L'obsolescence industrielle, l'histoire d'une tromperie
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Désolé de contredire Kistinie, mais un texte législatif ou tout autre procédé d'ordre règlementaire ne pourra jamais agir qu'à la marge* puisque les "dérives" constatées ici sont, en réalité, les principes de base qui sont constitutifs d'une logique systémique très aboutie.
Il ne s'agit pas d'apporter des correctifs à des abus accidentels, mais de comprendre le caractère suicidaire de "l'organisation mondiale de destruction de la nature" que dénonçait Jacques ELLUL**.
Ceci doit s'apprécier, non seulement par l'issue fatale qui en est la conséquence à moyen terme, mais par la mutilation des personnes et l'altération profonde des rapports sociaux actuels.
Il ne s'agit pas de moraliser l'économie, mais de trouver ensemble son dépassement le moins nocif possible.
Un effort gigantesque de laïcisation reste à mener, qui doit émanciper chacun de la religion de la marchandise... pour le moment, et peut-être pour longtemps, le rapport de force reste favorable aux grands prêtres de l'économie.
* et, paradoxalement, permettre, grâce à de petits îlots de produits corrects, la continuation de l'ensemble du processus, désormais à l'abri de la critique derrière ce dérisoire paravent.
**in "L'illusion politique".
Il ne s'agit pas d'apporter des correctifs à des abus accidentels, mais de comprendre le caractère suicidaire de "l'organisation mondiale de destruction de la nature" que dénonçait Jacques ELLUL**.
Ceci doit s'apprécier, non seulement par l'issue fatale qui en est la conséquence à moyen terme, mais par la mutilation des personnes et l'altération profonde des rapports sociaux actuels.
Il ne s'agit pas de moraliser l'économie, mais de trouver ensemble son dépassement le moins nocif possible.
Un effort gigantesque de laïcisation reste à mener, qui doit émanciper chacun de la religion de la marchandise... pour le moment, et peut-être pour longtemps, le rapport de force reste favorable aux grands prêtres de l'économie.
* et, paradoxalement, permettre, grâce à de petits îlots de produits corrects, la continuation de l'ensemble du processus, désormais à l'abri de la critique derrière ce dérisoire paravent.
**in "L'illusion politique".
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"Ne croyez surtout pas ce que je vous dis."
Ahmed je ne vois pas de contradiction avec ton analyse qui est très réaliste. L'aspect législatif, la fraude, le dole, qu'est l'obsolescence programmée, est juste une preuve supplémentaire de la déviance actuelle..
Ce n'est bien évidement pas la cause profonde, ni la solution, juste une motivation supplémentaire, en particulier, pour ceux qui trouvent la situation acceptable et n'envisagent aucun changement, tout comme pour ceux qui ont abdiqués dans un sentiment général d'impuissance.
Le droit pour calmer les ardeurs des uns, remonter le moral, et restaurer la confiance des autres. Rien de plus. Maintenant, si nous arrivons à améliorer la situation, sans cette jambe de bois juridique, c'est préférable,
Ce n'est bien évidement pas la cause profonde, ni la solution, juste une motivation supplémentaire, en particulier, pour ceux qui trouvent la situation acceptable et n'envisagent aucun changement, tout comme pour ceux qui ont abdiqués dans un sentiment général d'impuissance.
Le droit pour calmer les ardeurs des uns, remonter le moral, et restaurer la confiance des autres. Rien de plus. Maintenant, si nous arrivons à améliorer la situation, sans cette jambe de bois juridique, c'est préférable,
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Penser global ... Agir local
et
Fais le bien, qu'on soit pas emmerdée !
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Tu as raison, il n'y a pas contradiction entre nos propos: il s'agit juste de deux approches différentes.
La contradiction est ailleurs: étant donné les rapports de force entre d'une part, le pouvoir économique, le pouvoir politique (qui n'est qu'un représentant du précédent) et d'autre part le pouvoir juridique, (ce dernier étant bien faible en comparaison du bloc économico-politique), il est hautement improbable que des mesures fondamentalement contraires aux intérêts et à la logique du système marchand, puissent être autre chose que des "rustines" symboliques.
Il n'existe pas non plus beaucoup de doutes sur l'utilisation de ces "réformettes" comme outils de communication (lire: propagande) contribuant à maintenir l'illusion d'un capitalisme moral (sic!)...
La contradiction est ailleurs: étant donné les rapports de force entre d'une part, le pouvoir économique, le pouvoir politique (qui n'est qu'un représentant du précédent) et d'autre part le pouvoir juridique, (ce dernier étant bien faible en comparaison du bloc économico-politique), il est hautement improbable que des mesures fondamentalement contraires aux intérêts et à la logique du système marchand, puissent être autre chose que des "rustines" symboliques.
Il n'existe pas non plus beaucoup de doutes sur l'utilisation de ces "réformettes" comme outils de communication (lire: propagande) contribuant à maintenir l'illusion d'un capitalisme moral (sic!)...
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Tout de même, lorsque tu écris:
je ne peux être d'accord avec cette vision idéaliste et morale qui oppose une "bonne" industrie s'ingéniant à répondre aux besoins des hommes et une "mauvaise" qui produirait de la camelote pour tromper les consommateurs.
En réalité, toute marchandise n'a pour fonction que de réaliser une plus-value et d'effectuer la circulation capital-marchandise-capital augmenté.
L'utilité réelle ou symbolique de la marchandise n'est que la fraction la plus petite possible nécessaire à sa reconversion en capital, c'est-à-dire la vente.
Ceci inverse donc ton postulat implicite et permet d'affirmer que si certaines marchandises conservent une valeur d'usage importante, ce ne peut être que dans certains contextes ou par exception; ceci se comprend puisque, je le répète, seule la valeur d'échange importe (et ceci quelle que soit l'implication morale des fabricants!).
/...est juste une preuve supplémentaire de la déviance actuelle...
je ne peux être d'accord avec cette vision idéaliste et morale qui oppose une "bonne" industrie s'ingéniant à répondre aux besoins des hommes et une "mauvaise" qui produirait de la camelote pour tromper les consommateurs.
En réalité, toute marchandise n'a pour fonction que de réaliser une plus-value et d'effectuer la circulation capital-marchandise-capital augmenté.
L'utilité réelle ou symbolique de la marchandise n'est que la fraction la plus petite possible nécessaire à sa reconversion en capital, c'est-à-dire la vente.
Ceci inverse donc ton postulat implicite et permet d'affirmer que si certaines marchandises conservent une valeur d'usage importante, ce ne peut être que dans certains contextes ou par exception; ceci se comprend puisque, je le répète, seule la valeur d'échange importe (et ceci quelle que soit l'implication morale des fabricants!).
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"Ne croyez surtout pas ce que je vous dis."
- sen-no-sen
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Vous avez tout les deux raisons.
Une législation comme l'a mentionné kistinie n'est certes pas une panacée,mais pourrais néanmoins stabilisé la situation.
Ahmed a écrit:
Bien d'accord avec toi,cependant le "système" étant libérale et dirigé par le "marché" ,les clients(terme en voie de disparition) peuvent exprimer leur "citoyenneté marchande" par l'achat de produit de qualité (il en existe encore).
L'exemple est plus frappant avec l'alimentation: si personne n'achète des "œufs de batteries", la filière s'arrêtera logiquement.
Le marché doit s'adapter ou mourir!
Ce qui est aberrant c'est que dans se "système", les choix citoyens,doivent s'exprimer dans les magasin plutôt que dans les Mairie...décadence d'un système pathologiquement atteint...
Une législation comme l'a mentionné kistinie n'est certes pas une panacée,mais pourrais néanmoins stabilisé la situation.
Ahmed a écrit:
Il n'existe pas non plus beaucoup de doutes sur l'utilisation de ces "réformettes" comme outils de communication (lire: propagande) contribuant à maintenir l'illusion d'un capitalisme moral (sic!)...
Bien d'accord avec toi,cependant le "système" étant libérale et dirigé par le "marché" ,les clients(terme en voie de disparition) peuvent exprimer leur "citoyenneté marchande" par l'achat de produit de qualité (il en existe encore).
L'exemple est plus frappant avec l'alimentation: si personne n'achète des "œufs de batteries", la filière s'arrêtera logiquement.
Le marché doit s'adapter ou mourir!
Ce qui est aberrant c'est que dans se "système", les choix citoyens,doivent s'exprimer dans les magasin plutôt que dans les Mairie...décadence d'un système pathologiquement atteint...
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"Le Génie consiste parfois à savoir quand s'arrêter" Charles De Gaulle.
sen-no-sen a écrit :L'exemple est plus frappant avec l'alimentation: si personne n'achète des "œufs de batteries", la filière s'arrêtera logiquement.
Le marché doit s'adapter ou mourir!
Ce qui est aberrant c'est que dans se "système", les choix citoyens,doivent s'exprimer dans les magasin plutôt que dans les Mairie...décadence d'un système pathologiquement atteint...
De même qu'en déposant de la monnaie dans une banque ou en empruntant à une banque, on accepte implicitement que la banque crée gratuitement de la monnaie et une inflation monétaire de 8% par an au moins depuis 1997, tout en bénéficiant du revenu des intérêts : c'est le revenu garanti des banques.
D'ailleurs le rapport islandais est clair : http://sic.althingi.is/
Les banques islandaises ont coulé parce que la plus grosse part des crédits a été consenti aux propriétaires des banques et à leurs amis.
Quand aurons-nous une publication des bénéficiaires des prêts dans la zone euro et des intérêts associés ?
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A bientôt !
Ahmed a écrit :Tout de même, lorsque tu écris:/...est juste une preuve supplémentaire de la déviance actuelle...
je ne peux être d'accord avec cette vision idéaliste et morale qui oppose une "bonne" industrie s'ingéniant à répondre aux besoins des hommes et une "mauvaise" qui produirait de la camelote pour tromper les consommateurs.
La question ne se pose pas aussi loin dans la réflexion.
La loi sanctionnant les tromperies de ce genre, existe, elle doit donc être appliquée ...ou supprimée.
Ellul était un juriste, si il n'avait pas cru dans le pouvoir des lois pour consolider la société, aurait il pu enseigner le droit toute sa vie ?
Toutefois, tu résumes bien la situation avec le produit à fonction unique de plus-value.
L'idéal serait d'arriver à créer l'inverse, une gamme de produits simples, universels, très fiables et dont la fonction de plus value est dans la longévité du service rendu par l'objet.
La volonté de beaucoup de clients pour de ce type de produit existe, mais elle ne s'exprime pas, et encore moins de manière cohérente et unie.
L'industrie fait son travail, nous ne faisons pas le notre.
A propos des banksters...C'est effectivement une autre branche du tout plus-value, qui progresse inexorablement. Depuis Jésus balayant les tables des usuriers du temple, nous continuons de plus belle avec le prêt bancaire, argent que la banque invente pour l'occasion. Le forfait d'usure est maintenant institutionnalisé puisque la banque prête au moins 10 fois les fonds qu'elle possède.
Un must sur ce sujet :
http://video.google.com/videoplay?docid ... 256183936#
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Fais le bien, qu'on soit pas emmerdée !
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Pour ma part, cette question de qualité des produits que l'on achète maintenant camoufle un fait peu avouable: et si notre "niveau de vie" n'était pas tout simplement en train de baisser?
Je m'explique:
Avant, tu travaillais un certain temps pour pouvoir t'acheter un bien.
Ce bien, tu pouvais le léguer à tes enfants, il pouvait te servir toute ta vie.
Maintenant, tu travaille moins pour t'acheter ce bien, mais sa valeur est nettement plus faible aussi, et en plus au final il te durera seulement quelques années, et il faudra en racheter un autre bientôt.
Tu es donc prisonnier d'un système, ou tu ne peux plus espérer t'équiper pour la vie, mais toujours tu devras travailler, pour au moins conserver ce que tu as.
C'est un peu radical, peut-ètre?
En tout cas, on peut constater que les gens à faible revenu peuvent s'acheter des biens, mais non durables, qui les laissent dans l'illusion de posséder, mais ce n'est tout simplement pas le cas, car temporaire.
Quand à ne pas acheter ce qui n'offre pas une durée de vie suffisante, aller dire à quelqu'un de ne pas acheter tout court, plutôt qu'acheter du bas de gamme: il préfère avoir quelque chose que rien du tout.
La question, pour moi, est plus du changement radical de la société depuis des dizaines d'année.
Pourquoi avoir besoin, tous, de posséder des choses dont on ne se sert que quelques fois par an?
Pourquoi chacun doit-il avoir sa perceuse, sa meuleuse, sa tondeuse,...
Pourquoi encourager les gens à être totalement autonome, à ne plus compter sur les autres, à tout faire soi-même? Simplement pour les isoler, anéantir leur capacité de réaction, et créer un gigantesque marché captif.
Donc on fabrique au plus bas prix, pour que tout le monde puisse acheter, et ai l'illusion de posséder ce dont il croit avoir besoin.
Au final, tu es pris dans un système dont tu ne peux plus sortir, car il faudra toujours que tu travailles pour compenser les casses, pannes et déteriorations de ton matériel.
L'innovation technologique permet de renouveler le parc, et de remplacer l'ancien matériel fait pour durer, par un nouveau, conçu pour durer moins longtemps. Après tout, le consommateur bien éduqué n'attend que la sortie de la nouvelle évolution pour acheter.
Bref, tout va dans le sens d'isoler le consommateur, de supprimer les liens de la communauté, et de l'asservir au système marchand, qui ne demande pas mieux que des clients captifs.
Concrêtement, dans ma rue chacun préfère avoir sa tondeuse thermique à 100€, et tondre quand ça lui chante. De toute façon, à 100€, c'est une affaire, non? Si il faut en racheter une dans trois ans, ben on en rachetera une.
J'arrête là pour le moment, faudrait que je pense à structurer
Je m'explique:
Avant, tu travaillais un certain temps pour pouvoir t'acheter un bien.
Ce bien, tu pouvais le léguer à tes enfants, il pouvait te servir toute ta vie.
Maintenant, tu travaille moins pour t'acheter ce bien, mais sa valeur est nettement plus faible aussi, et en plus au final il te durera seulement quelques années, et il faudra en racheter un autre bientôt.
Tu es donc prisonnier d'un système, ou tu ne peux plus espérer t'équiper pour la vie, mais toujours tu devras travailler, pour au moins conserver ce que tu as.
C'est un peu radical, peut-ètre?
En tout cas, on peut constater que les gens à faible revenu peuvent s'acheter des biens, mais non durables, qui les laissent dans l'illusion de posséder, mais ce n'est tout simplement pas le cas, car temporaire.
Quand à ne pas acheter ce qui n'offre pas une durée de vie suffisante, aller dire à quelqu'un de ne pas acheter tout court, plutôt qu'acheter du bas de gamme: il préfère avoir quelque chose que rien du tout.
La question, pour moi, est plus du changement radical de la société depuis des dizaines d'année.
Pourquoi avoir besoin, tous, de posséder des choses dont on ne se sert que quelques fois par an?
Pourquoi chacun doit-il avoir sa perceuse, sa meuleuse, sa tondeuse,...
Pourquoi encourager les gens à être totalement autonome, à ne plus compter sur les autres, à tout faire soi-même? Simplement pour les isoler, anéantir leur capacité de réaction, et créer un gigantesque marché captif.
Donc on fabrique au plus bas prix, pour que tout le monde puisse acheter, et ai l'illusion de posséder ce dont il croit avoir besoin.
Au final, tu es pris dans un système dont tu ne peux plus sortir, car il faudra toujours que tu travailles pour compenser les casses, pannes et déteriorations de ton matériel.
L'innovation technologique permet de renouveler le parc, et de remplacer l'ancien matériel fait pour durer, par un nouveau, conçu pour durer moins longtemps. Après tout, le consommateur bien éduqué n'attend que la sortie de la nouvelle évolution pour acheter.
Bref, tout va dans le sens d'isoler le consommateur, de supprimer les liens de la communauté, et de l'asservir au système marchand, qui ne demande pas mieux que des clients captifs.
Concrêtement, dans ma rue chacun préfère avoir sa tondeuse thermique à 100€, et tondre quand ça lui chante. De toute façon, à 100€, c'est une affaire, non? Si il faut en racheter une dans trois ans, ben on en rachetera une.
J'arrête là pour le moment, faudrait que je pense à structurer
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Aumicron a écrit :chatelot16 a écrit :nous ne fabriquont plus rien : les chinois nons vendent ce qu'il ont envie de nous vendre pour gagner de l'argent : il n'y a rien a leurs reprocher ...
Au contraire, il y a beaucoup de choses à reprocher aux chinois et consorts. Principalement d'employer des gens dans des conditions dignes du moyen âge avec pour conséquence de la daube dans nos rayons ainsi que la perte des emplois et du savoir faire en Europe.
Aïe! Génial! Le syndrome chinois! ...C'est connu, le problème vient TOUJOURS de l'étranger... Pfff, et chez nous? On ne travaille pas comme des dingues? Il n'est même pas nécessaire d'aller en Espagne pour voir de l'esclavage... Mais bien sûr fermont les zyeux sur ce qui se passe à nos portes. Hum!
Et bien non, ce n'est ni les chinois, ni les arabes, ni les latinos, ni les juifs ..pas même Al Qaeda (lol) les responsables, c'est NOUS.
Il faut quand même rappeler que ce qui est produit de part le monde est le fait d'une DEMANDE. Donc oui, les responsables c'est chacun/e de nous. Et comme on le répète souvent dans ce forum (Christophe, Captain Maloche etc) On peut VOTER en choisissant mieux ses produits!
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“Le “mal” porte en lui-même sa propre condamnation”
Liste de vrai second-nez potentiels suspectés: GuyGadeboisLeRetour,alias: Twistytwik, Plasmanu, GuyGadebois, gfgh64, etc
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24/09/21, 18:50Un sujet posté dans le forum : Consommation durable: consommer responsable, alimentation, trucs et astuces
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