mais bien sûr toujours la théorie des super riches qui roulent tout le monde dans la farine, et qui conditionnent les gens pour les rendre avides.
désolé je refuse de te suivre dans ce schéma éculé
Conséquences de la crise économique en chiffres en 2011
- Philippe Schutt
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Ce schéma simpliste n'est pas celui que je propose.
Sans développer, il y a déjà une bonne raison à cela: le manichéisme qui appose les "méchants" riches aux "bons" pauvres essentialise* deux catégories sociales fausse le débat dès le début.
On est alors amené à percevoir la réalité sociale comme divisée en victimes et en vainqueurs; ou bien le système porte le poids de la responsabilité intégrale...
Autant de fausses pistes, puisque chacun ( selon une proportion très variable) est à la fois responsable et victime d'un système qui ne s'autonomise que du fait de son abstraction.
*e.i que le riche ou le pauvre deviennent chacun une "espèce" particulière, alors que ces catégories sociales plus ou moins mouvantes résultent uniquement des rapports de forces présents à l'intérieur d'une société, qui eux mêmes déterminent les règles du jeu pérennisant gagnants ou perdants (si l'on s'en tient aux jugements de valeur usuels, ce qui est une erreur).
Sans développer, il y a déjà une bonne raison à cela: le manichéisme qui appose les "méchants" riches aux "bons" pauvres essentialise* deux catégories sociales fausse le débat dès le début.
On est alors amené à percevoir la réalité sociale comme divisée en victimes et en vainqueurs; ou bien le système porte le poids de la responsabilité intégrale...
Autant de fausses pistes, puisque chacun ( selon une proportion très variable) est à la fois responsable et victime d'un système qui ne s'autonomise que du fait de son abstraction.
*e.i que le riche ou le pauvre deviennent chacun une "espèce" particulière, alors que ces catégories sociales plus ou moins mouvantes résultent uniquement des rapports de forces présents à l'intérieur d'une société, qui eux mêmes déterminent les règles du jeu pérennisant gagnants ou perdants (si l'on s'en tient aux jugements de valeur usuels, ce qui est une erreur).
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"Ne croyez surtout pas ce que je vous dis."
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Ahmed a écrit :Ce schéma simpliste n'est pas celui que je propose.
Sans développer, il y a déjà une bonne raison à cela: le manichéisme qui appose les "méchants" riches aux "bons" pauvres essentialise* deux catégories sociales fausse le débat dès le début.
Tu énonce là une partie de la propagande d’extrême gauche...
C'est effectivement tellement plus simple de s'extraire de l'équation,autrement dis:c'est toujours de la faute des autres!
Récemment je discutais avec quelqu'un qui me disait que la situation à Notre Dame des landes était inacceptable,que l'on était en dictature etc...pour 5min plus tard me dire qu'elle avait passé d'excellente vacance à Bali!
La schizophrénie dans le discours me semble être le principal obstacle à la gestion des problèmes de notre société.
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"Le Génie consiste parfois à savoir quand s'arrêter" Charles De Gaulle.
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Philippe, je suppose que tu voulais écrire: "Wow!"...
Sen-no-sen, en effet, une bonne partie de l'argumentation traditionnelle de gauche est minée par une ambiguïté foncière; se situant sur un plan moral, elle condamne le pouvoir que confère la fortune à certains, pour mieux approuver une richesse qui serait équitablement répartie: comme je l'ai déjà écrit, "un capitalisme populaire", contradiction dans les termes qui ne semble pas poser problème à beaucoup...
Le libéralisme économique postule que la "création" de richesse intervient ex nihilo grâce à des agents possédants des talents particuliers, que cette richesse s'étendra progressivement à la société entière à partir des "modèles" initiaux et du fait de sa dynamique propre.
A partir du moment où l'aspect conflictuel de cette création est mis à jour, mais la finalité non contestée par la gauche, il est difficile de tenir cette position critique extrêmement favorable au STM...
Ceci se lit donc comme une lutte entre des catégories pour la répartition de la valeur et non comme une opposition à la valeur: antagonisme de sectes au sein d'une même religion.
Sen-no-sen, en effet, une bonne partie de l'argumentation traditionnelle de gauche est minée par une ambiguïté foncière; se situant sur un plan moral, elle condamne le pouvoir que confère la fortune à certains, pour mieux approuver une richesse qui serait équitablement répartie: comme je l'ai déjà écrit, "un capitalisme populaire", contradiction dans les termes qui ne semble pas poser problème à beaucoup...
Le libéralisme économique postule que la "création" de richesse intervient ex nihilo grâce à des agents possédants des talents particuliers, que cette richesse s'étendra progressivement à la société entière à partir des "modèles" initiaux et du fait de sa dynamique propre.
A partir du moment où l'aspect conflictuel de cette création est mis à jour, mais la finalité non contestée par la gauche, il est difficile de tenir cette position critique extrêmement favorable au STM...
Ceci se lit donc comme une lutte entre des catégories pour la répartition de la valeur et non comme une opposition à la valeur: antagonisme de sectes au sein d'une même religion.
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31/12/20, 18:40Un sujet posté dans le forum : Economie et finance, durabilité, croissance, PIB, fiscalités écologiques
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