Rendement poêle à bois et température des fumées
Le lien n'est pas suffisament exaustif?
Je pense que sur wiki, tu as tous se que tu veux...
En tous cas rien ne vaux un bon cours de transferts thermiques ;)
En parlant de ça j'ai un exam de ça demain, et je doit vraiment m'y mettre... Dsl
PS : Attention, je ne sais plus si le thermomètre infrarouge prend en compte l'environnement. Je crois que si, mais demain, promis je vous fait un p'tit cours de rayonnement express ;)
Je pense que sur wiki, tu as tous se que tu veux...
En tous cas rien ne vaux un bon cours de transferts thermiques ;)
En parlant de ça j'ai un exam de ça demain, et je doit vraiment m'y mettre... Dsl
PS : Attention, je ne sais plus si le thermomètre infrarouge prend en compte l'environnement. Je crois que si, mais demain, promis je vous fait un p'tit cours de rayonnement express ;)
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rermarques combustion rendement pollution
Vu les températures en sortie 200°C à l'extérieur et plus dans les gaz le rendement est faible et le tuyau d'évacuation assez long sert d'échangeur pour chauffer et améliorer le rendement si la chaleur va dans la maison!! Il faut mesurer la température des gaz réelle avec un thermocouple ou sonde dans ces gaz (plus exact).
A voir le poêle trop court comme échangeur on peut deviner ce problème.
Ce sujet des étapes de combustion est crucial encore plus que la température des gaz en sortie car le contrôle sérieux de la combustion détermine la pollution, le rendement et la quantité des cendres!
Chaque étape doit être comprise et contrôlée.
Le séchage préliminaire (fait avant achat pour les granulats) devrait être possible sur une bonne chaudière dans une chambre avec échangeur à part, puis la pyrolyse dans une chambre sans entrée d'air, les gaz récupérés sans entrée d'air brulés ailleurs et enfin la combustion du charbon résiduel laissant peu de cendres.
La remarque sur les dioxines est importante : il ne faut jamais bruler du bois ayant trempé dans l'eau de mer sinon taux de dioxine astronomique! Au bord de la mer à ce sujet méfiez vous de vos voisins qui font de la dioxine !!!
Il serait bon d'informer plus sur les conditions favorisant les dioxines, sel de mer, température des gaz trop moyenne longtemps mal brulés. Ces gaz devraient être recyclés à très chaud pour destruction de la pollution?. On va finir avec catalyseur ou filtre à particules comme pour les pots d'échappement .
A voir le poêle trop court comme échangeur on peut deviner ce problème.
Ce sujet des étapes de combustion est crucial encore plus que la température des gaz en sortie car le contrôle sérieux de la combustion détermine la pollution, le rendement et la quantité des cendres!
Chaque étape doit être comprise et contrôlée.
Le séchage préliminaire (fait avant achat pour les granulats) devrait être possible sur une bonne chaudière dans une chambre avec échangeur à part, puis la pyrolyse dans une chambre sans entrée d'air, les gaz récupérés sans entrée d'air brulés ailleurs et enfin la combustion du charbon résiduel laissant peu de cendres.
La remarque sur les dioxines est importante : il ne faut jamais bruler du bois ayant trempé dans l'eau de mer sinon taux de dioxine astronomique! Au bord de la mer à ce sujet méfiez vous de vos voisins qui font de la dioxine !!!
Il serait bon d'informer plus sur les conditions favorisant les dioxines, sel de mer, température des gaz trop moyenne longtemps mal brulés. Ces gaz devraient être recyclés à très chaud pour destruction de la pollution?. On va finir avec catalyseur ou filtre à particules comme pour les pots d'échappement .
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Pour le rendement, c'est :
rendement = chaleur utile / PCS
(puisque vous avez de condensats)
Hréactifs + PCS - pertes - H produits= chaleur utile
Avec H = somme [masse * capacité thermique * (température mesurées - température référence )]
La capacité est prise entre les deux températures
La température mesurée est celle des fumées pour les produits et celle de l'air pour les produits; La température de référence est généralement 0°C
Attention, en utilisant un thermomètre infrarouge, il faut bien les corrigées
rendement = chaleur utile / PCS
(puisque vous avez de condensats)
Hréactifs + PCS - pertes - H produits= chaleur utile
Avec H = somme [masse * capacité thermique * (température mesurées - température référence )]
La capacité est prise entre les deux températures
La température mesurée est celle des fumées pour les produits et celle de l'air pour les produits; La température de référence est généralement 0°C
Attention, en utilisant un thermomètre infrarouge, il faut bien les corrigées
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Bonne remarque de dedeleco :
Ne pas prendre en compte les pertes si il sagit d'un poêle. C'est plutôt pour une chaudière qu'il faut les prendres en compte. Le bilan ne devrais pas être trop dur à faire rien qu'avec les température extérieur et de sortie. Si on avais également le débit d'air entrant et la composition du bois...
Ne pas prendre en compte les pertes si il sagit d'un poêle. C'est plutôt pour une chaudière qu'il faut les prendres en compte. Le bilan ne devrais pas être trop dur à faire rien qu'avec les température extérieur et de sortie. Si on avais également le débit d'air entrant et la composition du bois...
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solution peu fatiguante
Au lieu de rechercher la valeur inconnue de l'émissivité, et de rester dans le cirage, vous mesurez T en collant un thermomètre ordinaire allant au moins à 100°C sur le tuyau, isolé avec de un peu de laine de verre, (valeur de T exacte à quelques degrés près) et vous comparez avec la lecture du thermomètre infrarouge!
De toute manière dans ces conditions le rendement est faible.
Les poêles à trop fort régime ont un mauvais rendement, car les gaz n'ont pas le temps de se refroidir pour chauffer avant de sortir.
De toute manière dans ces conditions le rendement est faible.
Les poêles à trop fort régime ont un mauvais rendement, car les gaz n'ont pas le temps de se refroidir pour chauffer avant de sortir.
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Si tu l'isole, tu perd encore plus d'info qu'avec la méthode infrarouge ...
De toute façon on peux calculer l'emissivité rien qu'en mesurant la température, mais avec le poêle éteint... Je reste persuadé qu'on est pas loin. Alors, ce qui nous manque, c'est :
Température extérieur? (mesurée avec un bon vieux thermomètre à alcool)
Quel est le bois utilisé?
Mesure du thermomètre à froid?
Débit entrant d'air et de bois?
On pourrais même faire varier le débit, se serais vraiment cool...
Je pense que le protocole est pertinent et la question intéressante
De toute façon on peux calculer l'emissivité rien qu'en mesurant la température, mais avec le poêle éteint... Je reste persuadé qu'on est pas loin. Alors, ce qui nous manque, c'est :
Température extérieur? (mesurée avec un bon vieux thermomètre à alcool)
Quel est le bois utilisé?
Mesure du thermomètre à froid?
Débit entrant d'air et de bois?
On pourrais même faire varier le débit, se serais vraiment cool...
Je pense que le protocole est pertinent et la question intéressante
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remarque pratique faire simple
Si on veut le rendement précis on risque de ne jamais finir car l''énergie ou enthalpie maximale disponible dans le bois dépend des conditions choisies pour la mesurer en laboratoire ou le même problème de qualité et du mode de la combustion existe.
La température de mesure intervient pourquoi 0°C plutôt que 20°C, pression ou volume constant ou entre les deux, mode de décomposition et qualité de combustion (crucial). Pour une seule molécule comme l'alcool cela est clair dans les tables ( et encore alcool à 90° ou 100°) mais pour le bois rien n'est clair : espèce, taux d'humidité, densité et composition fonction du lieu de croissance et du temps années humides ou sèches. C'est sans fin!!
On peut supposer que la combustion du bois est à peu prés complète sans trop d'imbrulés et alors les températures avant et après l'échangeur (sans entrée d'air annexe) suffisent à indiquer combien de la chaleur disponible dans ces conditions est perdue. On peut mesurer la proportion d'imbrulés (charbon de bois) pour corriger mais tant que la proportion en poids de cendres est faible l'erreur reste faible.
On peut corriger par la chaleur spécifique des gaz brulés en fonction de la température et du taux de vapeur d'eau pour l'essentiel avec même la proportion d'air et de CO2.
Trop compliqué à mon avis si on veut juste tester si le rendement est déplorable ou correct.
La température de mesure intervient pourquoi 0°C plutôt que 20°C, pression ou volume constant ou entre les deux, mode de décomposition et qualité de combustion (crucial). Pour une seule molécule comme l'alcool cela est clair dans les tables ( et encore alcool à 90° ou 100°) mais pour le bois rien n'est clair : espèce, taux d'humidité, densité et composition fonction du lieu de croissance et du temps années humides ou sèches. C'est sans fin!!
On peut supposer que la combustion du bois est à peu prés complète sans trop d'imbrulés et alors les températures avant et après l'échangeur (sans entrée d'air annexe) suffisent à indiquer combien de la chaleur disponible dans ces conditions est perdue. On peut mesurer la proportion d'imbrulés (charbon de bois) pour corriger mais tant que la proportion en poids de cendres est faible l'erreur reste faible.
On peut corriger par la chaleur spécifique des gaz brulés en fonction de la température et du taux de vapeur d'eau pour l'essentiel avec même la proportion d'air et de CO2.
Trop compliqué à mon avis si on veut juste tester si le rendement est déplorable ou correct.
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utilité d'isoler
Le thermomètre collé sur son support (tuyau) n'a la même température que son support que si l'air froid extérieur ne le refroidit pas. Donc on l'isole avec un peu de laine de verre de la taille du thermomètre et on mesure la température exacte du support. C'est pareil avec un thermomètre médical, on le met en bon contact isolé de l'extérieur pour mesurer la fièvre du malade.
Le thermomètre infrarouge mesure sur le support en dehors de la laine de verre sa température apparente et ainsi on étalonne T infrarouge.
Le thermomètre infrarouge mesure sur le support en dehors de la laine de verre sa température apparente et ainsi on étalonne T infrarouge.
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Je crois pas que l'on doivent prendre en compte le tube isolé ici...
Pour le thermomètre, je croyais que tu voulais le mettre entre le tube et le thermocouple... Donc inutile, hors se n'est pas le cas dans le montage que tu propose ;)
Je pense qu'avant de passer en comble, on est à plus de 100°C, donc on devrais garder le thermomètre infrarouge, en corrigeant par l'émissivité précédemment mesurée. C'est pas long, et je veux bien m'y coller. Juste une remarque : prendre la température en étant perpendiculaire à la surface!! En effet l'emmitance varie suivant l'angle.
Pour la compo du bois, c'est vrai que c'est problèmatique...
Mais bon ont devras faire avec.
De toute façon, on est pas à 2% près sur se montage...
Ne pas oublier de prendre la température extérieur, avec un thermomètre classique.
Pour le thermomètre, je croyais que tu voulais le mettre entre le tube et le thermocouple... Donc inutile, hors se n'est pas le cas dans le montage que tu propose ;)
Je pense qu'avant de passer en comble, on est à plus de 100°C, donc on devrais garder le thermomètre infrarouge, en corrigeant par l'émissivité précédemment mesurée. C'est pas long, et je veux bien m'y coller. Juste une remarque : prendre la température en étant perpendiculaire à la surface!! En effet l'emmitance varie suivant l'angle.
Pour la compo du bois, c'est vrai que c'est problèmatique...
Mais bon ont devras faire avec.
De toute façon, on est pas à 2% près sur se montage...
Ne pas oublier de prendre la température extérieur, avec un thermomètre classique.
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- Philippe Schutt
- Econologue expert
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- Localisation : alsace
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Si je comprends bien le thermomètre fonctionne à la quantité d'IR émis. j'aurais plutôt pensé à la fréquence. dommage.
le tube de fumée a une T° intermédiaire entre la T° des fumées et l'air ambiant. si on veut se rapprocher de la T° des fumées, je ne vois que l'isolation pour s'affranchir de la T° ambiante... ou la sonde dans le tube.
Vu la dégaine de la DEOM, je ne serais pas surpris de voir des T° de 300° quand on la pousse un peu. la surface d'échange est très faible par rapport à la taille du foyer.
le tube de fumée a une T° intermédiaire entre la T° des fumées et l'air ambiant. si on veut se rapprocher de la T° des fumées, je ne vois que l'isolation pour s'affranchir de la T° ambiante... ou la sonde dans le tube.
Vu la dégaine de la DEOM, je ne serais pas surpris de voir des T° de 300° quand on la pousse un peu. la surface d'échange est très faible par rapport à la taille du foyer.
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