Andre a écrit :Le point qui m'intrigue c'est le le corps du récteur tubulaire en cuivre
Dans mes essaies au début sur les comparaisons avec differrent materiaux, aluminium, acier ,inox, c'est avec le cuivre que j'avais les plus mauvais resultats , mais c'etait un montage 100% panton qui marche sur au mazout sur un moteur a explosion .
Il peut en etre tout a fait autrement en dopage a l'eau..
Salut à toi, André, expérimentateur modèle.
Ce montage est "comme ça" car je n'ai pas pu faire autrement...
- Le cuivre, c'est tout ce que j'avais sous la main , sinon j'aurais pris de l'inox.
- Mon réacteur vertical se termine en contrebas de la ligne d'échappement, donc pas possible de monter un générateur de vapeur en dessous.
J'avais bien une idée derrière la tête depuis 3 mois, mais du mal à l'exprimer.
L'idée de départ était que "tout puisse rentrer", car sur mon char les ingénieux de citroën ont utilisé tout l'espace disponible sous le capot pour loger le moteur et ses accessoires.
- Pas de place pour un bulleur, j'ai même du loger le réservoir d'eau sous le tableau de bord façon "waterbag passager".
- Pas de carbu sous la main et une certaine réticence à utiliser cet engin dont je n'arrive toujours pas à saisir les subtilités... J'ai pourtant suivi l'ouvrage de référence "les pages de M. David" mais là je bloque...
Alors j'ai imaginé d'utiliser le fond du réacteur en bulleur. Mais je sais par expérience qu'un mini bulleur entraîne de l'eau liquide et pas de la vapeur. D'où l'idée (piquée à... ? sur le post n° ?) de la tige creuse.
Et puis je reste convaincu que ma théorie n'est pas (totalement) fausse :
- le tourbillonnement des gaz est indispensable à un bon fonctionnement,
- le rendement sera meilleur si le toubillon atteint chaque cylindre (couplage
AVEC un vortex)
- la vapeur doit être et rester à basse température pour une bonne ionisation
Mon idée est que :
- si le montage est opérationnel, la chute de température en bout de réacteur devrait maintenir juste de quoi permettre l'ébullition (50° ?),
- l'air admis depuis le reniflard, en circulant dans la tige, va l'empêcher de chauffer sous l'effet de : la cavitation - l'arc électrique - autres ? (rayer les mentions inutiles)
A mon humble avis, la tige en cuivre fonctionne mal car elle conduit si bien la chaleur qu'elle échauffe la vapeur entrante, au point de lui faire dépasser les 100°C, d'ou perte d'ionisation.
Ici mon pari est que le gaz de sortie du réacteur restera à une basse température, mais fortement inonisé et avec une grande vélocité angulaire (cf ma théorie qui fait grincer les thermodynamiciens "chevronnés" - citroën oblige
)