sur moteur à essence, çà paraît plus logique à comprendre : le cyclône crée des turbulences supplémentaires très énergiques au flux du mélange carburé :
la force centrifuge aidant les gouttelettes non encore évaporées à d'abord s'éclater contre les parois et ensuite à s'y faire lécher par le flux d'air, pour mieux s'évaporer entièrement
si l'hélice à cyclôner est bien ajustée dans la
section de passage du flux à sa sortie : assez de section pour ne pas créer trop de perte de charge, mais pas trop de section pour accélérer au maximum le flux, et avec une bonne direction de sortie pour faire tourner ce flux le plus vite possible
à ce stade on arrive malheureusement au compromis du choix de la section de passage minimum en fonction du débit du flux nécessaire au remplissage des cylindres lui-même fonction de la charge et du régime souhaité
l'idéal étant une hélice à section de sortie variable
car il est possible que l'effet engendré par le
flux atteignant la vitesse du son (env.1200 km/h) ne soit pas anodin (en sachant que cet "effet peut-être bénéfique" ne peut se passer qu'à un seul compromis incluant régime et charge (régime seulement pour un diésel atmosphérique)
cet effet se passera à un régime d'autant plus bas que la section de passage minimum sera plus petite, en sachant qu'il est alors impossible de dépasser ce régime
voir ici l'explication :
http://www.ozone.ch/gasandwater/venturispecialties/laval.htm
le fait qu'on cherche à faire un cyclône ne change rien à cet effet, puisqu'il est question de vitesse
(ne pas oublier que l'effet venturi à lui seul nébulise parfaitement)
maintenant, supposons que l'effet sonique n'apporte rien à notre combustion,voyons ce que le cyclône peut produire :
on supposera que plus çà tourne vite, mieux c'est :
1)pour centrifuger les gouttelettes d'essence restantes
2)hypothétique ionisation par le frottement de ce qui pourrait avoir de suceptibible de s'ioniser contre les parois
3)pour provoquer un certain effet Ranque Hilsch :
principe
apparemment, çà augmente la T° à la périphérie et la diminue au centre du flux tournant :
ce qui est très interressant pour nous, puisque la force centrifuge à mis les gouttelettes à évaporer contre cette périphérie, justement là où la T° est la plus haute
j'ajouterais même : puisque l'effet Ranque Hilsch sépare le flux en 2 T°, en mettant la T° la plus haute contre la paroi, cette paroi deviens chaude, donc il suffirait de la refroidir avec de l'air frais bien dirigé, il s'ensuivrait que le flux périphérique se refroidirait quelque peu, puis se re mélangeant avec le flux central, une fois arrivé dans les cylindres, la T° moyenne finale pourrait être inférieure et améliorerait le remplissage des cylindres
en y repensant, faire un vrai système de Ranque Hilsch (avec une sortie froide en retour tube passant par le centre de l'hélice fixe à faire le cyclône, tube à ressortir du collecteur d'admission amont à l'hélice et reinjecter à l'aval de l'helice :
effet de 2 flux d'air à T° différentes et sens différent, çà ne vous rappelle rien
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Quand dans la nature, les masses d'air chaud et froid entrent en collision en se déplaçant en sens inverse, il se produit une décharge électrique, soit un jet, soit une boule d'énergie. Cela dépend si la masse d'air a une conductivité correspondant à un type de décharge radial ou longitudinal. De nombreuses décharges de ce genre ne nous sont pas visibles, d'autres sont amplifiées par l'humidité et rayonnent dans un champ d'énergie perçu comme une lumière colorée.
le point de départ est de réussir l'hélice (turbulateur, A.V.E.C.)
pour engendrer le maximum de vitesse de rotation avec le minimum de perte de charge
boulon