La bonne santé ou pas des organismes marins est multifactorielle.
...pourtant la prospérité des végétaux terrestres profite à fond de l'augmentation de CO², sans que n'interviennent les autres facteurs, selon le même auteur...
La bonne santé ou pas des organismes marins est multifactorielle.
Pour la première fois aujourd'hui, une étude financée par l'Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (Noaa) montre les conséquences de cette acidification sur la vie marine.
ABC2019 a écrit :Pour la première fois aujourd'hui, une étude financée par l'Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (Noaa) montre les conséquences de cette acidification sur la vie marine.
pour la première fois ? ça veut dire que la seule chose qu'on ait observée jusqu'à maintenant, c'est quelques dommages à la carapace de larves d'une espèce de crabe ?
Qui ça ? On ne peut pas tout savoir.Ahmed a écrit :...pourtant la prospérité des végétaux terrestres profite à fond de l'augmentation de CO², sans que n'interviennent les autres facteurs, selon le même auteur...La bonne santé ou pas des organismes marins est multifactorielle.
Exnihiloest, et sans les nuances que tu apportes (et auxquelles je souscris).Qui ça ?
GuyGadebois a écrit :ABC2019 a écrit :Pour la première fois aujourd'hui, une étude financée par l'Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (Noaa) montre les conséquences de cette acidification sur la vie marine.
pour la première fois ? ça veut dire que la seule chose qu'on ait observée jusqu'à maintenant, c'est quelques dommages à la carapace de larves d'une espèce de crabe ?
C'est pas comme s'il n'y avait pas autres choses qu'on n'a pas encore observé...C'est juste qu'on découvre tous les jours de nouvelles causes et de nouveaux effets du désastre en route.
Sur les coraux aussi:
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Climat: record absolu de températures à Moscou en janvier
AFP VIDEO•05/02/2020
L'agence russe de météorologie indique que la température moyenne dans la capitale russe en janvier a été la plus chaude jamais enregistrée depuis le début des relevés il y a 141 ans. La capitale russe traverse actuellement un hiver étrangement doux qui inquiète dans un pays particulièrement exposé au changement climatique. En décembre 2019, les températures à Moscou avaient ainsi facilement dépassé les quatre degrés, alors que la moyenne habituelle est de -6°.
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