écologie réaliste a écrit :sen-no-sen a écrit :Par définition une société de grande dimension tends à devenir naturellement inégalitaire.]
Il me semble qu'il y a toujours eu un chef de tribu, même dans les tribus les plus petites.
Comme dans une meute de loups de 20 individus.
Avec toujours ou presque l'inégalié homme - femme.
dede2002 a écrit :Je pensais aux gazelles qui paissent à proximité des lions, ou aux oiseaux qui nettoient les dents des crocodiles. Une fois je me suis trouvé nez à nez avec un crocodile, il a eu plus peur que moi!
Je reformule donc: on remarque que la plupart des vertébrés sauvages fuient l'humain, même les éléphants. Si c'est inscrit dans leurs gênes, ça fait penser qu'il y a longtemps que l'humain a tout le temps faim
sen-no-sen a écrit :dede2002 a écrit :Je pensais aux gazelles qui paissent à proximité des lions, ou aux oiseaux qui nettoient les dents des crocodiles. Une fois je me suis trouvé nez à nez avec un crocodile, il a eu plus peur que moi!
Je reformule donc: on remarque que la plupart des vertébrés sauvages fuient l'humain, même les éléphants. Si c'est inscrit dans leurs gênes, ça fait penser qu'il y a longtemps que l'humain a tout le temps faim<<< Tous les animaux connaissent la "hiérarchie des prédateurs". L'homme est le plus instable, dangereux et viandard de tous. Normal qu'ils aient la trouille!
Les gazelles qui paissent à proximité des Lions est une forme de "trêve des confiseurs",les lions et lionnes repues ne représentant guère de menace pendant les heures chaudes. <<< Les lions chassent la nuit.
Les oiseaux comme le pluvier adoptent quant à eux une stratégie dite de symbiose:ils trouvent de la nourriture "facile" dans la gueule du crocodile qui lui y trouve des soins dentaires des plus pratiques,c'est gagnant gagnant.<<< Chez les poissons il y a même des "stations de nettoyage" dans des endroits précis!
Dans le cas de l'être humain c'est plus souvent notre attitude bruyante ou maladroite qui fait fuirent la faune plutôt qu'une peur du genre humain. <<< Pas vraiment... J'ai un ami photographe qui se rend compte qu'à chaque fois qu'il "vise" un animal avec son appareil photo, celui-ci s'enfuit alors qu'avant de le faire, il peut l'observer à loisir sans l'effrayer (constaté sur certains oiseaux et les sangliers).
[/quote]GuyGadebois a écrit : Pas vraiment... J'ai un ami photographe qui se rend compte qu'à chaque fois qu'il "vise" un animal avec son appareil photo, celui-ci s'enfuit alors qu'avant de le faire, il peut l'observer à loisir sans l'effrayer (constaté sur certains oiseaux et les sangliers)[/color].
sen-no-sen a écrit :GuyGadebois a écrit : Pas vraiment... J'ai un ami photographe qui se rend compte qu'à chaque fois qu'il "vise" un animal avec son appareil photo, celui-ci s'enfuit alors qu'avant de le faire, il peut l'observer à loisir sans l'effrayer (constaté sur certains oiseaux et les sangliers)[/color].
GuyGadebois a écrit :sen-no-sen a écrit :GuyGadebois a écrit : Pas vraiment... J'ai un ami photographe qui se rend compte qu'à chaque fois qu'il "vise" un animal avec son appareil photo, celui-ci s'enfuit alors qu'avant de le faire, il peut l'observer à loisir sans l'effrayer (constaté sur certains oiseaux et les sangliers)[/color].
Bah dans ce cas c'est l'appareil photo qui fait peur.
Sinon il me semble que Dian Fossey avait assez bien réussi sont incursion chez les gorilles.
Oui, car il rappelle dans la gestuelle qui consiste à viser, le fusil.
Ahmed a écrit :Guy, tu écris:Oui, car il rappelle dans la gestuelle qui consiste à viser, le fusil.
Ça me rappelle une expérience que j'avais faite: à proximité de corbeaux perchés sur des arbres et qui me regardaient tranquillement passer, j'ai levé un bras tendu et aussitôt tous se sont envolés.
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