Adrien (ex-nico239) a écrit :...
Et la différence sève / eau est-elle une tournure de style ou réelle?
La sève est sucrée, et donc fournit de la nourriture à de nombreux organismes, insectes ou bactéries.
Adrien (ex-nico239) a écrit :...
Et la différence sève / eau est-elle une tournure de style ou réelle?
Adrien (ex-nico239) a écrit :Et la différence sève / eau est-elle une tournure de style ou réelle?
Christophe a écrit :Adrien (ex-nico239) a écrit :Et la différence sève / eau est-elle une tournure de style ou réelle?
Euh pas vraiment une tournure de style: tu connais pas le sirop d'érable ou la sève de bouleau (eau de bouleau commercialement)?
Ahmed a écrit :Je ne sais pas si ça répond à ta question, Adrien, mais on distingue deux stades dans le séchage du bois: le ressuyage et le séchage proprement dit. Le premier correspond à la disparition de l'eau présente entre les cellules, alors que le second, qui intervient ensuite, concerne l'eau contenue dans les cellules. Cette distinction peut avoir quelqu'intérêt dans le cas de bois d'œuvre puisqu'en contrôlant la vitesse de séchage on évite une partie des déformations et surtout la production de fentes qui dévalorise les plots.
Pour le bois de chauffe, ça n'a strictement aucune importance, puisque seule la vitesse peut avoir un intérêt et les fentes sont plutôt un avantage en permettant un séchage plus rapide du fait de l'augmentation des surfaces d'évaporation.
Il est absurde de se focaliser sur un temps de séchage idéal et universel, puisqu'il dépend essentiellement de facteurs variables...
Un bon moyen d'avoir du bois sec rapidement consiste à l'entreposer dans une serre basique, avec une entrée d'air à la base et une sortie calibrée en partie haute: pas besoin de régulation et le fonctionnement s'accommode de ce dispositif approximatif: l'air chauffe, se charge en humidité et sort en partie haute pour être remplacé par de l'air plus froid et plus sec...
Un autre dispositif donne également de bons résultats, mais reste anecdotique du fait qu'il demande des conditions bien plus difficiles à réunir: sur une paroi de la serre une surface d'échange est traversée par un courant d'eau froide (typiquement, ruisseau de montagne) et provoque la condensation de l'eau évaporée dans l'air de la serre; les condensats sont ensuite évacués à l'extérieur...
Adrien (ex-nico239) a écrit :Tout à fait mais quid de la sève et de l'eau contenues dans le bois au niveau séchage pour la bois de chauffage c'est pareil ou c'est différent?
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