Si c'est avéré, je me suis bien planté avec avec mes 45°C à l'horizon 2025-2030...



Christophe a écrit :
On va se marrer !! Hein les c0nnards ?
canicule_juillet_2022.jpg
Cela dit, les bulles de chaleurs retenues par les gaz à effet de serre sont un fait.GuyGadeboisLeRetour a écrit :Ne confondriez-vous pas une fois de plus réchauffement global et météo ?![]()
https://www.tf1info.fr/meteo/canicue-va ... 25277.htmlUn scénario isolé
Le modèle de prévision utilisé sur la carte est authentique. Il s'agit du Global Forecast System (GFS), un outil du National Weather Service. En libre accès sur internet, il a été mis en place, comme son nom l'indique, par les États-Unis, ce qui en fait un outil peu précis sur des échelles comme la France. Ceci dit, il fait partie des premiers modèles à avoir alerté sur la vague de chaleur qui avait touché le pays en juin dernier. Toujours est-il que ce scénario présente de nombreuses limites.
Une carte diffusée sur les réseaux sociaux montre des températures caniculaires pour les semaines à venir.
Elle prévoit des chaleurs allant jusqu'à 46°C le 18 juillet.
Les prévisionnistes de Météo-France appellent à la plus grande précaution face à ces modèles.
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Après avoir connu des records de températures en juin, la France attend avec appréhension les chaleurs estivales. Or, ce dimanche 3 juillet, une carte affichant un "temps saharien" sur l'Hexagone a circulé en ligne. À travers le pays, les températures affichées pour le 18 juillet dépassent systématiquement les 40°C allant même jusqu'à 46 degrés sur la partie ouest du pays. De quoi redouter un mois de juillet à haut risque ?
Un scénario isolé
Le modèle de prévision utilisé sur la carte est authentique. Il s'agit du Global Forecast System (GFS), un outil du National Weather Service. En libre accès sur internet, il a été mis en place, comme son nom l'indique, par les États-Unis, ce qui en fait un outil peu précis sur des échelles comme la France. Ceci dit, il fait partie des premiers modèles à avoir alerté sur la vague de chaleur qui avait touché le pays en juin dernier. Toujours est-il que ce scénario présente de nombreuses limites.
Tout d'abord, l'échéance est trop lointaine pour être fiable. Auprès de TF1info, Patrick Galois appuie cet argument sur la théorie de l'effet papillon. À savoir, s'il fallait vulgariser, "qu'en météo, un simple phénomène anecdotique peut, à long terme, provoquer des phénomènes météorologiques importants". Or, comme le souligne le prévisionniste à Météo-France, la "prévisibilité de l'atmosphère" est "assez limitée au-delà de dix jours". Comprendre par là que les spécialistes ne connaissent pas parfaitement l'état de l'atmosphère.
D’ailleurs, jamais l'outil du National Weather Service ne prétend faire des prévisions précises sur un tel délai. Le modèle, mis à jour toutes les six heures, permet simplement de donner une simulation à un instant T. Si bien qu'entre la simulation citée par les internautes dimanche matin et celle visible en ligne ce dimanche soir, la France avait perdu dix degrés.
izentrop a écrit :Cela dit, les bulles de chaleurs retenues par les gaz à effet de serre sont un fait.GuyGadeboisLeRetour a écrit :Ne confondriez-vous pas une fois de plus réchauffement global et météo ?![]()
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