Je vois que le site expérimental de DRAKE LANDING ne vous inspire pas confiance.
Obamot peut etre aurais tu le temps d'essayer de contacter un habitant pour lui demander réellement si ça marche.

jlg
Lisez bien le prospectus, c'est du pipeau! 80°C à -37m ...alors qu'à cette profondeur — on a certes des conditions de stockages stables par rapport à la surface — mais on n'a gagné qu'un malheureux degré par rapport à la surface qui descend à -35°C en hiver (on doit tout juste être «hors-gel»...)
However, after a few years of operation, the core temperature of the BTES field will approach 80°C by the end of summer, with sufficient heat for almost an entire heating season.
..mais -37m au Canada pour des maisons non passives, et avec une multitude de sonde qui va disperser cette précieuse chaleur à faible profondeur? Tsss, chez Lidl on se les gèle aussi, mais au moins la nourriture est au frais... (hi,hi,hi)
...nous y voilà!dedeleco a écrit :Enfin la région où cela est à faire en premier est en région PACA sur la méditerranée, car le volume de stockage peut être réduit avec plein de soleil en été et donc faible de surface de capteurs solaires .
* La géothermie de très basse énergie (<30° C): aquifères peu profonds, sondes terrestres, couplage avec une pompe à chaleur.
* La géothermie de basse énergie (30-100° C): aquifères profonds ou zones d'anomalie thermique.
* La géothermie de moyenne énergie (100-150° C): aquifères très profonds ou zones d'anomalie thermique à faible profondeur, technologie Hot Dry Rock (circulation en boucle induite dans des roches naturellement peu perméables).
* La géothermie de haute énergie (150-350° C): aquifères profonds dans des zones d'anomalie thermique à faible profondeur, technologie Hot Dry Rock.
Stockage souterrain de la chaleur
On sait que la moitié de notre énergie est utilisée pour le chauffage des locaux. Cette énergie résulte pour 90% de la consommation du pétrole ou du gaz naturel, le solde provenant du bois et de l'électricité. Si l'énergie solaire excédentaire en été pouvait être utilisée en hiver pour nous chauffer, on épargnerait des coûts de chauffage non négligeables. Dans ce but, le stockage saisonnier de chaleur nécessite des dispositifs tels que les stocks convectifs (bassins, cavernes, réservoirs en surface, etc.), les stocks diffusifs (champs de sondes géothermiques, collecteurs horizontaux, etc.) et les stocks mixtes (stockage en aquifère).
Pour le stockage saisonnier de chaleur et de froid, les accumulateurs diffusifs sont les plus prometteurs: ils sont composés de sondes géothermiques et de pompes à chaleur à des prix de construction compris entre 20 et 80 Fr./m3. En été, l'accumulateur, situé à une profondeur comprise entre 20 et 200 m [20m i.e => très basse énergie (<30° C): aquifères peu profonds, sondes terrestres, couplage avec une pompe à chaleur.], est rechargé par l'énergie solaire; puis en hiver, il est utilisé pour le chauffage des locaux. D'autre part, l'eau refroidie est récupérée en été à des fins de réfrigération. Les coûts d'exploitation sont estimés entre 10 et 20 ct./kWh. Au début des années 1980, le projet de recherche SPEOS de l'EPFL a permis la construction d'un accumulateur-pilote, consistant en un puits central sur lequel se raccordent des drains horizontaux rayonnants, étagés entre 7 et 24 m de profondeur. A Peseux (Neuchâtel), un collège secondaire fait d'importantes économies d'énergie au moyen d'un stock diffusif de 29'000 m3 basé sur 30 sondes géothermiques de 60 m. La recharge du stock est assurée par 306 m2 d'absorbeurs solaires et un groupe chaleur-force qui fournit 3 à 4 kW d'électricité. Dans le nord de l'Europe, notamment aux Pays-Bas et en Suède, des stocks de grande dimension fonctionnent avec satisfaction.
Par contre, j'ai revu mes notes de cours, et me suis aperçu qu'il n'y avait pas besoin d'isolation, tout simplement parce que le sous-sol lui-même «isole» à une certaine profondeur
— le lait de ciment, si il constitue une barrière une fois solidifié... ne change rien: à la profondeur, au fait que le ciment n'est pas un «isolant», ni au problème de dispersion dû aux forages multiples et tout ce que cela comporte...
rien qui montre comment serait isolé le volume de stockage d'une diffusion verticale par le haut! Ni en quoi la chaleur ne serait pas diffusée latéralement par un effet de pile considérable vu les températures hivernales au Canada...!
La dispersion latérale dans un mono-puit avec fluide circulant au glycol doit être négligeable, beaucoup moins que la dispersion latérale à faible profondeur, non?
est totalement impossible dans toute direction, seule la diffusion limite la vitesse de perte de la chaleur qui reste inévitable !!en faisant une zone parfaitement bien isolée pour bloquer la chaleur en-dessous
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