Les monarchies pointent vers une sorte d’idéal inatteignable, mêlé (pour certains) de rêves de pouvoir matériel et/ou d’autorité, de capacité d’agir, voir de conquérir (pour d’autres) la symbolique laisse libre cours à un univers de mégalomanie, voir de sentiment de toute-puissance (qui remonte à l’enfance).
Il peut y avoir toutes sortes d’interprétations, mais il y a des constantes: de la “fabrique de l’imposture” (paraître) à une sorte de “projection du moi (profond?)” (être) il y a une large panoplie qui se rejoignent!
On peut faire le parallèle avec le conte de fée (pour une reine), dans “Blanche Neige”:
— “La Reine (la femme qui interroge le Miroir) est l'âme mondaine, attachée aux apparences, dans son égoïsme satisfait. Le Miroir, c'est la conscience que cette âme peut avoir d'elle-même. Dans toute la littérature d'imagination symbolique, le miroir représente la prise de conscience de soi.”
Le miroir = le mème