izentrop a écrit :Les etudes de plus en plus alarmistes se succèdent.Sans compter les zones mortes de plus en plus grandes, la baisse de l'oxygène et l'acidification des océans.il ne s'agira pas de vivre dans un monde un peu plus chaud (certains disent même plus agréable en se croyant déjà à la plage), mais sur une planète invivable pour l'humanité ! C'est la nouvelle alerte publiée dans le journal Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS). https://www.notre-planete.info/actualit ... non-retour
c'est un article de 2018, en plus vide de toute estimation quantitative, que du blabla avec un schéma à peu près incompréhensible ...
De fait les simulations recensées par le GIEC ne montrent aucune rétroaction forte non linéaire.