Les 150 propositions de la CCC

[GuyGadebois]

Pourquoi ne fais tu pas ton BRF à la serpette? C'est techniquement tout-à-fait possible!

Pourquoi ne paies-tu pas des imbéciles pour écrire tes posts ?

[Ahmed]

Si tout était simple, c'est peut-être la réflexion que je ferais?
Lorsque je parle d'outils sophistiqués, je ne fais pas allusion à l'existant, mais à ce qui advient (robotique+IA) et qui est donc susceptible d'induire de profonds changements.

PS: doublé par Guy!

[sicetaitsimple]

Lorsque je parle d'outils sophistiqués, je ne fais pas allusion à l'existant, mais à ce qui advient (robotique+IA) et qui est donc susceptible d'induire de profonds changements.

Il y aurait donc une rupture "brutale" dans l'évolution de la "mécanisation" ou "robotisation" à partir de laquelle elle serait devenue ou deviendrait inacceptable?
A quand la situes-t-elle?

[ABC2019]

Lorsque je parle d'outils sophistiqués, je ne fais pas allusion à l'existant, mais à ce qui advient (robotique+IA) et qui est donc susceptible d'induire de profonds changements.

Il y aurait donc une rupture "brutale" dans l'évolution de la "mécanisation" ou "robotisation" à partir de laquelle elle serait devenue ou deviendrait inacceptable?
A quand la situes-t-elle?

de fait, la réponse est assez claire pour moi : ça n'arrive que quand on commence à réaliser qu'on n'aura plus assez de ressources pour l'entretenir et continuer à la faire croitre.

A ce moment là, on a le réflexe du renard et des raisins :" Ils sont trop verts, et bons pour des goujats !" . Ca permet de se dire que si on arrête, c'est parce qu'on l'a voulu, et pas parce que la Nature s'est chargée de mettre une limite à notre hubris.

[Ahmed]

Sicetaitsimple, je n'ai pas parlé de rupture brutale, mais (relis mon post précédent) ce qui existe a déjà modifié la société et c'est ce qui apparaît qui va continuer de la chambouler.
Tu écris:

A quand la situes-t-elle?

(j'aurais plutôt écris: À quand la situes-tu? )
Cependant, si l'on veut parler de rupture, il faudrait la situer lorsque les progrès de productivité dans un secteur ne trouvent pas un nouveau secteur dans lequel les emplois détruits puissent se reporter massivement. Bien évidemment, il s'agit d'une rupture sociale, puisqu'elle nie la possibilité d'occuper un emploi sans que l'obligation de le faire ne soit supprimée...

PS: je ne m'explique pas la persistance de la causticité de tes propos "à faible valeur contributive"?

[Ahmed]

ABC, nous n'en sommes pas encore là et la discussion reste ouverte à ce sujet. Je pense qu'il convient d'éviter toute explication par l'hubris: j'y avais recours par le passé et j'y ai renoncé car c'est un raccourci trompeur.
La tendance à l'automatisation s'opère dans un cadre économique et, ce qui est intéressant, c'est que ce processus tend à saper les bases de l'économisme. Les critiques s'arrêtent généralement à cette constatation, mais il existe une possibilité, si l'on considère les choses sous l'angle de phases successives fonctionnant chacune selon des règles propres*, que l'économisme cède la place à un stade purement technologique dans lequel l'espèce humaine, ayant rempli son rôle de vecteur provisoire**, subira le même sort que toutes les espèces devenues évolutivement inutiles.

* Et non en commettant l'erreur d'étendre les règles d'une phase à la suivante.
** Dans ce cas, elle aura magistralement prouvé sa foncière stupidité.

[sicetaitsimple]

Sicetaitsimple, je n'ai pas parlé de rupture brutale, mais (relis mon post précédent) ce qui existe a déjà modifié la société et c'est ce qui apparaît qui va continuer de la chambouler.
Tu écris:

A quand la situes-t-elle?

(j'aurais plutôt écris: À quand la situes-tu? )
Cependant, si l'on veut parler de rupture, il faudrait la situer lorsque les progrès de productivité dans un secteur ne trouvent pas un nouveau secteur dans lequel les emplois détruits puissent se reporter massivement. Bien évidemment, il s'agit d'une rupture sociale, puisqu'elle nie la possibilité d'occuper un emploi sans que l'obligation de le faire ne soit supprimée...

PS: je ne m'explique pas la persistance de la causticité de tes propos "à faible valeur contributive"?

il faudrait la situer lorsque les progrès de productivité dans un secteur ne trouvent pas un nouveau secteur dans lequel les emplois détruits puissent se reporter massivement. Bien évidemment, il s'agit d'une rupture sociale, puisqu'elle nie la possibilité d'occuper un emploi sans que l'obligation de le faire ne soit supprimée...
Ca, c'est à forte valeur contributive! Là on sait tout, tout le monde a compris.....
La "faible valeur contributive" de mes propos n'est que ton appréciation personnelle, ce n'est pas forcément à toi seul d'en juger. Tu ne vas quand même pas m'obliger à publier une fois de plus un dessin de Gotlib "Rhââ lovely"concernant les tiens?

PS: sur l’orthographe, la syntaxe ou la grammaire, tu devrais pouvoir publier 5000 posts par mois sur ce forum si c'est ton truc.Merci quand même de ton traitement de faveur.

[Ahmed]

Lorsque je parle de "faible valeur contributive", ce n'est évidemment pas pour qualifier l'ensemble de tes messages, mais seulement ceux qui se limitent à des appréciations ironiques et restrictives, peu propices à un dialogue serein...

En ce qui concerne l'écriture, c'était pour le clin d'oeil, car j'ai renoncé depuis longtemps a relever toutes les impropriétés et malfaçons langagières, sauf si je les juge amusantes ou incompréhensibles...

[sicetaitsimple]

Lorsque je parle de "faible valeur contributive", ce n'est évidemment pas pour qualifier l'ensemble de tes messages,

Dont acte...Mais dans ce cas, n'oublie pas d'en qualifier bien d'autres, plutôt que de les adouber.

[GuyGadebois]

Dont acte...Mais dans ce cas, n'oublie pas d'en qualifier bien d'autres, plutôt que de les adouber.

Il fait ce qu'il veut et n'a nul besoin de ton coaching à la noix.