christina86 a écrit :
à la différence avec vous, en effet, à la maison où j'ai désactivé la sonde pour cause d'inertie, je n'ai pas de fenêtre au sud.
Par contre à l'atelier où j'ai de gros apports solaires et moins d'inertie (murs chauffants sur ITI), j'ai la sonde, mais en cas de grand soleil je préfère mettre sur réduit (compensation 0, elle me sert de commande déportée en fait), ce qui m'évite la coupure jusqu'à 1° sous T ambiante demandée et le gros délai pour remonter que je trouvais franchement inconfortable.
C'est exactement pour ça que je dis qu'il faut se garder de penser que la façon dont on procède chacun est "la" et "l'unique" solution... Une sorte de "pensée unique".
Je n'ai rien écrit d'autre. Et rien voulu "démontrer" d'autre...
Ma façon de procéder, qui est contraire à ce qu'avait affirmé Dirk, me convient à moi. Et engage moi seul. Outre le "bioclimatisme" relatif de ma maison, je ne suis pas effrayé non plus à l'idée de me passer une couverture autour des jambes si je reste "calé" dans le canapé devant la télé... Rien de choquant à ça, car je me souviens de ma jeunesse où il n'y avait que la cuisinière et le poêle à bois... Quand je rentrais dans ma chambre, il y avait souvent de la glace à la fenêtre, coté intérieur... Donc oui, il faut aussi intégrer
le niveau d'exigence de chacun dans le réglage qu'on adopte... En revanche, je suis assez maniaque sur les gaspillages d'énergie [rappelle toi ma remarque sur le soutirage d'ECS chaude juste pour se brosser les dents...]. Idem ici, si j'annule l'action de la sonde. Les apports solaires ne sont pas "valorisés". La chaudière continue comme si cela n'existait pas. Le salon est surchauffé dans l'après-midi. Et le soir il fait plus que bien (car il reste des effets de la surchauffe). Je préfère limiter la surchauffe, délester la chauidère et le soir éventuellement être "un peu juste"... Ce que j'ai appelé un "compromis". Je crois que cela correspond au coeff 4 pour ma sonde.