- le réchauffement climatique
- la surpopulation
- la famine
- autre
C'est un peu la méthode Thanos...
Gaston a écrit :Une bonne épidémie qui éradiquerait 70% de la population mondiale ne pourrait-elle pas, in fine, sauver (au moins provisoirement) l'humanité de sa fin programmée par (rayez les mentions inutiles) :
- le réchauffement climatique
- la surpopulation
- la famine
- autre
C'est un peu la méthode Thanos...
sen-no-sen a écrit :...
Il y a de forte probabilité qu'une pandémie mondiale frappe l'humanité dans les décennies à venir du fait notamment de la libération de virus sectorisés dans des zones forestières tropicales victime de la déforestation ou du dégel du pergélisol .
...
Gaston a écrit :Une bonne épidémie qui éradiquerait 70% de la population mondiale ne pourrait-elle pas, in fine, sauver (au moins provisoirement) l'humanité de sa fin programmée par (rayez les mentions inutiles) :...
- le réchauffement climatique
- la surpopulation
- la famine
- autre
À tout moment, une pandémie mondiale potentiellement mortelle pourrait éclater et anéantir une grande partie de l’humanité. C’est en tout cas ce que veut faire savoir l’OMS, qui parle de 100 millions de morts.
L’information nous vient de Tedros Adhanom, directeur général de l’Organisation mondiale de la Santé. Selon Tedros, qui a pris la parole il y a quelques jours lors du Sommet mondial des gouvernements à Dubaï, l’absence de couverture sanitaire universelle est la plus grande menace pour la santé mondiale. Le chercheur rappelle par la même occasion que 3,5 milliards de personnes dans le monde n’ont toujours pas accès aux services de santé essentiels.
Devant un auditoire soudain mal à l’aise, il a déclaré que « c’est ce qui s’est passé il y a exactement 100 ans lors de l’épidémie de grippe espagnole », non sans rappeler que l’humanité n’était pas à l’abri d’une nouvelle catastrophe de ce genre. « Une épidémie dévastatrice pourrait commencer dans n’importe quel pays et tuer des millions de personnes parce que nous ne sommes pas encore préparés ».
Mais en raison du coût important des soins, près de 100 millions de personnes dans le monde se retrouvent dans l’extrême pauvreté.
Seul mammifère volant, cet animal transmet des maladies dangereuses pour les hommes. Comme la fièvre Ebola, qui a tué 6 000 personnes en Afrique en moins d'un an.
Lorsque l'on parle de chauve-souris, on pense à sa capacité à dormir suspendue, la tête vers le bas, ou alors à Batman… Mais pour les scientifiques, ces animaux volants sont surtout associés aux virus, car ils sont porteurs de maladies. Depuis cet été, les scientifiques sont quasiment sûrs que ces mammifères volants sont à l'origine de l'épidémie d'Ebola qui s'est déclarée dans le sud de la Guinée, il y a presque un an. Un singe aurait été en contact avec une chauve-souris infectée. Le primate serait devenu un vecteur de la maladie avant d'être manipulé puis dépecé par les humains, qui auraient été contaminés en le mangeant (voir infographie page suivante). Depuis, le virus a poursuivi son chemin. Début décembre, on recensait plus de 16 000 cas en Afrique, où l'épidémie a déjà fait environ 6 000 morts.
Comment le virus se transmet
et se propage-t-il ?
La chauve-souris frugivore, également connue sous le nom de roussette, du genre Pteropus est un réservoir hôte naturel des virus Nipah et Hendra. Le virus est présent dans l’urine des roussettes et éventuellement dans les fèces, la salive et les liquides libérés lors de la mise bas des chauves-souris. Les fermes d’élevage de porcs malais dans
lesquels la maladie est apparue pour la première fois possédaient des arbres fruitiers qui ont attiré les chauves-souris de la forêt tropicale, peut-être à la suite de programmes de déforestation. Les porcs domestiques ont été exposés à l’urine et aux fèces de chauves-souris, que l’on pense être à l’origine de l’infection porcine qui s’est ensuite propagée rapidement dans le cadre de l’élevage intensif de porcs. En outre, la transmission entre exploitations peut être imputable à la présence du virus sur les vêtements, l’équipement, les bottes ou dans les véhicules par exemple
Un virus issu de la chauve-souris
Comme de nombreuses infections émergentes, Nipah est issu de la déforestation, qui met à jour des pathogènes jusque-là inconnus. La première épidémie a été recensée en 1998 en Malaisie, dans le village de Sungai Nipah qui a donné son nom au virus. En un an, l’épidémie avait infecté 300 personnes et fait une centaine de victimes.
Nipah a pour réservoir naturel une grande chauve-souris frugivore appelée Pteropus. Nomade, elle peut voyager sur plus de 600 km, disséminant le virus sur de longues distances. En général, la contamination se fait par l’intermédiaire du porc d’élevage, mais ce n’est pas systématique. La dernière épidémie, recensée entre 2001 et 2007 au Bangladesh, a débuté du fait de la consommation de jus de dattier contaminé par des déjections de chauve-souris.
Heureusement un vaccin a été rapidement mis au point contre Ebola. https://www.letemps.ch/sciences/cette-y ... irus-ebola et a permis d'enrailler l'épidémie, n'en déplaise à Janic.
janic a écrit :Heureusement un vaccin a été rapidement mis au point contre Ebola. https://www.letemps.ch/sciences/cette-y ... irus-ebola et a permis d'enrailler l'épidémie, n'en déplaise à Janic.
...Contrairement à toi, Janic lit TOUT l’article, lui,...
Evidemment pas toi, cela demande tout de même un esprit d'analyse suffisant!...Contrairement à toi, Janic lit TOUT l’article, lui,...
et n'en tire que ce qui l'arrange, dans un flooding illisible (c'est d'ailleurs positif, je me demande qui va lire ce fatras).
C'est le même discours qui a été tenu pour chaque nouveau vaccin. Le vaccin contre la variole avait aussi été considéré comme "efficace" et cela a été une catastrophe sanitaire. C'est beau la foi aveugle!Après des difficultés de mise au point, le dernier vaccin contre ebola est un succès car rappelons-le, c'est une personne sur deux qui sans vaccin meurt d'ebola.
"Le rVSV-ZEBOV avait alors démontré une efficacité de l'ordre de 75 à 100% chez 7651 personnes d'après la revue The Lancet."
Exnihiloest a écrit :Et connaissant les Russes, ils ne prennent aucune précaution bactériologique
Quelle bonne nouvelle !
Enfin un pays où n'a pas cours le principe de précaution, qui rend aujourd'hui les esprits occidentaux complètement timorés !
Je reprends espoir, il y a encore des hommes qui avancent, l'humanité n'est peut-être pas foutue.
Revenir vers « Changement climatique: CO2, réchauffement, effet de serre... »
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 96 invités