http://www.ecoloinfo.com/2011/06/20/qua ... es-ecolos/
Se foutre ouvertement de la gueule de l'écologie, je sais pas trop comment on pourrait appeler ca...
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Le greenwashing en perte de vitesse
A première vue, l'éco blanchiment paraît marquer le pas dans la publicité. Mais selon l'autorité de régulation du secteur, ce sont surtout les dérives les moins graves qui diminuent tandis que les manquements lourds restent stables. Et ce malgré les règles déontologiques mises en place depuis plusieurs années. Pour le Collectif des publicitaires éco-sociaux innovants, il faut donc aller plus loin, et plus vite.
L’argument écologique a-t-il du plomb dans l’aile dans le monde de la publicité ? Largement répandu ces dernières années, sur fond d’une mode écologique ambiante dans la communication en général, le greenwashing semble aujourd’hui sur le déclin. « Comme au cours des années précédentes, les chiffres attestent d'un recul explicite des cas de "greenwashing" : par exemple, les manquements visuels spectaculaires du type "fleurs sortant d'un pot d'échappement" ont disparu », rapporte Stéphane Martin, directeur général de l’ARPP (Autorité de Régulation Professionnelle de la Publicité). Dans son bilan 2011 Publicité et Environnement, l’ARPP constate que 89 % des publicités sont conformes aux règles de la Recommandation Durable, un chiffre stable par rapport à l’année précédente. « L'argument environnemental reste relativement important puisque 707 publicités ont été relevées pour le seul premier semestre 2011. C'est clairement l'excès qui marque le pas, les règles déontologiques sont désormais de mieux en mieux prises en compte », rappelle Stéphane Martin.
Encore des efforts à faire
Mais que se passe-t-il alors pour les 11 % de publicité non conformes ? Selon l’autorité de régulation, les "réserves" (non-respect des normes en vigueur moins grave ou périphérique par rapport au message principal) reculent considérablement, tandis que les "manquements" –soit un non-respect des normes en vigueur (légales et déontologiques) flagrant- eux, se stabilisent. Ainsi, l’ARPP dévoile qu’en 2011, 44 publicités ont nécessité l’envoi d’une demande de modification des allégations, soit 6 % du volume des publicités environnementales, contre 9 % en 2010. Un progrès qu’elle attribue à la pédagogie des règles déontologiques, renforcée en 2009, ainsi qu’aux conseils qu’elle a pu délivrer en la matière.
Mais les agences de publicité et les annonceurs devraient davantage travailler sur la clarté de l’argument écologique: « beaucoup de termes restent obscurs pour les consommateurs. Des explications, brèves mais claires, sont nécessaires dans le message publicitaire, sans que cela ne soit préjudiciable pour la créativité et l’efficacité », estime Stéphane Martin. Le vocabulaire, en effet, reste la raison majeure du greenwashing. Près de 43 % des publicités non conformes sont dues à l’utilisation de mots ou expressions qui peuvent induire le consommateur en erreur sur la nature et les propriétés du produit présenté, avec des termes comme « bienfaits écologiques », « solution écologique », « respect de l’environnement », « respecte la nature », « produit écologique », « propre »...
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Christophe a écrit :Macron confond finance et finances...inquiétant (ou normal ???) pour un ex trader...mais on comprend qu'il surchauffe un peu en ce moment !
GuyGadeboisLeRetour a écrit :de plus en plus vermoulu de la calebasse...
Christophe a écrit :GuyGadeboisLeRetour a écrit :de plus en plus vermoulu de la calebasse...
Ce n'est point le seul !!!
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