Certes l'important c'est que ça convienne. Avec un réflex le rendu serait plutôt genre ça:
...> et si tu avais Bosch comme client... il faudrait tenir le choc d'une
"épreuve contractuelle" et au moins 70 lp/mm pour un tirage offset en pub "haut de gamme" (soit plus de 420 ppp qui ne sont pas nécessaire pour une page web où la norme est de 72 ppp => bien que la qualité d'image redimensionnée gardera ses caractéristiques excellentes en plus petit format...).
Pour le halo du flash hmmm... je sens qu'un de ces jours tu vas quand même finir par «craquer» pour un éclairage "LED"
ad hoc... voilà encore un bon "détournement d'utilisation“. Soit pour équiper un banc de repro photo, sans oublier de le combiner avec l'utilisation d'un trépied (bien que faite à main levée on discerne éventuellement un flou de bougé, mais surtout pas mal de "bruit" et des couleurs "ternes", notamment à cause d'un histogramme pas assez
"à droite") il suffirait d'essayer pour s'appercevoir assez vite que ça ferait une différence très conséquente...!
...Ou, avant de changer d'équipement (pour ceux que ça intéresserait)...:
Comment tirer le meilleur parti possible de son matériel de photo numérique actuel
— utiliser un éclairage "lumière du jour" autant que possible.
— utiliser l'espace couleur de sa caméra, le plus large possible (AdobeRVB si disponible)
— toujours travailler en raw+jpeg à la prise de vue.
— régler sa "balance des blancs" (BDB) en manuel "in situ" (et non pas une fois rentré à la maison, avec un programme de traitement d'images). Car risque de métamérisme.
— ne jamais utiliser la BDB "auto" (compromis d'usine entre "lumière du jour" et éclairage "tungstène")... Car couleurs "pourries" souvent garanties...
— sans stabilisateur d'image (capteur ou dans l'optique) toujours utiliser un trépied pour les "natures mortes". Surtout au-delà de 6 MPx (car dérive de flou de bougé d'un rayon inférieur à 1 pixel immédiatement atteint...).
— sans stabilisateur, ne pas oublier la règle de
"vitesse de sécurité" en multipliant la focale utilisée par 1,5 x pour obtenir la bonne vitesse d'obturation, exemple: un 200mm "x" 1,5 => 1/300e de seconde...
— ne pas avoir peur de sur-exposer légèrement sa photo, si la "scène principale" est sous-exposée (ce qui arrive parfois à cause de reflets spéculaires, de contre-jours, ou tout autre situation de lumière piègeuse tel que la réflexion d'un flash)...
— avec un flash, utiliser un diffuseur, ou changer l'orientation de votre "cobra" en le dirigeant vers le plafond, si il y en a un...
— avec un soleil de plomb, utiliser un panneau de sagex comme réflecteur, pour déboucher les zones d'ombres dans la photo de personnes (portaits, voire d'objets de petite ou moyenne taille).
Histogramme de gauche => plage dynamique sous-exploitée, lumière non-optimisée ou irrégulière => montée du bruit => ternissement des couleurs fréquent => peu de marge de manœuvre en post-traitement avec un logiciel de post-production image.
Histogramme de droite => Peu de bruit en revanche dans une image selon cet exemple, où l'histogramme est bien positionné, puisque collé
"à droite" (car l'effet est de remonter les BL => basses lumières...).
Autres avantages d'un éclairage adéquat et d'un histogramme bien positionné
"à droite" grâce à une expo adaptée => couleurs plus fidèles => réduction du
"voile terne" => meilleur effet "3D" des photos => moins de risque d'un histogramme
"en peigne" en post-production (car moins de post-prod...).
Photo avec histogramme parfait, qui exploite l'entièreté de la plage dynamique du capteur (y'a pas de mystère...)