https://www.econologie.info/share/partag ... Ejzl6Z.pdf
(Correction: Désolé, en fait , ce document ne proviendrai pas du tout de l'Hôpital de Villejuif comme il le prétend, voir post suivant)
Edit par modo, copié collé du lien: http://www.igr.fr/fr/page/communique-su ... ntaires_12 (merci Delnoram)
Communiqué sur les additifs alimentaires
ADDITIFS ALIMENTAIRES : LA MISE AU POINT DE L'IGR
Un document sur les additifs alimentaires, « distribué par l'hôpital de Villejuif », circule depuis de nombreuses années.
Ce document anonyme, qui comporte une liste de substances dont près d'une vingtaine qualifiées de "toxiques" « cancérigènes » et 25 de "suspectes", diffuse de fausses informations sur les additifs alimentaires.
Son caractère mensonger est illustré tout particulièrement par le cas de l'additif E330, présenté comme le plus dangereux, alors qu'il s'agit simplement de l'acide citrique qui existe en abondance à l'état naturel dans les agrumes.
L'Institut Gustave-Roussy, situé à Villejuif et anciennement appelé « Institut du Cancer », a précisé à différentes reprises, par des communiqués de presse, qu'il était totalement étranger à la rédaction et à la diffusion de ce tract.
Par ailleurs, certaines listes ont été diffusées sous le timbre du Ministère de la Santé et de la Famille qui a dû porter plainte, en son temps, pour usage de faux.
Bien que l'origine et la cause de ces diffusions ne soient pas élucidées, cette affaire a pour conséquence de jeter un doute dans l'esprit des consommateurs sur les procédures d'autorisation d'emploi des additifs.
Le Ministère de la Santé à rappelé régulièrement depuis 20 ans que la France est un des rares pays à pratiquer le système des listes positives dans ce domaine, c'est-à-dire qu'il est interdit d'employer, dans l'alimentation humaine et animale, tout additif (colorant, conservateur, etc.) qui ne soit pas sur les listes officielles d'autorisation d'emploi.
L'organisme public chargé de contrôler la présence d'additifs dans les produits alimentaires est :
La Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes
Il est donc possible de s'adresser à ce service pour obtenir davantage de précisions.
IGR, Juin 2002