 4 005 espèces de vertébrés), montre qu’entre 1970 et 2014, les populations de vertébrés sauvages (poissons, oiseaux, mammifères, amphibiens et reptiles) ont chuté de 60% au niveau mondial.

La dégringolade est encore plus marquée dans les zones tropicales. L’Amérique du Sud et l’Amérique centrale ont subi le déclin le plus important, avec une perte de 89% des populations en quarante-quatre ans. Le rythme actuel d’extinction des espèces est aujourd’hui 100 à 1 000 fois supérieur à celui qu’a connu la Terre avant que la pression humaine ne devienne un facteur prépondérant.

Danger

La dégradation et la perte d’habitat représentent systématiquement les menaces les plus signalées, dans toutes les régions du monde. En cause, les activités humaines et leurs conséquences : agriculture intensive, dégradation des sols, surexploitation, surpêche, dérèglement climatique, pollution plastique, espèces envahissantes… Avec l’explosion de la demande en ressources naturelles et en énergie, l’empreinte écologique mondiale, qui mesure l’impact des activités humaines sur les ressources naturelles, a doublé en un demi-siècle. Seul un quart des terres a échappé aux activités d’Homo sapiens. Un chiffre qui devrait chuter à seulement 10 % en 2050 si l’on ne change rien, selon l’IPBES (Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques).

Or, insiste l’édition 2018 du rapport «Planète vivante», en s’attaquant au capital naturel de la planète, l’humanité se met elle-même en danger, puisque «tout ce qui fonde nos sociétés humaines, nous le devons à la nature». Le sujet, ce n’est pas seulement l’avenir des tigres, des pandas ou des baleines. C’est aussi celui de la survie même de l’humanité. «Il ne peut y avoir d’avenir sain, heureux et prospère pour les habitants d’une planète au climat déstabilisé, aux rivières asséchées, aux terres dégradées et aux forêts décimées, rappelle Marco Lambertini, le directeur général de WWF International, en préambule du rapport. Il ne peut y avoir de vie sur une planète totalement dépourvue de biodiversité, la toile du vivant dont chacun de nous dépend.»

Ne serait-ce que d’un point de vue purement économique, et quoi qu’en disent les présidents américain, Donald Trump, ou brésilien, Jair Bolsonaro, il est vital de préserver la nature. Selon une étude conduite en 2014 par l’économiste américain Robert Costanza, la nature nous fournit gratuitement des services d’une valeur égale à environ 125 000 milliards de dollars par an. Autrement dit, si l’on devait payer pour de l’air frais, de l’eau potable, l’alimentation, il faudrait débourser bien plus que le PIB mondial, estimé à 80 000 milliards de dollars par an. Le rapport rappelle entre autres qu’un tiers de la production alimentaire mondiale dépend des pollinisateurs (qui comprennent 20 000 espèces d’abeilles, de nombreux autres groupes d’insectes et même des vertébrés comme certains oiseaux et chauve-souris). Ces derniers assurent la pollinisation de plus de 75% des principales cultures vivrières mondiales.

Urgence

Pour enrayer la disparition du vivant partout sur la planète – y compris près de chez nous, des espèces communes il y a peu – et assurer un avenir à l’humanité, le WWF estime urgent que les leaders mondiaux, décideurs publics et privés, comprennent que «la nature est notre seul foyer» et repensent en profondeur notre manière de produire et de consommer. Selon l’ONG, «il ne reste plus beaucoup de temps», cela doit passer par un accord ambitieux sur la protection de la nature qui devrait être adopté en 2020 lors de la conférence mondiale sur la biodiversité à Pékin, avec un objectif de zéro perte nette de biodiversité en 2030.

Au niveau français, le WWF propose au gouvernement plusieurs actions concrètes dans les secteurs ayant un impact majeur sur la biodiversité. En matière d’agriculture, «principale responsable de la disparition de la nature et de 70 % de la déforestation», le WWF France demande ainsi un plan ambitieux de lutte contre la déforestation importée (huile de palme, soja…) et un copilotage de la politique agricole commune (PAC) par les ministères en charge de l’écologie et de l’agriculture.

L’ONG réclame par ailleurs l’abandon du projet Montagne d’or, la mégamine d’or industrielle qui pourrait voir le jour en plein cœur de la forêt amazonienne guyanaise, «symbole d’un modèle de développement du passé qui oppose développement économique et protection de l’environnement». Le WWF France appelle aussi l’exécutif à «mettre en œuvre ses engagements climatiques» en engageant «l’ensemble des acteurs dans la transition vers des formes de mobilité plus durables, avec une loi d’orientation sur les mobilités ambitieuses». Le gouvernement français l’entendra-t-il ? Rien n’est moins sûr. L’exécutif vient d’autoriser Total à forer au large de la Guyane. Et a demandé la semaine dernière aux députés de maintenir l’exonération fiscale dont bénéficie l’huile de palme dans les carburants… au profit de Total et de sa raffinerie de La Mède (Bouches-du-Rhône).

Coralie Schaub


https://www.liberation.fr/france/2018/1 ... ns_1688634
0 x
moinsdewatt
Econologue expert
Econologue expert
Messages : 5111
Inscription : 28/09/09, 17:35
Localisation : Isére
x 554

Re: Extinction de masse anthropique...c'est parti mon kiki!




par moinsdewatt » 03/11/18, 00:25

L' effondrement c'est déjà maintenant :

Les animaux d'eau douce disparaissent en silence

Par Aurélie Delmas et Julien Guillot — 1 novembre 2018 Libération

Image

Les rivières sauvages ont vu les populations de poissons, d'amphibiens et de reptiles chuter de 83% en un peu plus de 40 ans.

Les écosystèmes d’eau douce se dégradent effroyablement depuis 1970… et les populations de poissons s’effondrent. C’est un des constats mis en avant par l'«Indice planète vivante» publié cette semaine par le WWF, et dont on a surtout retenu un autre chiffre très alarmant : la baisse de 60% des vertébrés sauvages de la planète.

Ce rapport qui mesure l’évolution de la biodiversité entre 1970 et 2014 pointe que sur 880 espèces de mammifères, oiseaux, amphibiens, reptiles et poissons observées, les populations ont dégringolé de 83%. Soit 4% par an en moyenne. Les zones tropicales sont celles où le déclin a été le plus marqué, notamment l’Amérique centrale et du Sud où on atteint une baisse de 94%. Des chiffres qui donnent le tournis.

Parmi les raisons avancées par les experts qui ont rédigé le rapport apparaissent la modification et la destruction de l’habitat, les espèces envahissantes, la surpêche, la pollution – notamment plastique – mais aussi les maladies et le dérèglement climatique. Des menaces qui se combinent souvent, entraînant une déclin de la biodiversité.

Plus de 120 000 espèces connues


Lacs, rivières ou zones humides, les écosystèmes d’eau douce, trop peu protégés, couvrent moins de 1% de la planète. Pourtant, ils fournissent un habitat à plus de 120 000 espèces connues : poissons, mollusques, reptiles, insectes, plantes et autres mammifères. On parle là de plus de 10% des animaux connus et environ un tiers des vertébrés.

Mais à l’échelle mondiale, on estime que l’étendue des zones humides, dont on a beaucoup parlé en France à l’occasion des débats sur la construction d’un aéroport à Notre-Dame-des-Landes, a diminué de plus de 50% depuis 1900. Autre problématique : les 50 000 grands barrages qui altèrent les courants sauvages à travers le globe, sans compter la construction planifiée de 3 600 barrages hydroélectriques. Ces infrastructures participent à la segmentation du réseau d’eau douce et modifient le débit naturel des cours d’eau. La quantité d’eau pompée par l’homme (à 70% pour irriger des cultures) et la qualité de l’eau, dégradée par l’eutropisation et les pollutions toxiques, sont également des sujets de préoccupation pour les auteurs du rapport. Enfin, le changement climatique exacerbe les facteurs de stress existants et modifie la température des eaux, changeant les conditions d’habitation.

https://www.liberation.fr/planete/2018/ ... ce_1689037
1 x
Christophe
Modérateur
Modérateur
Messages : 80001
Inscription : 10/02/03, 14:06
Localisation : Planète Serre
x 11377

Re: Extinction de masse anthropique...c'est parti mon kiki!




par Christophe » 03/11/18, 03:55

Bordel...suis né à 0,75, on est à 0,15...
0 x
moinsdewatt
Econologue expert
Econologue expert
Messages : 5111
Inscription : 28/09/09, 17:35
Localisation : Isére
x 554

Re: Extinction de masse anthropique...c'est parti mon kiki!




par moinsdewatt » 03/11/18, 20:15

L’élection du président brésilien Jair Bolsonaro menace la survie de la forêt amazonienne

Thomas Boisson 1 novembre 2018

Jair Bolsonaro, le candidat de l’extrême droite brésilienne à la présidence, a remporté les élections présidentielles dimanche dernier. Notoirement connu pour ses dénégations scientifiques climatiques similaires à celles de Donald Trump, le programme de Bolsonaro, incluant la déforestation et l’industrialisation massives de la forêt amazonienne, provoque l’extrême inquiétude des scientifiques.


Bolsonaro, surnommé le « Trump des Tropiques » et réputé pour ses commentaires anti-gays, misogynes, violents et racistes, s’intéresse également aux politiques environnementales du pays. Et les scientifiques du monde entier sont inquiets. En tant que président du Brésil, Bolsonaro contrôlera près des deux tiers de l’Amazonie, la plus grande forêt tropicale du monde. Il a fait valoir que trop de zones protégées sur le plan environnemental nuisent au développement du pays.

Il a déclaré qu’il envisageait d’ouvrir une autoroute traversant l’Amazone et d’interdire aux organisations non gouvernementales s’occupant de l’environnement, telles que Greenpeace et la WWF, d’agir au Brésil.

Déforestations, industrialisation et menace des populations tribales amazoniennes : les conséquences attendues de la présidence Bolsonaro
Le président a récemment promis aux journalistes que le Brésil resterait dans l’accord de Paris ; l’accord sur le climat envers lequel il s’est montré critique par le passé. Cependant, il est difficile d’imaginer comment le président brésilien continuerait d’honorer cet accord tout en abattant de larges pans de la forêt amazonienne qui contribue, pour une grande partie, à l’écosystème planétaire. Bolsonaro a également annoncé son intention de supprimer le ministère brésilien de l’Environnement

« Ses projets téméraires d’industrialisation de l’Amazonie de concert avec les secteurs de l’industrie agroalimentaire et miniers brésiliens entraîneront des destructions immenses dans la plus grande forêt tropicale humide de la planète et dans les communautés qui l’habitent, et sèmeront la catastrophe dans le climat mondial » déclare Christian Poirier, directeur du programme Amazon Watch.

« Je pense que nous nous dirigeons vers une période très sombre de l’histoire du Brésil » affirme Paulo Artaxo, chercheur en changements climatiques à l’Université de Sao Paulo au Brésil. « Ça ne sert à rien de tourner autour du pot : Bolsonaro est la pire chose qui puisse arriver pour l’environnement »

Geneviève Guenther, qui a fondé EndClimateSilence.org, a déclaré sur Twitter que l’élection de Bolsonaro « garantissait que le Brésil ne ferait rien pour réduire les émissions de pollution et que des superficies inouïes de la forêt amazonienne seraient détruites », tandis que le météorologue Eric Holthaus a fait valoir qu’un programme de privatisation de la forêt que le nouveau président envisage est essentiellement un « suicide planétaire ».

D’autres scientifiques, tels que Jess Phoenix, un volcanologue ayant participé aux primaires démocrates dans le sud de la Californie cet été, ont confirmé cet avis. Certains peuples autochtones vivant dans la forêt ont déclaré craindre que davantage de bûcherons et de mineurs n’empiètent sur leurs habitations sous la présidence de Bolsonaro.

.........
.........

https://trustmyscience.com/president-br ... azonienne/
0 x
Avatar de l’utilisateur
Exnihiloest
Econologue expert
Econologue expert
Messages : 5365
Inscription : 21/04/15, 17:57
x 661

Re: Extinction de masse anthropique...c'est parti mon kiki!




par Exnihiloest » 17/11/18, 15:39

Christophe a écrit :Bordel...suis né à 0,75, on est à 0,15...

Oui, mais on remarque que la courbe de la réduction des animaux d'eau douce est inversement proportionnelle à l'augmentation du PIB sur la même période :

Image

et que cette augmentation du PIB va de pair avec la diminution du temps de travail,

Image

Evidemment apposer des courbes n'est pas preuve de cause à effet, mais on aura du mal à me convaincre que nos méthodes d'amélioration réelle de nos conditions de vie n'auraient pas d'impact négatif sur notre environnement.

Il faut donc savoir ce qu'on veut. Si on veut le beurre et l'argent du beurre, alors tout l'art de l'écologie sera de tenter de faire des omelettes sans casser des oeufs. Je pense que c'est possible, on peut toujours contourner une impossibilité de principe (mais on marche sur des oeufs).
0 x
izentrop
Econologue expert
Econologue expert
Messages : 14161
Inscription : 17/03/14, 23:42
Localisation : picardie
x 1650
Contact :

Re: Extinction de masse anthropique...c'est parti mon kiki!




par izentrop » 17/11/18, 16:06

Christophe a écrit :Bordel...suis né à 0,75, on est à 0,15...
C'est au niveau mondial, ça. En France et en Allemagne, il y a des rivières autrefois polluées qui ont retrouvé une eau claire et poissonneuse.
Pas de références en tête, mais l'industrie textile, du cuir, les abattoires, décharges, égouts étaient très polluants auparavant.
Ce qui n'a pas changé et qui s'est empiré est la pollution atmosphérique, d'ou les 23000 morts du charbon et combien pour les particules fines soupçonnés comme facteur d'autisme et non pas les vaccins, n'est-ce pas :P

Tient, ça va vous remonter le moral ... :twisted: :twisted:
0 x
Avatar de l’utilisateur
Exnihiloest
Econologue expert
Econologue expert
Messages : 5365
Inscription : 21/04/15, 17:57
x 661

Re: Extinction de masse anthropique...c'est parti mon kiki!




par Exnihiloest » 17/11/18, 18:50

izentrop a écrit :...
Ce qui n'a pas changé et qui s'est empiré est la pollution atmosphérique
...

Au contraire.
Le niveau moyen des fumées noire a été divisé par plus de 10 entre la fin des années 1950 (187µg/m³ en 1957) et le milieu des années 1990 (17µg/m³ en 1993), pour tomber à 11µg/m³ en 2014. La pollution par particules dans l'air parisien a donc été divisée par 17. Source : Airparif, bilan annuel.

L'hypothèse linéaire sur laquelle sont basées les estimations de létalité due aux particules, aboutirait au constat de décès à cause des particules fines de 6600x17=112.200 parisiens par an vers le milieu des années 1950 !
Conclusion à tirer de ce rapprochement des chiffres: la pollution de l'air était l'unique cause de décès en région parisienne dans les années 50. Comme quoi il ne faut pas croire tout ce catastrophisme manipulé par l'écologisme politique et relayé par les media.
0 x
Avatar de l’utilisateur
sen-no-sen
Econologue expert
Econologue expert
Messages : 6873
Inscription : 11/06/09, 13:08
Localisation : Haut Beaujolais.
x 786

Re: Extinction de masse anthropique...c'est parti mon kiki!




par sen-no-sen » 17/11/18, 19:08

Exnihiloest a écrit :Conclusion à tirer de ce rapprochement des chiffres: la pollution de l'air était l'unique cause de décès en région parisienne dans les années 50. Comme quoi il ne faut pas croire tout ce catastrophisme manipulé par l'écologisme politique et relayé par les media.


Et la qualité de l'aire à Delhi,Dakar,Munbai,Pékin,Zabol,Gwalior on en fait quoi? C'est du délire d'écologistes...?
La tertiarisation de l'emploi à simplement externalisé la pollution sur des pays périphériques,ce qui veut simplement dire que si l'air est un peu plus pure chez nous c'est qu'il beaucoup moins ailleurs...à l'échelle mondiale la pollution n'a jamais été aussi importante.
0 x
"Le Génie consiste parfois à savoir quand s'arrêter" Charles De Gaulle.
Avatar de l’utilisateur
Exnihiloest
Econologue expert
Econologue expert
Messages : 5365
Inscription : 21/04/15, 17:57
x 661

Re: Extinction de masse anthropique...c'est parti mon kiki!




par Exnihiloest » 23/11/18, 17:27

sen-no-sen a écrit :Et la qualité de l'aire à Delhi,Dakar,Munbai,Pékin,Zabol,Gwalior on en fait quoi? C'est du délire d'écologistes...?

Je n'en sais rien. Plutôt que de faire des insinuations, à toi de répondre à la question et de faire part de la réponse aux écologistes de ces pays, moi je l'ai fait pour Paris.
0 x
Avatar de l’utilisateur
Exnihiloest
Econologue expert
Econologue expert
Messages : 5365
Inscription : 21/04/15, 17:57
x 661

Re: Extinction de masse anthropique...c'est parti mon kiki!




par Exnihiloest » 23/11/18, 17:49

Bonne nouvelle dans ce monde de catastrophes exagérées !

Les ours blancs se portent bien. Trop bien, disent les Inuits.
https://fr.sputniknews.com/internationa ... consensus/

Evidemment, c'est du sputniknews, toutes les suppositions de fake news peuvent être faites.

Mais c'est quand même dans la lignée de ce que disait le Canada il y a 6 ans :
https://www.maxisciences.com/ours-polai ... 23486.html
0 x

Revenir vers « Changement climatique: CO2, réchauffement, effet de serre... »

Qui est en ligne ?

Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 113 invités