Bitcoin et cryptomonnaies, c'est quoi une bulle financière? Explications en 5 minutes chrono!
-
- Econologue expert
- Messages : 17189
- Inscription : 10/12/20, 20:52
- Localisation : 04
- x 5188
Re: Bitcoin et cryptomonnaies, c'est quoi une bulle financière? Explications en 5 minutes chrono!
Bah, on a eu Paul le poulpe avec ses 12 prédictions exactes sur 14 !
0 x
-
- Modérateur
- Messages : 80083
- Inscription : 10/02/03, 14:06
- Localisation : Planète Serre
- x 11410
Re: Bitcoin et cryptomonnaies, c'est quoi une bulle financière? Explications en 5 minutes chrono!
Ah oui ça change des prédictions de Manu le gastéropode !
0 x
Faire une recherche d'images ou une recherche textuelle - Netiquette du forum
-
- Modérateur
- Messages : 80083
- Inscription : 10/02/03, 14:06
- Localisation : Planète Serre
- x 11410
Re: Bitcoin et cryptomonnaies, c'est quoi une bulle financière? Explications en 5 minutes chrono!
Sans déconner...voilà le Zemmour Coin : Zcoin !
0 x
Faire une recherche d'images ou une recherche textuelle - Netiquette du forum
-
- Modérateur
- Messages : 80083
- Inscription : 10/02/03, 14:06
- Localisation : Planète Serre
- x 11410
Re: Bitcoin et cryptomonnaies, c'est quoi une bulle financière? Explications en 5 minutes chrono!
Ah ah ah qui avait vu juste en 2017 ?
0 x
Faire une recherche d'images ou une recherche textuelle - Netiquette du forum
-
- Modérateur
- Messages : 80083
- Inscription : 10/02/03, 14:06
- Localisation : Planète Serre
- x 11410
Re: Bitcoin et cryptomonnaies, c'est quoi une bulle financière? Explications en 5 minutes chrono!
Voilà voilà...les banques paniquent et bloquent les rapatriements financiers issus des cryptos...c'est la preuve d'un fonctionnement mafieux lobbyiste voir de racket ni plus ni moins...
Les banques ferment la porte aux gagnants du bitcoin
Certains investisseurs ont gagné des fortunes dans le bitcoin. Mais le jour où ils veulent rapatrier leurs gains sur leur compte bancaire, les choses se compliquent.
Christophe (prénom d’emprunt) est tombé dans le monde du bitcoin il y a quelques années. Cet ingénieur spécialisé en mathématiques financières est fasciné par la révolution technologique proposée par les cryptomonnaies. Grâce à un joli pécule constitué en revendant les parts d’une société qu’il a créée, il débute ses investissements.
Plutôt doué en informatique, Christophe bidouille un robot trader qui donne des ordres automatiques d’achat et de vente sur de grandes plateformes d’échange de cryptomonnaies. Comme le bitcoin et les autres cryptos n’ont pas exactement le même cours sur les différentes plateformes, Christophe se dit qu’il y a de l’argent à se faire. L’astuce consiste à acheter des bitcoins là où il est le moins cher pour les revendre sur la plateforme qui propose le meilleur taux de conversion en euros ou en dollars.
Blacklisté
Le bot de Christophe fait ce qu’on appelle de l’arbitrage. Et à ce petit jeu, il s’avère plutôt doué. Bientôt, les montants échangés se chiffrent en millions d’euros. Chaque jour, sa banque (une des quatre grandes banques belges) voit transiter des millions d’euros, qui viennent d’une plateforme crypto pour repartir en fin de journée vers une autre. Ce petit manège ne dure pas longtemps. "J’ai été convoqué par ma banque. Elle m’a demandé d’arrêter, faute de quoi elle fermerait mon compte", explique Christophe.
L’ingénieur obtempère et fait appel à une banque étrangère pour héberger ses activités d’arbitrage de cryptos. Quelque temps plus tard, il prévoit un investissement immobilier en Belgique et se tourne vers une autre grande banque belge. Surprise: deux semaines après son arrivée, la banque en question ferme ses comptes. Sans explication. Christophe est blacklisté.
Aujourd’hui, une seule banque belge l'accepte encore comme client. Mais il ne peut pas utiliser son compte pour rapatrier ses gains en cryptomonnaie. "Je ne fais pas du trafic de drogue. Je ne fais rien de mal. Je peux prouver l’origine des fonds", plaide Christophe. "Je suis frustré, poursuit-il. Les banques nous poussent à vivre cachés."
Les cryptotraders ne sont pas les bienvenus
Cette mésaventure, d’autres cryptomillionnaires, mais aussi de plus petits crypto-investisseurs, l’ont vécue. Nous avons demandé aux grandes banques comment elles traitent ce genre de dossiers. Chez Belfius, on n’y va pas par quatre chemins: "Les cryptomonnaies sont des moyens connus de fraude et de blanchiment d'argent. Belfius applique une politique très stricte en la matière, et se montre extrêmement prudente vis-à-vis des transactions liées au commerce des cryptomonnaies."
Pour ING, la question est vite réglée: "Nous n'acceptons ni les clients particuliers ni les clients professionnels qui gagnent leur vie en négociant des cryptomonnaies (les "cryptotraders"). » De son côté, BNP Paribas Fortis "déconseille fortement l'achat de cryptomonnaies et invite ses clients à ne pas effectuer d'achat de cryptomonnaies par le biais de comptes détenus par la banque. (…) La banque se réserve le droit de ne pas accepter un ordre du client qu'elle soupçonne d'être illégal."
Seule KBC se montre un peu plus ouverte: "Les transactions [venant de plateformes cryptos] sont soumises à des contrôles. Notre condition principale est que le client puisse démontrer que les fonds ont été initialement investis à partir d'un compte bancaire belge."
Saucissonnage déconseillé
En vertu de la réglementation anti-blanchiment, les banques sont tenues de procéder à des contrôles des transactions de leurs clients. Elles repèrent les transactions douteuses via des algorithmes qui signalent des mouvements considérés comme suspects en raison de différents facteurs: origine des fonds, fréquence des transactions, montants... Certains rapatriements de gains cryptos passent donc sous le radar des banques. Mais il est impossible de dire précisément lesquels. Les banques restent discrètes sur le sujet. Elles ne communiquent pas les montants à partir desquels les transactions peuvent faire l'objet d'un signalement, "pour des raisons de confidentialité", nous dit-on chez KBC.
Selon nos informations, des transactions portant sur quelques milliers d'euros ont toutes les chances de passer... pour autant qu'elles ne se répètent pas trop souvent. Inutile d'espérer saucissonner un gros gain en de multiples petits virements: l'algorithme de la banque les repérerait rapidement. Si le montant des gains est conséquent, et qu'ils proviennent d'une plateforme crypto basée à l'étranger, le risque est grand que la transaction soit signalée et bloquée.
Reste la possibilité pour le client de démontrer que les fonds investis proviennent d’une activité licite. À charge pour lui de monter un dossier pour documenter ses opérations. C’est justement la spécialité de Marem Aoucheva, co-fondatrice de Complychain. Cette juriste bruxelloise spécialisée dans la compliance a été consultée par un cryptoinvestisseur qui cherchait à rapatrier trois millions d’euros de gains. "Les fonds sont licites, ils ont été transférés sur des plateformes régulées à l'étranger, assure Marem Aoucheva. Mais les banques ne comprennent pas grand-chose au marché des cryptos. Du coup, elles refusent la transaction ou demandent des délais énormes pour analyser le dossier, de l’ordre de six mois." Pour mettre toutes les chances du côté de son client, Marem Aoucheva a monté un dossier reprenant le détail de toutes les transactions depuis leur origine. Après de longs palabres avec différentes institutions, une banque a fini par accepter la transaction.
Documenter les mouvements de fonds
Il y a donc quelques signes d’ouverture. Mais, faute de procédure réellement établie, les rapatriements de gains en cryptomonnaie restent peu fréquents. Avocat chez Ethikos Lawyers, Miguel Mairlot constate ces difficultés dans sa pratique. Il conseille actuellement une dizaine de cryptoinvestisseurs qui cherchent à rapatrier leurs gains en Belgique. Pour certains, les montants vont jusqu’à dix millions d’euros. "Les banques ont une vraie aversion aux cryptomonnaies, explique Miguel Mairlot. Dès qu’un particulier est lié à ce type de placement, elles ont tendance à mettre fin à la relation."
Des cryptoinvestisseurs se sont ainsi retrouvés exclus de leur banque, sans aucune explication. Pour recoller les morceaux, il s’agit de démontrer que les soupçons de blanchiment ne sont pas fondés. "Il faut remonter toute la chaîne des transactions, montrer que les fonds viennent de revenus identifiables et démontrer que les investissements se font dans le cadre de la gestion d’un patrimoine privé", souligne Miguel Mairlot.
Vers une régulation des cryptoactifs
Vient ensuite la délicate question des plateformes d’échange de cryptomonnaies. Ces intermédiaires, généralement situés à l’étranger, sont actuellement hors du radar des autorités réglementaires. Certaines sont épinglées par la FSMA comme potentiellement frauduleuses. Inutile d’espérer rapatrier des gains réalisés sur ces plateformes douteuses.
D’autres plateformes, plus sérieuses, intègrent des procédures d’identification des clients (KYC) et obtiennent des agréments de la part des autorités des pays où elles sont implantées. "Elles font aussi appel à des sociétés spécialisées qui certifient que les cryptomonnaies ne sont pas 'teintées', c’est-à-dire qu'elles ne sont pas issues d’opérations illégales", poursuit l’avocat.
Le rapatriement de fonds cryptos s’apparente donc encore à un parcours du combattant. Mais les choses pourraient évoluer. Un règlement européen (MiCA), qui vise à réguler le marché des cryptoactifs et mieux protéger les consommateurs, est en discussion. "Dans un futur proche, on va attendre des plateformes cryptos qu’elles respectent les mêmes règles que les banques, évoque Miguel Mairlot (Ethikos Lawyers). Cela va créer un environnement plus rassurant, qui devrait faciliter les échanges entre monnaies virtuelles et monnaies traditionnelles."
https://www.lecho.be/les-marches/analys ... 66397.html
Les banques ferment la porte aux gagnants du bitcoin
Certains investisseurs ont gagné des fortunes dans le bitcoin. Mais le jour où ils veulent rapatrier leurs gains sur leur compte bancaire, les choses se compliquent.
Christophe (prénom d’emprunt) est tombé dans le monde du bitcoin il y a quelques années. Cet ingénieur spécialisé en mathématiques financières est fasciné par la révolution technologique proposée par les cryptomonnaies. Grâce à un joli pécule constitué en revendant les parts d’une société qu’il a créée, il débute ses investissements.
Plutôt doué en informatique, Christophe bidouille un robot trader qui donne des ordres automatiques d’achat et de vente sur de grandes plateformes d’échange de cryptomonnaies. Comme le bitcoin et les autres cryptos n’ont pas exactement le même cours sur les différentes plateformes, Christophe se dit qu’il y a de l’argent à se faire. L’astuce consiste à acheter des bitcoins là où il est le moins cher pour les revendre sur la plateforme qui propose le meilleur taux de conversion en euros ou en dollars.
Blacklisté
Le bot de Christophe fait ce qu’on appelle de l’arbitrage. Et à ce petit jeu, il s’avère plutôt doué. Bientôt, les montants échangés se chiffrent en millions d’euros. Chaque jour, sa banque (une des quatre grandes banques belges) voit transiter des millions d’euros, qui viennent d’une plateforme crypto pour repartir en fin de journée vers une autre. Ce petit manège ne dure pas longtemps. "J’ai été convoqué par ma banque. Elle m’a demandé d’arrêter, faute de quoi elle fermerait mon compte", explique Christophe.
L’ingénieur obtempère et fait appel à une banque étrangère pour héberger ses activités d’arbitrage de cryptos. Quelque temps plus tard, il prévoit un investissement immobilier en Belgique et se tourne vers une autre grande banque belge. Surprise: deux semaines après son arrivée, la banque en question ferme ses comptes. Sans explication. Christophe est blacklisté.
Aujourd’hui, une seule banque belge l'accepte encore comme client. Mais il ne peut pas utiliser son compte pour rapatrier ses gains en cryptomonnaie. "Je ne fais pas du trafic de drogue. Je ne fais rien de mal. Je peux prouver l’origine des fonds", plaide Christophe. "Je suis frustré, poursuit-il. Les banques nous poussent à vivre cachés."
Les cryptotraders ne sont pas les bienvenus
Cette mésaventure, d’autres cryptomillionnaires, mais aussi de plus petits crypto-investisseurs, l’ont vécue. Nous avons demandé aux grandes banques comment elles traitent ce genre de dossiers. Chez Belfius, on n’y va pas par quatre chemins: "Les cryptomonnaies sont des moyens connus de fraude et de blanchiment d'argent. Belfius applique une politique très stricte en la matière, et se montre extrêmement prudente vis-à-vis des transactions liées au commerce des cryptomonnaies."
Pour ING, la question est vite réglée: "Nous n'acceptons ni les clients particuliers ni les clients professionnels qui gagnent leur vie en négociant des cryptomonnaies (les "cryptotraders"). » De son côté, BNP Paribas Fortis "déconseille fortement l'achat de cryptomonnaies et invite ses clients à ne pas effectuer d'achat de cryptomonnaies par le biais de comptes détenus par la banque. (…) La banque se réserve le droit de ne pas accepter un ordre du client qu'elle soupçonne d'être illégal."
Seule KBC se montre un peu plus ouverte: "Les transactions [venant de plateformes cryptos] sont soumises à des contrôles. Notre condition principale est que le client puisse démontrer que les fonds ont été initialement investis à partir d'un compte bancaire belge."
Saucissonnage déconseillé
En vertu de la réglementation anti-blanchiment, les banques sont tenues de procéder à des contrôles des transactions de leurs clients. Elles repèrent les transactions douteuses via des algorithmes qui signalent des mouvements considérés comme suspects en raison de différents facteurs: origine des fonds, fréquence des transactions, montants... Certains rapatriements de gains cryptos passent donc sous le radar des banques. Mais il est impossible de dire précisément lesquels. Les banques restent discrètes sur le sujet. Elles ne communiquent pas les montants à partir desquels les transactions peuvent faire l'objet d'un signalement, "pour des raisons de confidentialité", nous dit-on chez KBC.
Selon nos informations, des transactions portant sur quelques milliers d'euros ont toutes les chances de passer... pour autant qu'elles ne se répètent pas trop souvent. Inutile d'espérer saucissonner un gros gain en de multiples petits virements: l'algorithme de la banque les repérerait rapidement. Si le montant des gains est conséquent, et qu'ils proviennent d'une plateforme crypto basée à l'étranger, le risque est grand que la transaction soit signalée et bloquée.
Reste la possibilité pour le client de démontrer que les fonds investis proviennent d’une activité licite. À charge pour lui de monter un dossier pour documenter ses opérations. C’est justement la spécialité de Marem Aoucheva, co-fondatrice de Complychain. Cette juriste bruxelloise spécialisée dans la compliance a été consultée par un cryptoinvestisseur qui cherchait à rapatrier trois millions d’euros de gains. "Les fonds sont licites, ils ont été transférés sur des plateformes régulées à l'étranger, assure Marem Aoucheva. Mais les banques ne comprennent pas grand-chose au marché des cryptos. Du coup, elles refusent la transaction ou demandent des délais énormes pour analyser le dossier, de l’ordre de six mois." Pour mettre toutes les chances du côté de son client, Marem Aoucheva a monté un dossier reprenant le détail de toutes les transactions depuis leur origine. Après de longs palabres avec différentes institutions, une banque a fini par accepter la transaction.
Documenter les mouvements de fonds
Il y a donc quelques signes d’ouverture. Mais, faute de procédure réellement établie, les rapatriements de gains en cryptomonnaie restent peu fréquents. Avocat chez Ethikos Lawyers, Miguel Mairlot constate ces difficultés dans sa pratique. Il conseille actuellement une dizaine de cryptoinvestisseurs qui cherchent à rapatrier leurs gains en Belgique. Pour certains, les montants vont jusqu’à dix millions d’euros. "Les banques ont une vraie aversion aux cryptomonnaies, explique Miguel Mairlot. Dès qu’un particulier est lié à ce type de placement, elles ont tendance à mettre fin à la relation."
Des cryptoinvestisseurs se sont ainsi retrouvés exclus de leur banque, sans aucune explication. Pour recoller les morceaux, il s’agit de démontrer que les soupçons de blanchiment ne sont pas fondés. "Il faut remonter toute la chaîne des transactions, montrer que les fonds viennent de revenus identifiables et démontrer que les investissements se font dans le cadre de la gestion d’un patrimoine privé", souligne Miguel Mairlot.
Vers une régulation des cryptoactifs
Vient ensuite la délicate question des plateformes d’échange de cryptomonnaies. Ces intermédiaires, généralement situés à l’étranger, sont actuellement hors du radar des autorités réglementaires. Certaines sont épinglées par la FSMA comme potentiellement frauduleuses. Inutile d’espérer rapatrier des gains réalisés sur ces plateformes douteuses.
D’autres plateformes, plus sérieuses, intègrent des procédures d’identification des clients (KYC) et obtiennent des agréments de la part des autorités des pays où elles sont implantées. "Elles font aussi appel à des sociétés spécialisées qui certifient que les cryptomonnaies ne sont pas 'teintées', c’est-à-dire qu'elles ne sont pas issues d’opérations illégales", poursuit l’avocat.
Le rapatriement de fonds cryptos s’apparente donc encore à un parcours du combattant. Mais les choses pourraient évoluer. Un règlement européen (MiCA), qui vise à réguler le marché des cryptoactifs et mieux protéger les consommateurs, est en discussion. "Dans un futur proche, on va attendre des plateformes cryptos qu’elles respectent les mêmes règles que les banques, évoque Miguel Mairlot (Ethikos Lawyers). Cela va créer un environnement plus rassurant, qui devrait faciliter les échanges entre monnaies virtuelles et monnaies traditionnelles."
https://www.lecho.be/les-marches/analys ... 66397.html
0 x
Faire une recherche d'images ou une recherche textuelle - Netiquette du forum
-
- Modérateur
- Messages : 80083
- Inscription : 10/02/03, 14:06
- Localisation : Planète Serre
- x 11410
Re: Bitcoin et cryptomonnaies, c'est quoi une bulle financière? Explications en 5 minutes chrono!
ps: promis c'est pas moi le Christophe
0 x
Faire une recherche d'images ou une recherche textuelle - Netiquette du forum
-
- Econologue expert
- Messages : 14306
- Inscription : 17/03/14, 23:42
- Localisation : picardie
- x 1693
- Contact :
Re: Bitcoin et cryptomonnaies, c'est quoi une bulle financière? Explications en 5 minutes chrono!
Conséquence du RC
https://www.zonebourse.com/cours/crypto ... -45511238/Zurich (awp) - Le cours du bitcoin a connu une envolée en début de semaine, qui l'a propulsé dans la région des 45'000 dollars. La reine des cryptodevises était dopée par les espoirs de baisse des taux d'intérêts, ainsi que par la perspective d'une décision favorable pour le lancement de fonds indiciels cotés (ETF).
Mercredi vers 10h30, le bitcoin se négociait autour de 43'780 dollars, soit 14% de plus qu'une semaine plus tôt, après avoir atteint dans la nuit 44'420 dollars. Sa capitalisation de marché s'est ainsi enrobée de plus de 100 milliards de dollars à 853 milliards.
Sur les 30 derniers jours, la devise cryptographique de référence, qui a reconquis la marque des 42'000 dollars pour la première fois depuis avril 2022, s'est appréciée d'environ un quart (+165% depuis le début de l'année). Pour rappel, il y a un peu plus d'un an, le bitcoin avait vu son cours plonger à 15'000 dollars, dans le sillage des turbulences causées par la faillite retentissante de la plateforme crypto FTX.
"La baisse des rendements et le regain d'appétit pour les actifs plus risqués expliquent la hausse soutenue du bitcoin, en plus des espoirs d'approbation (d'un ETF adossé au bitcoin) par la SEC", a confié à AWP Ipek Ozkardeskaya, analyste senior auprès de Swissquote. Le rallye se propage doucement à toutes les parties du marché financier, et le bitcoin présente selon elle un "important potentiel".
A l'image du bitcoin, l'ether et nombre de seconds couteaux profitaient de la probabilité grandissante de voir le régulateur américain (SEC) donner son feu vert au lancement d'ETF qui permettraient aux investisseurs institutionnels de s'engager de manière plus résolue sur le marché crypto. Plusieurs experts pronostiquent un feu vert des autorités US dès le début de l'année prochaine.
Mais la hausse pourrait aussi prendre fin brutalement même en cas d'un verdict positif de la SEC. Mathieu Ziaei, gestionnaire de portefeuille chez Criptonite Asset Management, voit dans la tendance haussière actuelle l'illustration de l'adage "buy the rumour, sell the fact", et prévient qu'après l'euphorie actuelle on risque d'assister à des prises de bénéfices à grande échelle...
0 x
-
- Modérateur
- Messages : 80083
- Inscription : 10/02/03, 14:06
- Localisation : Planète Serre
- x 11410
Re: Bitcoin et cryptomonnaies, c'est quoi une bulle financière? Explications en 5 minutes chrono!
TMF encore en PLS mentale !
Déjà il bidouille l'échelle...partir de 38 000 pour arriver à 41 000 c'est une manipulation !
Ensuite si il connaissait le fonctionnement des bitcoins, ces progressions sont tout à fait courantes...+5% en une journée c'est courant et c'est même médiocre !
Bref il démontre encore qu'il n'est compétent nul part mais vraiment nul part...sauf en manipulation crasse !
Déjà il bidouille l'échelle...partir de 38 000 pour arriver à 41 000 c'est une manipulation !
Ensuite si il connaissait le fonctionnement des bitcoins, ces progressions sont tout à fait courantes...+5% en une journée c'est courant et c'est même médiocre !
Bref il démontre encore qu'il n'est compétent nul part mais vraiment nul part...sauf en manipulation crasse !
0 x
Faire une recherche d'images ou une recherche textuelle - Netiquette du forum
-
- Econologue expert
- Messages : 14306
- Inscription : 17/03/14, 23:42
- Localisation : picardie
- x 1693
- Contact :
Re: Bitcoin et cryptomonnaies, c'est quoi une bulle financière? Explications en 5 minutes chrono!
Tu t'en prends à TMF, la raison est effectivement des spéculations en vue d'une décision du régulateur américain (SEC).
Son intervention est de démontrer une nouvelle fois la folie de ces crypto monnaies qui sont un gouffre énergétique et donc un non sens pour la lutte contre les conséquences du RC... et comme elles ne sont rattachées à aucune valeur, rien ne freine leurs envolées spéculatives ni leurs chutes.
Son intervention est de démontrer une nouvelle fois la folie de ces crypto monnaies qui sont un gouffre énergétique et donc un non sens pour la lutte contre les conséquences du RC... et comme elles ne sont rattachées à aucune valeur, rien ne freine leurs envolées spéculatives ni leurs chutes.
0 x
-
- Modérateur
- Messages : 80083
- Inscription : 10/02/03, 14:06
- Localisation : Planète Serre
- x 11410
Re: Bitcoin et cryptomonnaies, c'est quoi une bulle financière? Explications en 5 minutes chrono!
izentrop a écrit :... et comme elles ne sont rattachées à aucune valeur,
Euuuuuh…nan rien…
0 x
Faire une recherche d'images ou une recherche textuelle - Netiquette du forum
Revenir vers « Economie et finance, durabilité, croissance, PIB, fiscalités écologiques »
Qui est en ligne ?
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 95 invités