Ecologie et végétarisme: alimentation, climat et CO2
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Re: Ecologie et végétarisme: alimentation, climat et CO2
excellent documentaire qui ne traite pas du végétarisme comme pourrait le faire penser le titre, mais sur: peut-il y avoir un autre mode d'élevage plus respectueux de son environnement. Il n'en reste pas moins des questions de fond comme: comment régler le cas des poussins males envoyés dans les broyeuses vivants, celui des poules pondeuses en baisse de production, l'arrachement des veaux à leur mère, des vaches laitières mises au rebut après service rendus à l'humanité, et ce sans le moindre émotion,etc... et tout cela pour satisfaire des goûts culinaires égoïstes, en fermant les yeux et se bouchant les oreilles sur cette boucherie inutile et donc éthiquement contestable.
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« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré
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Re: Ecologie et végétarisme: alimentation, climat et CO2
https://www.france.tv/france-2/question ... iande.html
Un autre débat, un de plus, sur » faut-il arrêter de manger de la viande ? » ou pas !
Ce débat, pour intéressant qu’il soit, montre un certain déséquilibre entre ses intervenants : d’un coté 9 personnes consommatrices de viande et de l’autre 2 intervenants VGL : Brigitte Gothiere du L214 et Emeric Caron passé du VGR au VGL vegan.
Le débat animé montre que chacun défend ses convictions, heureusement, mais aussi des professions (des professionnels de n’importe quel autre secteur de l’économie en feraient autant) et donc le sujet s’en trouve occulté et devient donc: faut-il arrêter l’élevage ou pas, ce qui est un autre problème, ou aspect du problème.
De plus, le débat tourne moins autour du fait de cesser de manger de la viande que de l’aspect sanitaire (risque d’intoxication comme le Coli, viande industrielle VS viande artisanale). De fait si l’aspect sanitaire pouvait être complètement réglé, la consommation de viandes, en baisse, re-augmenterait-elle du même coup ? C’est là que l’intervention de Brice Teinturier de l’IPSOS devient intéressante (50’11’’) avec ses enquêtes auprès du public et où l’aspect sanitaire est perçu par rapport à la tracabilité justement, d’autres raisons devenant aussi importantes, statistiquement évidemment et devient plus révélateur de ce que pense la population et non plus des professionnels du secteur en question.
Donc :
61% consomment de la viande dont 36% un jour sur deux (ce qui revoie aux cantines ci-dessous)
Les hommes en consomment plus que les femmes
Les jeunes plus que les personnes âgées
Les ouvriers et employés, plus que les cadres moyens et supérieurs. D’où son commentaire : « c’est aussi une représentation idéologique au sens noble du terme. Ce n’est donc pas seulement un besoin que l’on satisfait dans notre assiette »
Donc: qu’est-ce qui pourrait faire abandonner la viande ?
32% sur la traçabilité
28% pour la santé
28% pour préserver la planète
28% à cause de la maltraitance animale
71% seraient favorables pour les menus VG dans les cantines
41% pourraient devenir VG dont 18% sans problèmes et 26% trouveraient cela difficile
Il y a donc une distance importante entre les professionnels du secteur et la population en général.
Un autre débat, un de plus, sur » faut-il arrêter de manger de la viande ? » ou pas !
Ce débat, pour intéressant qu’il soit, montre un certain déséquilibre entre ses intervenants : d’un coté 9 personnes consommatrices de viande et de l’autre 2 intervenants VGL : Brigitte Gothiere du L214 et Emeric Caron passé du VGR au VGL vegan.
Le débat animé montre que chacun défend ses convictions, heureusement, mais aussi des professions (des professionnels de n’importe quel autre secteur de l’économie en feraient autant) et donc le sujet s’en trouve occulté et devient donc: faut-il arrêter l’élevage ou pas, ce qui est un autre problème, ou aspect du problème.
De plus, le débat tourne moins autour du fait de cesser de manger de la viande que de l’aspect sanitaire (risque d’intoxication comme le Coli, viande industrielle VS viande artisanale). De fait si l’aspect sanitaire pouvait être complètement réglé, la consommation de viandes, en baisse, re-augmenterait-elle du même coup ? C’est là que l’intervention de Brice Teinturier de l’IPSOS devient intéressante (50’11’’) avec ses enquêtes auprès du public et où l’aspect sanitaire est perçu par rapport à la tracabilité justement, d’autres raisons devenant aussi importantes, statistiquement évidemment et devient plus révélateur de ce que pense la population et non plus des professionnels du secteur en question.
Donc :
61% consomment de la viande dont 36% un jour sur deux (ce qui revoie aux cantines ci-dessous)
Les hommes en consomment plus que les femmes
Les jeunes plus que les personnes âgées
Les ouvriers et employés, plus que les cadres moyens et supérieurs. D’où son commentaire : « c’est aussi une représentation idéologique au sens noble du terme. Ce n’est donc pas seulement un besoin que l’on satisfait dans notre assiette »
Donc: qu’est-ce qui pourrait faire abandonner la viande ?
32% sur la traçabilité
28% pour la santé
28% pour préserver la planète
28% à cause de la maltraitance animale
71% seraient favorables pour les menus VG dans les cantines
41% pourraient devenir VG dont 18% sans problèmes et 26% trouveraient cela difficile
Il y a donc une distance importante entre les professionnels du secteur et la population en général.
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« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré
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Re: Ecologie et végétarisme: alimentation, climat et CO2
ouf, quel boulot! C'est que je n'ai pas que ça à faire, mon canapé et ma télé n'attendent que moi. Et donc:
Face au tapage médiatique au sujet de l’alimentation, nous nous efforçons ici de donner un éclairage scientifique objectif sur le contenu de nos assiettes. Voir par ailleurs notre dossier sur les OGM.
Premier postulat : je suis un scientifique objectif : rien que ça ! Et les chevilles ça va ?
Omnivore, végétarien, végétalien ?
par Léon Guéguen - SPS n° 283, octobre 2008
Aucun aliment n’est indispensable, seuls les nutriments le sont. La satisfaction des besoins nutritionnels est assurée par l’équilibre alimentaire, d’autant plus facile à atteindre que le régime est diversifié et que le choix des aliments est très ouvert. L’homme, par essence omnivore,
Première confusion entre se comporter comme un omnivore et être, PAR ESSENCE, omnivore.
Par essence :Caractère ou qualité propre et nécessaire d'un être; ensemble des caractères constitutifs de quelque chose.
L’anatomie comparée initiée par Cuvier et non remise en cause, actuellement, contredit ce postulat.
[*] un "pédophile" se comporte comme un prédateur sexuel, il se comporte comme tel, mais l'est-il, par essence?
qui ne refuse aucune catégorie d’aliments, y parvient en général sans trop de difficultés. Le problème est plus compliqué mais pas insoluble pour le végétarien qui renonce à la viande et au poisson mais accepte le lait et les œufs. En revanche, la situation est très problématique pour les végétaliens stricts qui ne consomment que des aliments d’origine végétale, excluant tout produit animal dont le lait et les œufs.
Très problématique pour qui ? pour l’industrie alimentaire ou pour le consommateur en question ?
Pourquoi renoncer aux aliments d’origine animale ?
Les raisons invoquées sont nombreuses. Il y a d’abord les interdits religieux (surtout pour le porc) qui ne se prêtent à aucune discussion, de même que les considérations éthiques (respect et droit de l’animal) ou philosophiques qui ne reposent pas sur des bases rationnelles
La philosophie, par sa nature, n’est pas rationnelle, sinon ce serait de la science. Mais la physiologie, l’anatomie, c’est de la science rationnelle et ses bases contredisent son discours
mais qu’il est vain de contester. Tel était déjà le cas des pythagoriciens de la Grèce antique qui excluaient toute viande de leur alimentation
d’autres préoccupations, d’ordre économique ou écologique, s’appuient sur des bases scientifiques (ou parfois pseudo-scientifiques) et prêtent au débat.
Ouf ! On l’a échappé belle !
Il est vrai que la production des aliments d’origine animale, rapportée au poids ou aux calories, est beaucoup plus consommatrice d’énergie et d’eau (de 5 à 7 fois) que la production végétale. Il est ainsi facile d’arguer que les céréales utilisées pour la production porcine et avicole permettraient au moins d’éviter la faim dans le monde (à défaut de bien le nourrir). Ce fait est incontestable, mais comment (et pourquoi) interdire la consommation de viande, notamment dans les pays émergents où la demande augmente avec le pouvoir d’achat ?
Mais où va-t-il chercher tout ça ? Qui peut interdire quoi que ce soit ? Toutes les prohibitions ont donné des résultats inverses à ceux attendus. Donc pas question d’interdire quoi que ce soit ! Mais est-ce mieux d’obliger, directement ou indirectement, par des discours officiels faisant la promotion des lobbies de la bidoche? Par exemple, en plus du reste, dans les cantines.
Dans le cas des herbivores le problème se pose autrement. En effet, si l’on accepte l’intérêt de la production laitière, on peut considérer que la viande rouge (des vaches et des veaux mâles inévitables qu’il est logique d’engraisser) est un « produit fatal » qu’il serait illogique de ne pas consommer.
Voir la subtilité du discours : puisque nous élevons des animaux , pas pour leurs beaux yeux, qu’est-ce donc que l’on va en faire? sinon les consommer. Là ça fait fort ! c’est comme dire que : puisque nous fabriquons des voitures il faut bien en faire usage ! Bravo pour la logique !
De plus, les herbivores ruminants, du moins en élevage extensif ou semi-intensif, ne consomment que des fourrages riches en cellulose qu’ils sont les seuls à pouvoir valoriser. Ils ne font donc pas concurrence à l’homme.
Là, champion, il découvre que les animaux herbivores mangent de l’herbe, sans concurrencer les humains. Mais qui a dit le contraire ? L'humain n'est pas herbivore, pas plus qu'omnivore, mon cher Watson!
Il est vrai que cette réflexion ne concerne pas les élevages laitiers très intensifs qui recourent à des aliments complémentaires concentrés à base de céréales et de protéagineux (notamment le soja) ou à de l’ensilage de maïs très exigeant en eau.
Ah, oui ?! Mais ce sont ceux là qui sont destinés, en priorité, à être bouffés, que je sache ! et il n’y a pas que les vaches, il y a aussi les moutons, les poules, les canards, les porcs, etc… qui sont soumis au même « régime », mais il ne doit pas être au courant !
Du point de vue écologique, les ruminants sont accusés, à juste titre, de produire, principalement par éructation de gaz provenant des fermentations microbiennes du rumen, des quantités considérables de méthane, gaz à très fort pouvoir d’effet de serre.
Cependant, ils jouent aussi un rôle irremplaçable dans l’entretien du paysage et il est certainement préférable de faire brouter ou de couper l’herbe que de la détruire par des herbicides ou de laisser des friches souvent difficiles à exploiter pour un autre usage.
J’avais cru remarquer que la plupart des animaux à consommation humaine ne vivaient pas (si c’est ça vivre) dans ces conditions idylliques , mais plutôt entourés de barbelés, de cordeaux électrifiés, de cages, de vie sur caillebotis, dans leur merde quoi ! Mais on voit peu (ou pas) de bœufs, chèvres, moutons, porcs et cie libres dans les champs de maïs, dans les vignes, les champs de colza, de tournesol, de radis, melons et salades pour éviter les herbicides en question.
Il ne faut cependant pas occulter l’influence néfaste du surpâturage sur la conservation des sols dans les zones semi-arides et de la déforestation parfois abusivement pratiquée pour nourrir les animaux.
Il vit sur quelle planète de bisounours?
[b]Quoi qu’il en soit, la consommation de produits animaux augmentera partout dans le monde, notamment dans les pays émergents les plus peuplés, et cette croissance est inéluctable. Il faudra donc trouver les moyens d’y faire face ![/b]
Bravo monsieur de la Palice ! Et comment on y fait face ? Avec l’élevage artisanal ou l’élevage industriel ?
Peut-on préserver sa santé en renonçant aux produits animaux ?
Les tenants de ces pratiques alimentaires en sont convaincus et tel est leur principal objectif. Cette question a fait l’objet de plusieurs revues de synthèse1. Il faut d’abord considérer plusieurs degrés dans le végétarisme, dans un ordre croissant de risque de carence ou de déficience : le semi-végétarisme qui n’exclut que la viande de mammifère mais accepte le poisson et parfois la volaille (donc sans aucun problème nutritionnel),
Ce n'est pas du semi végétarisme, mais du non végétarisme:
végétarisme:Régime alimentaire excluant toute chair animale (viande, poisson), mais qui admet en général la consommation d'aliments d'origine animale comme les œufs, le lait et les produits laitiers (fromage, yaourts).
Ce monsieur semble ignorer ou ne pas se rappeler, tous les discours discréditant toutes les formes VG sans aucune distinction le siècle dernier. Comment, ils n’avaient pas toutes nos connaissances actuelles ! Bizarre !
le lacto-ovovégétarisme qui interdit
et zou ! l’interdit mangé à toutes les sauces. Le VG est un choix, pas un interdit, pas plus que de fumer, boire de l’alcool ne le sont.
toute viande et poisson mais pas le lait et l’œuf, le végétalisme qui n’admet que les aliments d’origine végétale,
C’est déjà mieux ! Les enfants n’aiment pas, généralement, les épinards et les parents admettent que leur goût ne soit pas attiré par cet aliment. Faut-il les y obliger ?(ce que j’ai fait, ne faut-il pas manger de tout comme le dit ce personnage) et leur dégoût n’en a été que plus accentué, donc ce n’est pas la bonne solution !
et enfin certaines formes encore plus restrictives de végétalisme dit macrobiotique ou à base de fruits.
Une ignorance de plus.
https://ma-naturo.com/regime-macrobiotique/
la macrobiotique n’est pas du végétalisme.
Il est bien connu (de qui?) que ces derniers régimes, souvent à connotation sectaire, font courir des risques importants, notamment aux enfants et aux femmes enceintes ou allaitant. Ainsi, de nombreux cas d’anémie mégaloblastique sévère, par carence en vitamine B12, et de retards de croissance ont été rapportés chez des nourrissons ne recevant que le lait de leurs mères consommant de tels régimes2.
Eh, bé ! Sans en avoir l’air, c’est un mort qui écrit ici tant toutes ces carences ont mises fin à ma vie et celles de mes proches sur 3 générations.
Même les vegans, grands amateurs de prise de B12, ont du mal à trouver dans la littérature médicale, des cas avérés de cette carence (qui se trouvent la majeure partie du temps chez les personnes âgées non VG), mais leurs sources viennent des sites viandeux (eux qui les combattent sur le plan idéologique) comme quoi ils ne sont justement pas logiques.
L’éviction des produits laitiers, des œufs et des poissons provoque aussi une déficience en iode chez les très jeunes enfants (goitre), ainsi qu’en dérivés essentiels des acides gras oméga-3.
Absurde ! Nombre de VG consomment des aliments riches en iode comme des algues
http://sois.fr/fileadmin/pdf/Tableau_iode.pdf
mais même sans algues, d’autres sources y satisfont.
Peut-on se passer de viande ? L’éviction de la viande seule ne pose pas de problème nutritionnel majeur si les protéines sont apportées par les produits laitiers et les œufs, voire les poissons (semi-végétariens). Le principal intérêt de la viande est de fournir la vitamine B12 absente dans les végétaux (et donc de prévenir des troubles allant de l’anémie aux dommages neurologiques graves), du fer de nature héminique3 de très bonne biodisponiblité,
Et une de plus !
Sauf que même ces vegans n’arrivent pas à comprendre, ni expliquer pourquoi et comment des individus (comme moi entre autres) sans apports connus de B12 dont les stocks ne dépassent pas 3 ou 4 ans, selon les sources documentées, passent cette période sans troubles, ni carences (et j’en suis et mes proches aussi, à une cinquantaine d’années consécutives) Mystère et boule de billard…pour changer !
https://www.vivelab12.fr/vegamine-b12/
On y trouve aussi ce genre de littérature (chez les vegans) : À la même époque, les adventistes du septième jour mettaient leurs adeptes en garde contre l’opprobre consécutif aux conséquences de l’application radicale de l’alimentation paradisiaque à laquelle tous aspiraient :
« L’abstinence de lait, d’œufs et de beurre pratiquée par certains [adventistes] n’a pas permis de satisfaire les besoins nutritifs du système, et les a conduits à devenir faibles et incapables de travailler. En conséquence de quoi notre réforme sanitaire a été contestée » (Ellen Gould White, Testimonies for the church, vol. IX, p. 161-162).
« Le jour viendra où nous pourrons rejeter certains des produits que nous consommons actuellement, tels que le lait et la crème, ou les œufs, mais mon conseil est que vous ne devez pas vous mettre en difficulté prématurément, et vous infliger la mort ainsi » (Ellen Gould White, « Lettre no K 37 », 1901).
Il se trouve que j’ai étudié de près, cette littérature qu’il faut replacer dans son contexte et devoir expliquer, ce qui dépasse ce cadre
contrairement au fer des végétaux présent sous forme de phytates ou oxalates insolubles, du zinc plus disponible que celui des végétaux, notamment des graines. Une étude allemande récente4 a montré que 60 % des végétariens avaient une carence de stade 3 en vitamine B12.
Et par ailleurs, l’AADDC a montré que le taux de B12 chez les VGL était INFERIEUR au taux moyen et excédentaire des « omnivores », mais pas carencés, et qu’aucun signe de carence n’avait été constaté pour cette population. C’est comme si on comparait un obèse à un individu tout en muscles ! La différence de poids, donc de quantité, n’est pas un signe de faiblesse, mais seulement d’état.
De même, la carence en fer provoquant l’anémie ferriprive est très fréquente chez les femmes végétariennes.
https://www.vegetarisme.fr/comment-deve ... ibree/fer/
article assez complet de l'AVF, à lire!
Les carences, quelles qu’elles soient, peuvent venir de n’importe quoi et pas seulement de la présence supérieure ou inférieure de tel ou tel élément, la santé est une harmonie entre ses divers constituants et une anémie peut avoir donc plusieurs sources. Maintenant le « très fréquente « n’est qu’une simple vue de l’esprit de ses auteurs.
Si le régime végétarien exclut le poisson et fait la part belle aux noix, graines et huiles, le risque de déséquilibre entre acides gras insaturés oméga-6 et oméga-3, par excès du premier et insuffisance du second, est très accru. Quoi qu’il en soit, des sources végétales bien choisies d’acides gras oméga-3 (huile et graine de lin, micro-algues marines…)
Bizarre ! je ne consomme ni graines de lin, ni micro algues, parce que je n’aime pas leur goût.
et d’éventuels compléments de fer et de vitamine B12, suffisent à exclure tout risque de déficience.
Et vive la supplémentation et la para pharmacie ! Pendant des milliers d’années (des millions selon la théorie (fumeuse : provocation !) de l’évolution, ni les parapharmacies, ni les usines a compléments n’ont existés et nous sommes là malgré tout. ( ce système de supplémentation à pourtant bien des raisons actuelles d’exister malgré tout et j’en ai déjà parlé. Mais pas pour les raisons indiquées.)
L’exclusion de la viande est même de plus en plus souvent considérée comme étant bénéfique pour la santé, même si les études épidémiologiques fiables font cruellement défaut : cholestérolémie, tension artérielle et indice de masse corporelle plus faibles, risque diminué de troubles cardiaques, de diabète de type 2, de cancer colorectal (risque accru par excès de viande rouge).
Oh, le rigolo ! Cela fait des siècles et plus particulièrement des décennies actuellement que les comparaisons ont pu être faites, parmi les populations concernées de l’impact d’un modèle alimentaire plutôt qu’un autre.
Et le lait et les fromages ?
Le renoncement au lait et aux produits laitiers est beaucoup plus problématique. Malgré les campagnes anti-lait qui sévissent en France et qui ont fait l’objet de mises au point critiques, notamment sur la question du calcium et de l’ostéoporose5, il est évident qu’il est très difficile de couvrir les besoins en calcium en écartant tout produit laitier.
Il les aligne à foison !
Les VG rappellent que TOUS les autres mammifères, sans exception, ne se nourrissent plus de laitages après la période de sevrage, sauf les humains et encore pas tous. Les animaux sauvages comme d’élevage sont ils en carence de calcium ? Apparemment non, étant donné leur ossature robuste chez les gros mammifères comme chez les non mammifères d’ailleurs: éléphant, rhinocéros, hippopotame, girafe, singes, lion, baleine,etc...
Un régime de base sans produit laitier ne peut pas fournir régulièrement, sauf choix systématique des quelques rares aliments ou eaux minérales riches en calcium, plus de 500 mg de calcium par jour, alors qu’il en faudrait au moins 800 mg, voire plus de 1000 mg chez les adolescents, les femmes ménopausées et les personnes âgées. L’argument selon lequel le calcium du lait augmenterait la perte urinaire de calcium et serait donc inefficace pour l’os est grossièrement faux
Et bla, bla
Le régime végétalien strict permet donc difficilement de couvrir les besoins calciques, d’autant que le calcium des végétaux est, contrairement à ce que d’aucuns proclament, plus mal absorbé par l’intestin que le calcium du lait. La fréquente intolérance au lactose du lait en l’état peut être un frein à sa consommation mais n’est pas une contre-indication pour des produits laitiers comme le yaourt et le fromage, et même pour un verre de lait.
Merci les lobbies laitiers ! et leur propagande!
Un changement de paradigme
On assiste depuis quelques années à un changement de paradigme à propos des régimes végétariens6. Au lieu de considérer d’abord leurs défauts (absence de certaines vitamines, de calcium, de fer..), il est de plus en plus courant de mettre l’accent sur leurs aspects bénéfiques liés à la présence de fibres alimentaires (légumes, céréales, fruits…) et de micro-constituants à pouvoir antioxydant. La promotion des fruits et légumes va dans ce sens, leurs effets favorables dans la prévention de diverses maladies faisant l’objet d’un consensus (malgré la présence, dans la quasi totalité, de résidus de pesticides par ailleurs tant décriés !).
Ca ce n’est pas la faute des VG : non ?
Ces aspects bénéfiques sont donc opposés aux effets délétères avérés des excès de lipides saturés et souvent de sel fournis par les produits animaux, voire des excès d’énergie et de sucre des régimes occidentaux traditionnels.
Il est vrai que les études épidémiologiques d’observation n’ont pas permis de mettre en cause le végétarisme, ni même parfois le végétalisme, dans l’augmentation du risque de morbidité.
Tiens donc ! C'est même le contraire!
Cependant, la plupart des maladies étant multifactorielles, les conclusions de ces études sont biaisées par les différences de comportement et d’hygiène de vie. Les végétariens, et encore plus les végétaliens, sont plus attentifs à leur santé et adoptent un mode de vie plus hygiénique que les omnivores : pas de tabac ni d’excès d’alcool, exercice physique, éviction d’aliments bruts ou préparés nocifs, rassasiement plus rapide par des aliments plus fibreux et moins énergétiques, donc moins d’excès alimentaires et moindre risque d’obésité et d’hypertension, prise plus fréquente de compléments alimentaires. Les résultats favorables observés ne sont donc pas tous directement imputables aux aliments consommés.
Cela est vrai pour quelques uns d’entre eux ! Une grosse partie des vegans (des forums) et pas les seuls (donc VGL stricts) s’en fichent complètement. Certains fument, picolent, se droguent avec des tas de médocs ne font pas d’exercice et n’ont donc pas une hygiène de vie particulière.
Un régime omnivore raisonnable et équilibré, associé aux mêmes règles d’hygiène de vie, conduirait aux mêmes résultats.
L’étude de l’AADDC soulève ce problème effectivement, mais constate qu’avec une hygiène de vie, ou sans celle-ci, les résultats sont meilleurs que les « omnis »
Ne pas confondre végétalisme imposé et végétalisme choisi
Il est évident que le végétalisme auquel sont contraints les deux tiers de l’humanité conduit à des carences nutritionnelles graves résultant du manque de diversité des aliments disponibles. En revanche, sauf exceptions à caractère sectaire prononcé, le végétalisme en vigueur dans les pays développés est choisi et peut s’accommoder d’une grande diversité de produits, ce qui limite le risque de carence.
Bravo ! Il vient de découvrir ça !
De plus, le végétalien « aisé » est en général très soucieux de la qualité de son régime et est souvent adepte de compléments alimentaires spécifiques.
Entièrement faux ! C’est la culture qui change. Selon l’OMS la consommation de viandes est un indice de réussite sociale des plus pauvres qui montrent ainsi leur accès à une représentation d’eux-mêmes plus favorables aux yeux des autres…souvent les mêmes qu’eux.
« J’ai les moyens de m’acheter de la viande ! » « comment tu n’as pas les moyens de t’acheter de la viande ? » comme les bourgeois, la noblesse d’antan, qui faisaient saliver d’envie les moins nantis. et donc la poule au pot d'Henry IV !
Les temps changent et la bourgeoisie fait l’inverse en montrant que la réussite sociale n’est plus dans la consommation, ostentatoire, de bidoche, mais au contraire de se distinguer de nouveau par sa non consommation avec ou sans compléments alimentaires, autre signe d’avoir les moyens de… se distinguer!
En conclusion, le régime végétarien qui n’exclut pas les produits laitiers et les œufs, et encore mieux le régime semi-végétarien qui accepte le poisson et parfois la viande de volaille, sont parfaitement compatibles avec un bon équilibre nutritionnel et sont même parfois bénéfiques pour la santé par rapport à certains régimes omnivores mal contrôlés et non restreints.
Cependant, une certaine vigilance s’impose pour le fer et la vitamine B12 dont la carence est la cause de divers types très graves d’anémie. En revanche, le régime végétalien sans lait ou produits laitiers ne peut pas assurer un apport suffisant de calcium par les aliments de base courants. La constitution d’un menu équilibré n’est alors possible que par l’accès à un vaste choix d’aliments et de compléments spécifiques, ce qui est exclu quand ce type de régime est imposé pour des raisons économiques ou idéologiques.
Et re bla, bla, bla téléphoné par le CIV.
Manger de la viande serait « contre nature »
Les motivations pour un régime végétarien sont très variées : interdits religieux, choix éthiques, allégations santé, etc. Mais pour certains, le végétarisme s’impose car l’homme n’aurait pas été conçu pour manger de la viande. Ce serait « contre-nature ». A l’appui de ces propos, on trouve un cocktail d’arguments à l’apparence scientifique. Exemple tiré d’un des nombreux sites Internet développant cette thèse :
« Les carnivores sont pourvus de longues dents acérées et pointues, de grandes canines, et de griffes pour leur permettre de déchiqueter la chair de leurs proies. Chez l’humain, les incisives sont remarquablement développées, les canines réduites et les molaires ont une large surface plate pour mastiquer les aliments. La mâchoire d’un carnivore se déplace uniquement de bas en haut, afin de déchiqueter et de mordre la viande. La mâchoire de l’humain se déplace latéralement pour broyer. La salive des carnivores est acide et prévue pour la digestion des protéines animales ; elle ne contient pas de ptyaline, une enzyme qui assure la digestion des amidons. La salive des humains, au contraire, est alcaline et contient de la ptyaline pour digérer les amidons. Contrairement aux carnivores, l’humain ne dispose pas de l’urase, une enzyme permettant de décomposer l’acide urique. L’urine des carnivores est acide, celle de l’humain est alcaline. La langue des carnivores est rugueuse, celle des humains lisse. La main de l’humain est conçue pour cueillir des fruits et des légumes et non pour arracher les entrailles de la carcasse d’un cadavre animal. » http://grandesmala.spaces.live.com/...
Eh, oui, il y a des règles de physiologie, n’en déplaise aux pseudo-scientifiques de l’AFIS !
Face au tapage médiatique au sujet de l’alimentation, nous nous efforçons ici de donner un éclairage scientifique objectif sur le contenu de nos assiettes. Voir par ailleurs notre dossier sur les OGM.
Premier postulat : je suis un scientifique objectif : rien que ça ! Et les chevilles ça va ?
Omnivore, végétarien, végétalien ?
par Léon Guéguen - SPS n° 283, octobre 2008
Aucun aliment n’est indispensable, seuls les nutriments le sont. La satisfaction des besoins nutritionnels est assurée par l’équilibre alimentaire, d’autant plus facile à atteindre que le régime est diversifié et que le choix des aliments est très ouvert. L’homme, par essence omnivore,
Première confusion entre se comporter comme un omnivore et être, PAR ESSENCE, omnivore.
Par essence :Caractère ou qualité propre et nécessaire d'un être; ensemble des caractères constitutifs de quelque chose.
L’anatomie comparée initiée par Cuvier et non remise en cause, actuellement, contredit ce postulat.
[*] un "pédophile" se comporte comme un prédateur sexuel, il se comporte comme tel, mais l'est-il, par essence?
qui ne refuse aucune catégorie d’aliments, y parvient en général sans trop de difficultés. Le problème est plus compliqué mais pas insoluble pour le végétarien qui renonce à la viande et au poisson mais accepte le lait et les œufs. En revanche, la situation est très problématique pour les végétaliens stricts qui ne consomment que des aliments d’origine végétale, excluant tout produit animal dont le lait et les œufs.
Très problématique pour qui ? pour l’industrie alimentaire ou pour le consommateur en question ?
Pourquoi renoncer aux aliments d’origine animale ?
Les raisons invoquées sont nombreuses. Il y a d’abord les interdits religieux (surtout pour le porc) qui ne se prêtent à aucune discussion, de même que les considérations éthiques (respect et droit de l’animal) ou philosophiques qui ne reposent pas sur des bases rationnelles
La philosophie, par sa nature, n’est pas rationnelle, sinon ce serait de la science. Mais la physiologie, l’anatomie, c’est de la science rationnelle et ses bases contredisent son discours
mais qu’il est vain de contester. Tel était déjà le cas des pythagoriciens de la Grèce antique qui excluaient toute viande de leur alimentation
d’autres préoccupations, d’ordre économique ou écologique, s’appuient sur des bases scientifiques (ou parfois pseudo-scientifiques) et prêtent au débat.
Ouf ! On l’a échappé belle !
Il est vrai que la production des aliments d’origine animale, rapportée au poids ou aux calories, est beaucoup plus consommatrice d’énergie et d’eau (de 5 à 7 fois) que la production végétale. Il est ainsi facile d’arguer que les céréales utilisées pour la production porcine et avicole permettraient au moins d’éviter la faim dans le monde (à défaut de bien le nourrir). Ce fait est incontestable, mais comment (et pourquoi) interdire la consommation de viande, notamment dans les pays émergents où la demande augmente avec le pouvoir d’achat ?
Mais où va-t-il chercher tout ça ? Qui peut interdire quoi que ce soit ? Toutes les prohibitions ont donné des résultats inverses à ceux attendus. Donc pas question d’interdire quoi que ce soit ! Mais est-ce mieux d’obliger, directement ou indirectement, par des discours officiels faisant la promotion des lobbies de la bidoche? Par exemple, en plus du reste, dans les cantines.
Dans le cas des herbivores le problème se pose autrement. En effet, si l’on accepte l’intérêt de la production laitière, on peut considérer que la viande rouge (des vaches et des veaux mâles inévitables qu’il est logique d’engraisser) est un « produit fatal » qu’il serait illogique de ne pas consommer.
Voir la subtilité du discours : puisque nous élevons des animaux , pas pour leurs beaux yeux, qu’est-ce donc que l’on va en faire? sinon les consommer. Là ça fait fort ! c’est comme dire que : puisque nous fabriquons des voitures il faut bien en faire usage ! Bravo pour la logique !
De plus, les herbivores ruminants, du moins en élevage extensif ou semi-intensif, ne consomment que des fourrages riches en cellulose qu’ils sont les seuls à pouvoir valoriser. Ils ne font donc pas concurrence à l’homme.
Là, champion, il découvre que les animaux herbivores mangent de l’herbe, sans concurrencer les humains. Mais qui a dit le contraire ? L'humain n'est pas herbivore, pas plus qu'omnivore, mon cher Watson!
Il est vrai que cette réflexion ne concerne pas les élevages laitiers très intensifs qui recourent à des aliments complémentaires concentrés à base de céréales et de protéagineux (notamment le soja) ou à de l’ensilage de maïs très exigeant en eau.
Ah, oui ?! Mais ce sont ceux là qui sont destinés, en priorité, à être bouffés, que je sache ! et il n’y a pas que les vaches, il y a aussi les moutons, les poules, les canards, les porcs, etc… qui sont soumis au même « régime », mais il ne doit pas être au courant !
Du point de vue écologique, les ruminants sont accusés, à juste titre, de produire, principalement par éructation de gaz provenant des fermentations microbiennes du rumen, des quantités considérables de méthane, gaz à très fort pouvoir d’effet de serre.
Cependant, ils jouent aussi un rôle irremplaçable dans l’entretien du paysage et il est certainement préférable de faire brouter ou de couper l’herbe que de la détruire par des herbicides ou de laisser des friches souvent difficiles à exploiter pour un autre usage.
J’avais cru remarquer que la plupart des animaux à consommation humaine ne vivaient pas (si c’est ça vivre) dans ces conditions idylliques , mais plutôt entourés de barbelés, de cordeaux électrifiés, de cages, de vie sur caillebotis, dans leur merde quoi ! Mais on voit peu (ou pas) de bœufs, chèvres, moutons, porcs et cie libres dans les champs de maïs, dans les vignes, les champs de colza, de tournesol, de radis, melons et salades pour éviter les herbicides en question.
Il ne faut cependant pas occulter l’influence néfaste du surpâturage sur la conservation des sols dans les zones semi-arides et de la déforestation parfois abusivement pratiquée pour nourrir les animaux.
Il vit sur quelle planète de bisounours?
[b]Quoi qu’il en soit, la consommation de produits animaux augmentera partout dans le monde, notamment dans les pays émergents les plus peuplés, et cette croissance est inéluctable. Il faudra donc trouver les moyens d’y faire face ![/b]
Bravo monsieur de la Palice ! Et comment on y fait face ? Avec l’élevage artisanal ou l’élevage industriel ?
Peut-on préserver sa santé en renonçant aux produits animaux ?
Les tenants de ces pratiques alimentaires en sont convaincus et tel est leur principal objectif. Cette question a fait l’objet de plusieurs revues de synthèse1. Il faut d’abord considérer plusieurs degrés dans le végétarisme, dans un ordre croissant de risque de carence ou de déficience : le semi-végétarisme qui n’exclut que la viande de mammifère mais accepte le poisson et parfois la volaille (donc sans aucun problème nutritionnel),
Ce n'est pas du semi végétarisme, mais du non végétarisme:
végétarisme:Régime alimentaire excluant toute chair animale (viande, poisson), mais qui admet en général la consommation d'aliments d'origine animale comme les œufs, le lait et les produits laitiers (fromage, yaourts).
Ce monsieur semble ignorer ou ne pas se rappeler, tous les discours discréditant toutes les formes VG sans aucune distinction le siècle dernier. Comment, ils n’avaient pas toutes nos connaissances actuelles ! Bizarre !
le lacto-ovovégétarisme qui interdit
et zou ! l’interdit mangé à toutes les sauces. Le VG est un choix, pas un interdit, pas plus que de fumer, boire de l’alcool ne le sont.
toute viande et poisson mais pas le lait et l’œuf, le végétalisme qui n’admet que les aliments d’origine végétale,
C’est déjà mieux ! Les enfants n’aiment pas, généralement, les épinards et les parents admettent que leur goût ne soit pas attiré par cet aliment. Faut-il les y obliger ?(ce que j’ai fait, ne faut-il pas manger de tout comme le dit ce personnage) et leur dégoût n’en a été que plus accentué, donc ce n’est pas la bonne solution !
et enfin certaines formes encore plus restrictives de végétalisme dit macrobiotique ou à base de fruits.
Une ignorance de plus.
https://ma-naturo.com/regime-macrobiotique/
la macrobiotique n’est pas du végétalisme.
Il est bien connu (de qui?) que ces derniers régimes, souvent à connotation sectaire, font courir des risques importants, notamment aux enfants et aux femmes enceintes ou allaitant. Ainsi, de nombreux cas d’anémie mégaloblastique sévère, par carence en vitamine B12, et de retards de croissance ont été rapportés chez des nourrissons ne recevant que le lait de leurs mères consommant de tels régimes2.
Eh, bé ! Sans en avoir l’air, c’est un mort qui écrit ici tant toutes ces carences ont mises fin à ma vie et celles de mes proches sur 3 générations.
Même les vegans, grands amateurs de prise de B12, ont du mal à trouver dans la littérature médicale, des cas avérés de cette carence (qui se trouvent la majeure partie du temps chez les personnes âgées non VG), mais leurs sources viennent des sites viandeux (eux qui les combattent sur le plan idéologique) comme quoi ils ne sont justement pas logiques.
L’éviction des produits laitiers, des œufs et des poissons provoque aussi une déficience en iode chez les très jeunes enfants (goitre), ainsi qu’en dérivés essentiels des acides gras oméga-3.
Absurde ! Nombre de VG consomment des aliments riches en iode comme des algues
http://sois.fr/fileadmin/pdf/Tableau_iode.pdf
mais même sans algues, d’autres sources y satisfont.
Peut-on se passer de viande ? L’éviction de la viande seule ne pose pas de problème nutritionnel majeur si les protéines sont apportées par les produits laitiers et les œufs, voire les poissons (semi-végétariens). Le principal intérêt de la viande est de fournir la vitamine B12 absente dans les végétaux (et donc de prévenir des troubles allant de l’anémie aux dommages neurologiques graves), du fer de nature héminique3 de très bonne biodisponiblité,
Et une de plus !
Sauf que même ces vegans n’arrivent pas à comprendre, ni expliquer pourquoi et comment des individus (comme moi entre autres) sans apports connus de B12 dont les stocks ne dépassent pas 3 ou 4 ans, selon les sources documentées, passent cette période sans troubles, ni carences (et j’en suis et mes proches aussi, à une cinquantaine d’années consécutives) Mystère et boule de billard…pour changer !
https://www.vivelab12.fr/vegamine-b12/
On y trouve aussi ce genre de littérature (chez les vegans) : À la même époque, les adventistes du septième jour mettaient leurs adeptes en garde contre l’opprobre consécutif aux conséquences de l’application radicale de l’alimentation paradisiaque à laquelle tous aspiraient :
« L’abstinence de lait, d’œufs et de beurre pratiquée par certains [adventistes] n’a pas permis de satisfaire les besoins nutritifs du système, et les a conduits à devenir faibles et incapables de travailler. En conséquence de quoi notre réforme sanitaire a été contestée » (Ellen Gould White, Testimonies for the church, vol. IX, p. 161-162).
« Le jour viendra où nous pourrons rejeter certains des produits que nous consommons actuellement, tels que le lait et la crème, ou les œufs, mais mon conseil est que vous ne devez pas vous mettre en difficulté prématurément, et vous infliger la mort ainsi » (Ellen Gould White, « Lettre no K 37 », 1901).
Il se trouve que j’ai étudié de près, cette littérature qu’il faut replacer dans son contexte et devoir expliquer, ce qui dépasse ce cadre
contrairement au fer des végétaux présent sous forme de phytates ou oxalates insolubles, du zinc plus disponible que celui des végétaux, notamment des graines. Une étude allemande récente4 a montré que 60 % des végétariens avaient une carence de stade 3 en vitamine B12.
Et par ailleurs, l’AADDC a montré que le taux de B12 chez les VGL était INFERIEUR au taux moyen et excédentaire des « omnivores », mais pas carencés, et qu’aucun signe de carence n’avait été constaté pour cette population. C’est comme si on comparait un obèse à un individu tout en muscles ! La différence de poids, donc de quantité, n’est pas un signe de faiblesse, mais seulement d’état.
De même, la carence en fer provoquant l’anémie ferriprive est très fréquente chez les femmes végétariennes.
https://www.vegetarisme.fr/comment-deve ... ibree/fer/
article assez complet de l'AVF, à lire!
Les carences, quelles qu’elles soient, peuvent venir de n’importe quoi et pas seulement de la présence supérieure ou inférieure de tel ou tel élément, la santé est une harmonie entre ses divers constituants et une anémie peut avoir donc plusieurs sources. Maintenant le « très fréquente « n’est qu’une simple vue de l’esprit de ses auteurs.
Si le régime végétarien exclut le poisson et fait la part belle aux noix, graines et huiles, le risque de déséquilibre entre acides gras insaturés oméga-6 et oméga-3, par excès du premier et insuffisance du second, est très accru. Quoi qu’il en soit, des sources végétales bien choisies d’acides gras oméga-3 (huile et graine de lin, micro-algues marines…)
Bizarre ! je ne consomme ni graines de lin, ni micro algues, parce que je n’aime pas leur goût.
et d’éventuels compléments de fer et de vitamine B12, suffisent à exclure tout risque de déficience.
Et vive la supplémentation et la para pharmacie ! Pendant des milliers d’années (des millions selon la théorie (fumeuse : provocation !) de l’évolution, ni les parapharmacies, ni les usines a compléments n’ont existés et nous sommes là malgré tout. ( ce système de supplémentation à pourtant bien des raisons actuelles d’exister malgré tout et j’en ai déjà parlé. Mais pas pour les raisons indiquées.)
L’exclusion de la viande est même de plus en plus souvent considérée comme étant bénéfique pour la santé, même si les études épidémiologiques fiables font cruellement défaut : cholestérolémie, tension artérielle et indice de masse corporelle plus faibles, risque diminué de troubles cardiaques, de diabète de type 2, de cancer colorectal (risque accru par excès de viande rouge).
Oh, le rigolo ! Cela fait des siècles et plus particulièrement des décennies actuellement que les comparaisons ont pu être faites, parmi les populations concernées de l’impact d’un modèle alimentaire plutôt qu’un autre.
Et le lait et les fromages ?
Le renoncement au lait et aux produits laitiers est beaucoup plus problématique. Malgré les campagnes anti-lait qui sévissent en France et qui ont fait l’objet de mises au point critiques, notamment sur la question du calcium et de l’ostéoporose5, il est évident qu’il est très difficile de couvrir les besoins en calcium en écartant tout produit laitier.
Il les aligne à foison !
Les VG rappellent que TOUS les autres mammifères, sans exception, ne se nourrissent plus de laitages après la période de sevrage, sauf les humains et encore pas tous. Les animaux sauvages comme d’élevage sont ils en carence de calcium ? Apparemment non, étant donné leur ossature robuste chez les gros mammifères comme chez les non mammifères d’ailleurs: éléphant, rhinocéros, hippopotame, girafe, singes, lion, baleine,etc...
Un régime de base sans produit laitier ne peut pas fournir régulièrement, sauf choix systématique des quelques rares aliments ou eaux minérales riches en calcium, plus de 500 mg de calcium par jour, alors qu’il en faudrait au moins 800 mg, voire plus de 1000 mg chez les adolescents, les femmes ménopausées et les personnes âgées. L’argument selon lequel le calcium du lait augmenterait la perte urinaire de calcium et serait donc inefficace pour l’os est grossièrement faux
Et bla, bla
Le régime végétalien strict permet donc difficilement de couvrir les besoins calciques, d’autant que le calcium des végétaux est, contrairement à ce que d’aucuns proclament, plus mal absorbé par l’intestin que le calcium du lait. La fréquente intolérance au lactose du lait en l’état peut être un frein à sa consommation mais n’est pas une contre-indication pour des produits laitiers comme le yaourt et le fromage, et même pour un verre de lait.
Merci les lobbies laitiers ! et leur propagande!
Un changement de paradigme
On assiste depuis quelques années à un changement de paradigme à propos des régimes végétariens6. Au lieu de considérer d’abord leurs défauts (absence de certaines vitamines, de calcium, de fer..), il est de plus en plus courant de mettre l’accent sur leurs aspects bénéfiques liés à la présence de fibres alimentaires (légumes, céréales, fruits…) et de micro-constituants à pouvoir antioxydant. La promotion des fruits et légumes va dans ce sens, leurs effets favorables dans la prévention de diverses maladies faisant l’objet d’un consensus (malgré la présence, dans la quasi totalité, de résidus de pesticides par ailleurs tant décriés !).
Ca ce n’est pas la faute des VG : non ?
Ces aspects bénéfiques sont donc opposés aux effets délétères avérés des excès de lipides saturés et souvent de sel fournis par les produits animaux, voire des excès d’énergie et de sucre des régimes occidentaux traditionnels.
Il est vrai que les études épidémiologiques d’observation n’ont pas permis de mettre en cause le végétarisme, ni même parfois le végétalisme, dans l’augmentation du risque de morbidité.
Tiens donc ! C'est même le contraire!
Cependant, la plupart des maladies étant multifactorielles, les conclusions de ces études sont biaisées par les différences de comportement et d’hygiène de vie. Les végétariens, et encore plus les végétaliens, sont plus attentifs à leur santé et adoptent un mode de vie plus hygiénique que les omnivores : pas de tabac ni d’excès d’alcool, exercice physique, éviction d’aliments bruts ou préparés nocifs, rassasiement plus rapide par des aliments plus fibreux et moins énergétiques, donc moins d’excès alimentaires et moindre risque d’obésité et d’hypertension, prise plus fréquente de compléments alimentaires. Les résultats favorables observés ne sont donc pas tous directement imputables aux aliments consommés.
Cela est vrai pour quelques uns d’entre eux ! Une grosse partie des vegans (des forums) et pas les seuls (donc VGL stricts) s’en fichent complètement. Certains fument, picolent, se droguent avec des tas de médocs ne font pas d’exercice et n’ont donc pas une hygiène de vie particulière.
Un régime omnivore raisonnable et équilibré, associé aux mêmes règles d’hygiène de vie, conduirait aux mêmes résultats.
L’étude de l’AADDC soulève ce problème effectivement, mais constate qu’avec une hygiène de vie, ou sans celle-ci, les résultats sont meilleurs que les « omnis »
Ne pas confondre végétalisme imposé et végétalisme choisi
Il est évident que le végétalisme auquel sont contraints les deux tiers de l’humanité conduit à des carences nutritionnelles graves résultant du manque de diversité des aliments disponibles. En revanche, sauf exceptions à caractère sectaire prononcé, le végétalisme en vigueur dans les pays développés est choisi et peut s’accommoder d’une grande diversité de produits, ce qui limite le risque de carence.
Bravo ! Il vient de découvrir ça !
De plus, le végétalien « aisé » est en général très soucieux de la qualité de son régime et est souvent adepte de compléments alimentaires spécifiques.
Entièrement faux ! C’est la culture qui change. Selon l’OMS la consommation de viandes est un indice de réussite sociale des plus pauvres qui montrent ainsi leur accès à une représentation d’eux-mêmes plus favorables aux yeux des autres…souvent les mêmes qu’eux.
« J’ai les moyens de m’acheter de la viande ! » « comment tu n’as pas les moyens de t’acheter de la viande ? » comme les bourgeois, la noblesse d’antan, qui faisaient saliver d’envie les moins nantis. et donc la poule au pot d'Henry IV !
Les temps changent et la bourgeoisie fait l’inverse en montrant que la réussite sociale n’est plus dans la consommation, ostentatoire, de bidoche, mais au contraire de se distinguer de nouveau par sa non consommation avec ou sans compléments alimentaires, autre signe d’avoir les moyens de… se distinguer!
En conclusion, le régime végétarien qui n’exclut pas les produits laitiers et les œufs, et encore mieux le régime semi-végétarien qui accepte le poisson et parfois la viande de volaille, sont parfaitement compatibles avec un bon équilibre nutritionnel et sont même parfois bénéfiques pour la santé par rapport à certains régimes omnivores mal contrôlés et non restreints.
Cependant, une certaine vigilance s’impose pour le fer et la vitamine B12 dont la carence est la cause de divers types très graves d’anémie. En revanche, le régime végétalien sans lait ou produits laitiers ne peut pas assurer un apport suffisant de calcium par les aliments de base courants. La constitution d’un menu équilibré n’est alors possible que par l’accès à un vaste choix d’aliments et de compléments spécifiques, ce qui est exclu quand ce type de régime est imposé pour des raisons économiques ou idéologiques.
Et re bla, bla, bla téléphoné par le CIV.
Manger de la viande serait « contre nature »
Les motivations pour un régime végétarien sont très variées : interdits religieux, choix éthiques, allégations santé, etc. Mais pour certains, le végétarisme s’impose car l’homme n’aurait pas été conçu pour manger de la viande. Ce serait « contre-nature ». A l’appui de ces propos, on trouve un cocktail d’arguments à l’apparence scientifique. Exemple tiré d’un des nombreux sites Internet développant cette thèse :
« Les carnivores sont pourvus de longues dents acérées et pointues, de grandes canines, et de griffes pour leur permettre de déchiqueter la chair de leurs proies. Chez l’humain, les incisives sont remarquablement développées, les canines réduites et les molaires ont une large surface plate pour mastiquer les aliments. La mâchoire d’un carnivore se déplace uniquement de bas en haut, afin de déchiqueter et de mordre la viande. La mâchoire de l’humain se déplace latéralement pour broyer. La salive des carnivores est acide et prévue pour la digestion des protéines animales ; elle ne contient pas de ptyaline, une enzyme qui assure la digestion des amidons. La salive des humains, au contraire, est alcaline et contient de la ptyaline pour digérer les amidons. Contrairement aux carnivores, l’humain ne dispose pas de l’urase, une enzyme permettant de décomposer l’acide urique. L’urine des carnivores est acide, celle de l’humain est alcaline. La langue des carnivores est rugueuse, celle des humains lisse. La main de l’humain est conçue pour cueillir des fruits et des légumes et non pour arracher les entrailles de la carcasse d’un cadavre animal. » http://grandesmala.spaces.live.com/...
Eh, oui, il y a des règles de physiologie, n’en déplaise aux pseudo-scientifiques de l’AFIS !
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Re: Ecologie et végétarisme: alimentation, climat et CO2
Janic, tu écris:
Non! Ce qui sépare la philosophie de la science, c'est leur domaine différent, mais tous deux relèvent (et fort heureusement!) de l'usage de la raison!
La philosophie, par sa nature, n’est pas rationnelle, sinon ce serait de la science.
Non! Ce qui sépare la philosophie de la science, c'est leur domaine différent, mais tous deux relèvent (et fort heureusement!) de l'usage de la raison!
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Re: Ecologie et végétarisme: alimentation, climat et CO2
tu as raison mais je pensais plus aux discours qui supposent que seule les preuves sont de type rationnel, ce qui est difficile à apporter en philosophie.Janic, tu écris:Non! Ce qui sépare la philosophie de la science, c'est leur domaine différent, mais tous deux relèvent (et fort heureusement!) de l'usage de la raison!“
La philosophie, par sa nature, n’est pas rationnelle, sinon ce serait de la science.
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Re: Ecologie et végétarisme: alimentation, climat et CO2
Salut,
je trouve fatiguant le catalogage systématique , le besoin de classifier et faire entrer les personnes dans des cases .
les modes s'enchainent à un rythme éffrené avec des inventions conceptuelles permanentes et les neologismes qui en découlent...
Perso je ne mange pas de viande chaque jour(ça a toujours été le cas), en fait comme ma mère , ma grand mère (et comme beaucoup de monde à une époque pas si lointaine)... Jamais été éduqué dans l'idée qu'on mange de le viande (ou du poisson) 2x/jour , 14X/semaine...
Bref, v'là ti pas que récemment, on me dit que je suis flexivore!?!
moi : Quoi donc???
elle : oui tu es flexivore, tu as une conscience eco et par conviction tu limites ta conso d'animaux, et tu tends vers le végétarisme ...
moi : euh...j'ai toujours mangé ainsi, je suis omnivore ...je mange varié et ma conso est raisonnée (enfin je pense). Mais c'est que du (bon) sens qui date pas d'aujourd'hui...
elle : n’empêche tu es flexivore!
je trouve fatiguant le catalogage systématique , le besoin de classifier et faire entrer les personnes dans des cases .
les modes s'enchainent à un rythme éffrené avec des inventions conceptuelles permanentes et les neologismes qui en découlent...
Perso je ne mange pas de viande chaque jour(ça a toujours été le cas), en fait comme ma mère , ma grand mère (et comme beaucoup de monde à une époque pas si lointaine)... Jamais été éduqué dans l'idée qu'on mange de le viande (ou du poisson) 2x/jour , 14X/semaine...
Bref, v'là ti pas que récemment, on me dit que je suis flexivore!?!
moi : Quoi donc???
elle : oui tu es flexivore, tu as une conscience eco et par conviction tu limites ta conso d'animaux, et tu tends vers le végétarisme ...
moi : euh...j'ai toujours mangé ainsi, je suis omnivore ...je mange varié et ma conso est raisonnée (enfin je pense). Mais c'est que du (bon) sens qui date pas d'aujourd'hui...
elle : n’empêche tu es flexivore!
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Re: Ecologie et végétarisme: alimentation, climat et CO2
ad 44 bonjour
Chacun interprète ce terme de flexivore à sa sauce selon le coté où penche ses choix.
Le VG dira que c’est le fait de VG habituel qui va manger de la viande occasionnellement et particulièrement dans certaines conditions sociales (la famille, les réunions amicales ou professionnelles.)
Le non VG considérera cela comme le fait de manger peu de bidoche de façon habituelle, par exple X fois par semaine.
Là aussi, il y a confusion des termes. La classification alimentaire n’est pas liée à des habitudes culturelles opportunistes, mais par rapport à la constitution biologique, anatomique, des individus. (on ne peut classifier une vache , un cheval, comme omnivore parce que les herbes ont des insectes sur leurs feuilles et sont donc absorbées telles quelles)
De ce fait l’humain n’est pas un omnivore en soi, mais est omnivore par opportunisme culturel comme il y a des anthropophages qui le sont pour les mêmes raisons.
Chacun interprète ce terme de flexivore à sa sauce selon le coté où penche ses choix.
Le VG dira que c’est le fait de VG habituel qui va manger de la viande occasionnellement et particulièrement dans certaines conditions sociales (la famille, les réunions amicales ou professionnelles.)
Le non VG considérera cela comme le fait de manger peu de bidoche de façon habituelle, par exple X fois par semaine.
moi : euh...j'ai toujours mangé ainsi, je suis omnivore
Là aussi, il y a confusion des termes. La classification alimentaire n’est pas liée à des habitudes culturelles opportunistes, mais par rapport à la constitution biologique, anatomique, des individus. (on ne peut classifier une vache , un cheval, comme omnivore parce que les herbes ont des insectes sur leurs feuilles et sont donc absorbées telles quelles)
De ce fait l’humain n’est pas un omnivore en soi, mais est omnivore par opportunisme culturel comme il y a des anthropophages qui le sont pour les mêmes raisons.
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Re: Ecologie et végétarisme: alimentation, climat et CO2
re,
Allons bon... moi j'y comprends plus rien (vous êtes difficiles à suivre...)
je pensais qu'un omnivore pouvait manger des végetaux et des animaux... de fait j'en suis un, non? Je peux manger de tout (ou presque) et il se trouve que je mange de tout (ou presque). Après bien évidemment, je me débrouille et m'adapte en ne mangeant que ce qui est à disposition (comme beaucoup non?).
janic a écrit :Là aussi, il y a confusion des termes. La classification alimentaire n’est pas liée à des habitudes culturelles opportunistes, mais par rapport à la constitution biologique, anatomique, des individus. (on ne peut classifier une vache , un cheval, comme omnivore parce que les herbes ont des insectes sur leurs feuilles et sont donc absorbées telles quelles)
De ce fait l’humain n’est pas un omnivore en soi, mais est omnivore par opportunisme culturel comme il y a des anthropophages qui le sont pour les mêmes raisons.
Allons bon... moi j'y comprends plus rien (vous êtes difficiles à suivre...)
je pensais qu'un omnivore pouvait manger des végetaux et des animaux... de fait j'en suis un, non? Je peux manger de tout (ou presque) et il se trouve que je mange de tout (ou presque). Après bien évidemment, je me débrouille et m'adapte en ne mangeant que ce qui est à disposition (comme beaucoup non?).
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Re: Ecologie et végétarisme: alimentation, climat et CO2
Allons bon... moi j'y comprends plus rien (vous êtes difficiles à suivre...)
C’est normal, je suis passé par là aussi, car il ne semble pas que ce sujet te soit familier et il faut souvent beaucoup de temps et de réflexion pour en saisir tous les aspects.
je pensais qu'un omnivore pouvait manger des végetaux et des animaux... de fait j'en suis un, non?
Justement pas ! Nous sommes des êtres biologiques aux fonctions précises qui sont déterminées scientifiquement selon des critères incontestables sur ce point. Compares ta dentition (c’est le plus facile à faire en anatomobiologie) avec celle des autres animaux (tu en as de multiples sur internet) ou tes animaux de compagnie et trouves-y ta place.
https://www.google.com/search?biw=1366& ... OXgk9sTOZ8
Je peux manger de tout (ou presque) et il se trouve que je mange de tout (ou presque). Après bien évidemment, je me débrouille et m'adapte en ne mangeant que ce qui est à disposition (comme beaucoup non?).
Il y a une différence importante entre pouvoir manger de tout, avec l’aide de notre culture : la cuisson, les couteaux, fourchettes et autres accessoires et parvenir à manger de tout SANS ces accessoires comme le font TOUS les autres animaux, sans exception. Essaies, c’est marrant !
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Re: Ecologie et végétarisme: alimentation, climat et CO2
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