dede2002 a écrit :mais y a-t-il un risque de transmission de maladies humaines potentiellement contagieuses?
Certainement mais seulement si tu manges la paille!
dede2002 a écrit :mais y a-t-il un risque de transmission de maladies humaines potentiellement contagieuses?
voire beaucoup, beaucoup plus tardL'adolescence pour les hommes finit à 42 ans...
et tu fais caca sur le popo et je passe sur les nénés, les zizis, les cuculs?du coup moi je peux encore!! Hihihi!!
janic a écrit :voire beaucoup, beaucoup plus tardL'adolescence pour les hommes finit à 42 ans...et tu fais caca sur le popo et je passe sur les nénés, les zizis, les cuculs?du coup moi je peux encore!! Hihihi!!
Au contact de l'eau l'urine dégage tout de suite de l’ammoniac, c'est ce qui provoque l'odeur qui prends au nez, surtout dans les pissotières ou se relaient des buveurs de bière. Dans la paille ou autre matière carbonée, l'urine et son odeur sont absorbées.Christophe a écrit :Euh à voir car au bout de X pipi ça doit être bien dégueulasse, cela doit bien dégouliner de la botte de paille et être bien boueux au sol...On parle de l'odeur en été?izentrop a écrit :https://uritonnoir.com/
Les fèces véhiculent pas mal de pathogènes éliminés en 2 ans de compostage. Les urines qui n'ont pas été en contact avec les fèces présentent un risque hygiénique faible. https://www.leesu.fr/ocapi/wp-content/u ... -FINAL.pdfChristophe a écrit :Certainement mais seulement si tu manges la paille!dede2002 a écrit :mais y a-t-il un risque de transmission de maladies humaines potentiellement contagieuses?
alors tu devrais sortir un peu de ton trou. Il y a un monde au dehors et si les adolescents (il n'y a pas que des adolescents qui utilisent ce langage) n'utilisent pas ces mêmes mots ils leurs ont substitué d'autres qui ne valent pas mieux et particulièrement pour tout ce qui se passe au dessous de la ceinture. C'est la culture selon chaque époque!De la part d'un mec qui use et abuse du "c'est celui qui dit qui est", je trouve ces remarques particulièrement savoureuses, et ce d'autant plus qu'aucun adolescent digne de son âge n'emploierait ce genre de vocabulaire.et tu fais caca sur le popo et je passe sur les nénés, les zizis, les cuculs?
alors pourquoi en retrouve-t-on dans les nappes phréatiques?La plupart des médicaments sont détruits en 48 H pendant la nitrification
La nitrification se fait au contact de la terre ou dans un compost bien aéré, beaucoup plus lentement dans l'eau, car pas assez d'oxygène.janic a écrit :alors pourquoi en retrouve-t-on dans les nappes phréatiques?La plupart des médicaments sont détruits en 48 H pendant la nitrification
Tu devrais lire, c'est plein d'enseignements https://www.leesu.fr/ocapi/wp-content/u ... -FINAL.pdfSelon A. Richert et ses collaborateurs, le sol serait néanmoins un milieu plus favorable à la
dégradation des produits pharmaceutiques que l'eau, car on y trouve des niveaux d'oxygène environ
50000 fois plus élevés que dans l'eau, favorisant la biodégradation. De plus, la surface spécifique
élevée des particules du sol maximise l'exposition des produits chimiques absorbés, optimisant la
cinétique des réactions de dégradation tels que l'oxydation et la réduction. Enfin, la grande
biodiversité de la flore fongique et bactérienne du sol est également adaptée pour dégrader les
différentes sortes de molécules organiques, à la fois complexes et simples.
Un autre argument atténuant l'effet de la présence des produits pharmaceutiques dans les urines est
que la consommation humaine de substances pharmaceutiques est faible par rapport à la quantité de
pesticides (insecticides, fongicides, bactéricides et herbicides), autres substances biologiquement
actives, utilisés dans l’agriculture. Outre cela, la dose d’hormones naturelles et synthétiques et de
nombreuses substances pharmaceutiques serait plus grande dans le fumier que dans les urines
humaines (Hammer et Clemens 2007)...
... la plus grande partie de l’azote résiduel et du potassium est rejeté avec les eaux épurées
en rivières, les lacs, les mers et les nappes phréatiques entraînant d’important phénomènes de
eutrophisation, où les bactéries et les algues se développent en surface et appauvrissent rapidement
le milieu en oxygène dissous.
Au total, seulement 4% de l'azote et 41% du phosphore excrétés par les parisiens sont recyclés
(Esculier et al. 2018)...
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