Les derniers chiffres et conséquences météo du réchauffement climatique

[izentrop]

Les éléments de preuve sont de plus précis, mais la majorité préfère en profiter et se mettre la tête dans le sable, avec des sensibilité ou des niveaux d'aveuglement différents ...

420 ppm de CO2… En route pour l’Eocène !

Au rythme actuel, les 450 ppm, concentration qui sonne officiellement le glas de l’objectif de limiter le réchauffement planétaire à +2°C, seront atteints d’ici une douzaine d’années. En rassemblant tous les gaz à effet de serre, nous sommes même à 504 ppm équivalent CO2. Et nous reculons vers l’Eocène, pourtant à des dizaines de millions d’années de nous. Avec environ 30°C de température moyenne, la Terre ne portait alors aucun glacier…
Et 450 ppm, c’est la concentration à ne pas dépasser en… 2100 pour espérer avoir encore une chance sur deux de limiter le réchauffement planétaire à +2°C, selon les données du GIEC, Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat. Précision: il y a un décalage entre le moment où l’on émet et le moment où ça réchauffe. Le réchauffement actuel de l’ordre de +1,2°C est le résultat des émissions datant d’au moins une dizaine d’années…

Pour retrouver une concentration de CO2 de l’ordre de 420 ppm, il faut changer d’ère géologique, sortir du Quaternaire et remonter au Pliocène moyen, il y a environ 3,6 millions d’années, estime l’agence américaine NOAA, National Oceanic and Admospheric Administration. A cette époque, la température moyenne de la Terre affichait environ 2 degrés de plus qu’aujourd’hui. Même si les continents étaient presque à leur place actuelle, la physionomie de la planète était radicalement différente. Il faisait très chaud dans l’actuelle Europe occidentale et encore plus en allant vers l’équateur. L’océan avançait par de longues échancrures à l’intérieur des terres, la mer Méditerranée remontait profondément la vallée du Rhône. Les eaux étaient torrentielles à la surface du sol. La calotte glaciaire du Groenland n’existait pas et l’Arctique était couvert de forêts. La calotte de l’Antarctique était réduite, à l’ouest comme à l’est. Selon NOAA, le niveau de la mer était supérieur d’environ 24 mètres, ce qui signifie bien sûr que tous les littoraux actuels seraient engloutis... https://dr-petrole-mr-carbone.com/420-p ... -l-eocene/

[ABC2019]

Les éléments de preuve sont de plus précis, mais la majorité préfère en profiter et se mettre la tête dans le sable, avec des sensibilité ou des niveaux d'aveuglement différents ...

420 ppm de CO2… En route pour l’Eocène !

Au rythme actuel, les 450 ppm, concentration qui sonne officiellement le glas de l’objectif de limiter le réchauffement planétaire à +2°C

pourquoi ça ?

, seront atteints d’ici une douzaine d’années. En rassemblant tous les gaz à effet de serre, nous sommes même à 504 ppm équivalent CO2. Et nous reculons vers l’Eocène, pourtant à des dizaines de millions d’années de nous. Avec environ 30°C de température moyenne, la Terre ne portait alors aucun glacier…
Et 450 ppm, c’est la concentration à ne pas dépasser en… 2100 pour espérer avoir encore une chance sur deux de limiter le réchauffement planétaire à +2°C, selon les données du GIEC, Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat. Précision: il y a un décalage entre le moment où l’on émet et le moment où ça réchauffe. Le réchauffement actuel de l’ordre de +1,2°C est le résultat des émissions datant d’au moins une dizaine d’années…

d'où ça sort ces calculs ?
en une dizaine d'années, ça ne se réchauffe que de 0,15°C de toutes façons, c'est pas avec ça qu'on va atteindre 2°C

et le 1,2°C était le pic obtenu à cause d'un El Niño exceptionnel, c'est pas le réchauffement moyen, depuis ça a bien redescendu

Pour retrouver une concentration de CO2 de l’ordre de 420 ppm, il faut changer d’ère géologique, sortir du Quaternaire et remonter au Pliocène moyen, il y a environ 3,6 millions d’années, estime l’agence américaine NOAA, National Oceanic and Admospheric Administration.

vu que c'etait le CO2 qui suivait la température et pas l'inverse, le lien entre CO2 et température n'était pas du tout le meme avant, on en a déjà parlé je crois ?

[Forhorse]

Les mecs ils doivent vivre dans une grotte et ne jamais mettre le nez dehors c'est pas possible autrement...

[ABC2019]

Les mecs ils doivent vivre dans une grotte et ne jamais mettre le nez dehors c'est pas possible autrement...

oui c'est ça y a des gens qui racontent n'importe quoi sans regarder les calculs et les observations



on est à un plus de 1°C avec 420 ppm, en ayant pris 140 ppm depuis le début (concentration initiale à 280 ppm) , donc pour moi 450 ppm c'est 30 ppm de plus soit 20 % de plus, donc comment on passe de 1°C à 2°C avec 20 % de plus ?

T"as raison , le probleme est que les gens écrivent et répètent n'importe quoi sans jamais rien vérifier.

[izentrop]

Et y en a qui rebootent sans cesse sur les mêmes bugs.

Les catastrophes climatiques dans le monde en cartes
Un rapport du Bureau des Nations Unies pour la réduction des risques de catastrophe (UNSDIR), donne un aperçu général des tendances à l’œuvre. Sécheresses, incendies, tempêtes et températures extrêmes sont des phénomènes que l’on peut imputer au réchauffement climatique, contrairement aux tremblements de terre, éruptions volcaniques et glissements de terrain. Or ce sont bien ces manifestations liées aux évolutions de température qui ont connu l’augmentation la plus importante sur les vingt dernières années.

Entre 2000 et 2019, 6.304 d’entre elles ont été répertoriées dans le monde contre près de moitié moins (3.402) entre 1980 et 1999. Ces catastrophes, plus nombreuses, sont aussi plus intenses. Si elles font moins de morts, elles font plus de blessés et affectent plus de personnes dont le domicile est détruit et les sources de revenus perdues. En outre, leur impact économique est de plus en plus lourd. Il atteint 2.004 milliards de dollars sur les vingt dernières années, soit à peu l’équivalent du montant affecté par l’Europe à la reconstruction post-Covid du continent pour la période 2021-2027... https://planete.lesechos.fr/enquetes/le ... artes-8070

[ABC2019]

Et y en a qui rebootent sans cesse sur les mêmes bugs.

oui comme tu dis , y en a qui rebootent sans cesse sur les mêmes bugs, parce que donner ces chiffres sans tenir compte de la croissance démographique, de la croissance économique, et du phénomène de littoralisation ( https://fr.wikipedia.org/wiki/Littoralisation ), faut oser quand même ...

vous avez remarqué que la plupart des inondations ont lieu dans des zones qui étaient juste inhabitées avant ?

mais bon ils reconnaissent au moins que ça fait de moins en moins de morts, c'est déjà ça ...

[izentrop]

Surveillance Banquise Arctique
Une autre circulation atmosphérique nouvellement identifiée favorise les vagues de chaleur et les incendies autour de l'Arctique. Communiqué conjoint de l'Université d'Hokkaido, du Centre de recherche en sciences et technologies avancées, de l'Université de Tokyo, de l'Institut national des sciences et technologies d'Ulsan et de l'Université de Mie. 02 juin 2021
Les scientifiques ont découvert un modèle climatique estival dans et autour de l'Arctique qui pourrait entraîner l’apparition des vagues de chaleur européennes et des incendies de forêt de grande ampleur et une pollution atmosphérique au-dessus de la Sibérie et de l'Amérique du Nord subpolaire. https://www.global.hokudai.ac.jp/blog/n ... the-arctic

Les relations entre les TCA, les vagues de chaleur, les feux de forêt et la pollution. Des anticyclones anormaux caractérisent la circulation atmosphérique qui se développe simultanément dans les trois régions éloignées autour de l’Arctique estival (juillet et août). Les auteurs l’ont nommé le modèle de vague circumarctique (TCA). Ces anticyclones induisent des conditions chaudes et sèches de la surface vers la moyenne troposphère. Les TCA peuvent entraîner des vagues de chaleur et des feux de forêt; la fumée des feux de forêt émet également des aérosols qui augmentent les PM2,5 dans et autour de l’Arctique (Teppei J. Yasunari, et al. Environmental Research Letters. 17 mai 2021).

[Christophe]

Pas un chiffre, un fait...Une tornade a dévasté quelques rues de Beauraing dans le sud de la Belgique hier...

Rappelant un fait similaire d'il y a quelques années dans le Nord de la France je sais plus trop où...

https://www.rtbf.be/info/regions/namur/ ... d=10787384

https://www.rtbf.be/info/societe/detail ... d=10787488

Des murs en parpaings qui tombent c'est significatif de la violence du truc :

[Christophe]

Alors les Grand Duc, on répond quoi à ça ?

Combien de delta de ppm de CO2 pour doubler la quantité de chaleur "reçue" par la Terre ?

La quantité de chaleur absorbée par la Terre a doublé depuis 2005

L’ampleur de cette augmentation est sans précédent, a averti un chercheur de la Nasa, auteur principal d’une nouvelle étude, rapporte Business Insider.



Parce que les ppm on s'en cale la loche un peu finalement (surtout Mr et Madame Ducon-Sumérisme)...ce qui compte c'est les conséquences de ces ppm soit le forçage radiatif soit la quantité de chaleur conservée sur Terre soit les températures ressenties...

Un doublement en 15 ans c'est probablement la fin de la vie humaine à l'horizon 2100 sinon un génocide climatique massif !!!

On est pas dans la mouise ! Tout ça à cause de la vénalité de quelques fils de péripatéticienne qui voulaient pas revenir sur leur privilèges !

Une mauvaise nouvelle pour la planète, une de plus. La quantité de chaleur absorbée par la Terre a doublé depuis 2005, ont signalé des chercheurs de la Nasa et de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) dans une nouvelle étude, relayée par Business Insider. « Le déséquilibre énergétique de la Terre a approximativement doublé au cours de la période de 14 ans, allant de 2005 à 2019. »

Pour cette étude, les chercheurs ont utilisé une série de satellites et un réseau de flotteurs océaniques et ont comparé les données. « Elles montrent toutes deux cette tendance très importante, ce qui nous donne une grande confiance dans le fait que ce que nous voyons est un phénomène réel et pas seulement un artefact instrumental », a expliqué Norman Loeb, chercheur à la Nasa et auteur principal de l'étude.

Une augmentation dont l'ampleur est « sans précédent »

Les gaz à effet de serre, qui sont issus de l'activité humaine, piègent en effet la chaleur dans l'atmosphère, engendrant la fonte des neiges et des glaces. Cela entraîne ainsi une hausse de la vapeur d'eau dans l'atmosphère, qui empêche alors le rayonnement de s'échapper. Ce « rayonnement infrarouge thermique » que la Terre renvoie normalement dans l'espace se retrouve bloqué et provoque ainsi le déséquilibre énergétique.

« Les tendances que nous avons identifiées étaient assez alarmantes en un sens », a prévenu Norman Loeb. Une augmentation dont l'ampleur est « sans précédent » et inquiétante pour la Terre.

[GuyGadeboisLeRetour]

Comme pour la tornade belge, tu confonds là aussi avec la météo. Tu sais, le Co2, ça va, ça vient et puis c'est formidable pour les plantes et reverdir la pla-pas-nette.