l'automatisation n'est pas la cause , mais elle même une consequence de la taxation de la main d'oeuvre !
En partie seulement ! la plus grosse partie de ces « taxes » sert à la protection sociale (même si on peut contester l’usage qui en est fait !) Doit-on prendre pour modèle les pays où elle n’existe pas ou peu ?
il est urgent d’arrêter cette absurdité de financer la protection sociale par des charge sur ceux qui travaillent encore , et qui sont en voie de disparition , car plus il deviennent rare plus il sont taxé lourdement
Comme il faudrait trouver ce financement quelque part, cela resterait à charge de ceux qui ont un emploi.
il est urgent de financer la protection sociale par le budget general de l'etat , qui peut inventer les taxe qu'il veut pour taxer ce qui est defavorable a l'interet general , et laisser le travail normal et utile sans charge
Utopie ! qui décide de ce qu’est l’intérêt général comme si nous étions tous des clones les uns des autres avec les mêmes besoins et les mêmes exigences (à savoir que chacun est bien d’accord que ces charges doivent incomber aux autres. ) C'est aussi vouloir le beurre et l'argent du beurre!
si il n'y avait plus ces charge exessive sur le travail , on ne gaspillerait plus de l'argent a automatiser des taches facile , on embaucherait des employé ... on n'automatiserait que les tache penible la ou l'automatistion est justifié par la technnique et non pour eviter les charges sociale
Encore du rêve ! cela « marcherait » pour de toutes petites entreprises ou l’automatisation est presqu’un non sens (coût élevé des machines, amortissement sur du long terme sans certitude que le marché permettra cet amortissement), mais les grosses et moyennes entreprises ont tout intérêt à ces automatisations. (rapidité, précision et contrôle d’exécution) ce qu’aucune main d’œuvre n’est capable de concurrencer. (et cela n’a donc rien à voir avec des charges salariales.) en réalité ce discours sur les charges salariales (dont se plaignent ceux qui doivent les payer, mais plus quand il s’agit d’en profiter) n’existe qu’à cause de la mondialisation qui met en concurrence des pays à niveau de vie différent, donc inférieur. Si l’économie industrielle ne servait qu’à couvrir les besoins de sa seule population, comme depuis des siècles, ce problème des charges ne se poserait plus de la même façon.
« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré