Dette publique: faillite de la Grèce...à qui le tour?
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Je voudrais éviter une grave confusion possible.
S'il est vrai que les conditions de fonctionnement de l'économie impliquent un déterminisme (par ex., l'augmentation des investissements nécessaires à la production conduisent à des concentrations d'entreprises) dans tous les horizons, cela n'est vrai qu'à l'intérieur de ce système utopique et il est possible d'imaginer d'autres utopies en rupture avec ce déterminisme.
Le type de marchandise susceptible d'être produit oriente totalement sa nature: il faut qu'il soit suffisamment complexe (ou qu'il le semble) pour garantir qu'il ne puisse échapper au producteur.
Toute solution simple, facile à dupliquer par l'utilisateur, tout ce qui peut lui permettre d'accéder à l'autonomie est donc à bannir*.
A contrario, ceci dessine ce vers quoi il serait souhaitable de tendre pour sortir de l'impasse actuelle.
Je vais donner un exemple qui risque d'être mal interprété, mais qui me plais bien: les hommes de la préhistoire avaient trouvé le moyen de façonner des outils en os qu'ils traitaient de telle sorte que leur dureté et leur résistance mécanique se trouvait augmentée dans des proportions très importantes.
Or, aujourd'hui, avec des moyens techniques très importants, il est impossible de reproduire cette opération, on ignore totalement comment ils y parvenaient.
Si l'on ne considère les choses qu'à l'aune de l'utilité, rien ne s'oppose à des procédés simples et peu gourmands en énergie, si ce n'est la finalité actuelle antagoniste de la valorisation.
C'est ce qui explique les conflits au sujet de la réutilisation des semences paysannes.
S'il est vrai que les conditions de fonctionnement de l'économie impliquent un déterminisme (par ex., l'augmentation des investissements nécessaires à la production conduisent à des concentrations d'entreprises) dans tous les horizons, cela n'est vrai qu'à l'intérieur de ce système utopique et il est possible d'imaginer d'autres utopies en rupture avec ce déterminisme.
Le type de marchandise susceptible d'être produit oriente totalement sa nature: il faut qu'il soit suffisamment complexe (ou qu'il le semble) pour garantir qu'il ne puisse échapper au producteur.
Toute solution simple, facile à dupliquer par l'utilisateur, tout ce qui peut lui permettre d'accéder à l'autonomie est donc à bannir*.
A contrario, ceci dessine ce vers quoi il serait souhaitable de tendre pour sortir de l'impasse actuelle.
Je vais donner un exemple qui risque d'être mal interprété, mais qui me plais bien: les hommes de la préhistoire avaient trouvé le moyen de façonner des outils en os qu'ils traitaient de telle sorte que leur dureté et leur résistance mécanique se trouvait augmentée dans des proportions très importantes.
Or, aujourd'hui, avec des moyens techniques très importants, il est impossible de reproduire cette opération, on ignore totalement comment ils y parvenaient.
Si l'on ne considère les choses qu'à l'aune de l'utilité, rien ne s'oppose à des procédés simples et peu gourmands en énergie, si ce n'est la finalité actuelle antagoniste de la valorisation.
C'est ce qui explique les conflits au sujet de la réutilisation des semences paysannes.
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C'est un peu normal que tout le monde se sente un peu largué après une «crise», parce qu'on réfléchi autour du «replay» de la partie de rugby, alors qu'il faudrait faire comme on le tente ici, de la prospective pour avoir une chance de voir ce qui va se profiler et surtout comment...! Sinon, on aura toujours un match de retard.
Ahahah, je suivais ça de loin, et j'attendais l'opportunité pour dire un peu la même chose! Ça et le fait que telle une maladie comme le cancer, c'est multifactoriel.
Et honnêtement, la machine folle — fondée sur un paradigme binaire — échappe même aux plus grands experts...
C'est un peu comme les quantas (qui sont là pour expliquer quelque chose qu'on ne peut guère appréhender, mais qu'on a réussi à "cadrer"): à titre exemplatif, les banques suisses sont entrain de créer des fonds antisystémiques (UBS, etc), de cette façon la prochaîne fois, ces milieux n'auraient pas/plus(?) besoin de l'argent dans les coffres des banques nationales et continueront à faire tourner le manège et d'en sauter à temps quand ça leur chante, pendant que les pigeons restés dedans seront lessivés...!
Bien que, comme ils veulent toujours le beurre et l'argent du beurre, ils seront tentés de faire fructifier ces fonds immobilisés (puisque par le truchement même de la logique systémique, cet argent perd sa valeur à vitesse grand "V"), et donc certains se feront raser le tout avant même d'avoir pu dire "ouf" (je parle des nano-secondes du speed trading)
C'est mal parti pour la prochaîne, ou il n'y aura plus jamais l'opportunité de leur dire: «donnant-donnant...»
A quand la quantification boursière de la «méchanceté humaine»? A moins que ce ne soit la bourse toute entière qui en soit le reflet.
lejustemilieu a écrit :L'état providence correspondait aux "trente glorieuses", époque pendant laquelle coïncidait une forte croissance et un essor de l'emploi.
J'espère avoir été assez clair, ô Justemilieu?
Etat providence = socialisme de l'ouest
Dans les pays socialistes du passé ( ex pays de l'est), il fallait travailler pour toucher quelques kopek.
Merci Ahmed d'essayer de me faire comprendre.
En fait, je crois que j'ai beaucoup de mal à accepter que les gens qui ont le pouvoir, ont si peu de scrupules.
Ahahah, je suivais ça de loin, et j'attendais l'opportunité pour dire un peu la même chose! Ça et le fait que telle une maladie comme le cancer, c'est multifactoriel.
Et honnêtement, la machine folle — fondée sur un paradigme binaire — échappe même aux plus grands experts...
C'est un peu comme les quantas (qui sont là pour expliquer quelque chose qu'on ne peut guère appréhender, mais qu'on a réussi à "cadrer"): à titre exemplatif, les banques suisses sont entrain de créer des fonds antisystémiques (UBS, etc), de cette façon la prochaîne fois, ces milieux n'auraient pas/plus(?) besoin de l'argent dans les coffres des banques nationales et continueront à faire tourner le manège et d'en sauter à temps quand ça leur chante, pendant que les pigeons restés dedans seront lessivés...!
Bien que, comme ils veulent toujours le beurre et l'argent du beurre, ils seront tentés de faire fructifier ces fonds immobilisés (puisque par le truchement même de la logique systémique, cet argent perd sa valeur à vitesse grand "V"), et donc certains se feront raser le tout avant même d'avoir pu dire "ouf" (je parle des nano-secondes du speed trading)
C'est mal parti pour la prochaîne, ou il n'y aura plus jamais l'opportunité de leur dire: «donnant-donnant...»
A quand la quantification boursière de la «méchanceté humaine»? A moins que ce ne soit la bourse toute entière qui en soit le reflet.
Dernière édition par Obamot le 04/11/12, 22:26, édité 2 fois.
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“Le “mal” porte en lui-même sa propre condamnation”
Liste de vrai second-nez potentiels suspectés: GuyGadeboisLeRetour,alias: Twistytwik, Plasmanu, GuyGadebois, gfgh64, etc
Liste de vrai second-nez potentiels suspectés: GuyGadeboisLeRetour,alias: Twistytwik, Plasmanu, GuyGadebois, gfgh64, etc
les banques suisses sont entrain de créer des fonds antisystémique (UBS, etc), de cette façon la prochaîne fois, ces milieux n'auront pas besoin de l'argent dans les coffres des banques nationales et continueront à tenir le couteau par le manche...!
De fait c'est une illusion, pour rassurer leurs clients, et leurs dirigeants, car la prochaine crise systémique sera là, où on ne l'attend pas (système chaotique très complexe ) et des fonds insuffisants, car sinon ils n'ont plus de bénéfices du tout, vu que le bénéfice est basé sur la prise de risques excessifs, en croyant que ce sont des risques bien gérés !!!
Les quantas n'ont rien à voir, à part les contresens de littéraires, qui ne font pas l'effort minimum pour comprendre la mécanique quantique et la science en général , qui cadre très bien les quantas, avec plein d'appareils qui marchent sans cesse dans nos mains !!!
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Olivier Delamarche, Chronique du 6 novembre 2012
Cette fois par téléphone, un dialogue assez musclé sur la fin. Il faut dire que le journaliste est un titilleur.
Cette fois par téléphone, un dialogue assez musclé sur la fin. Il faut dire que le journaliste est un titilleur.
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le temps du retrait est venu
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Merde l'on viré du plateau ou quoi lol?
Dans la même famille je demande: https://www.econologie.com/forums/post244085.html#244085
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lejustemilieu a écrit :....En fait, je crois que j'ai beaucoup de mal à accepter que les gens qui ont le pouvoir, ont si peu de scrupules.
Un petit exemple :
La longue traque des avoirs de Kadhafi
Un an après la mort de Mouammar Kadhafi, les nouvelles autorités de Tripoli poursuivent la traque de son magot, disséminé à travers le monde. Le journal anglais The Telegraph l'évalue à plus de 87 milliards.
............
lire en entier : http://www.lefigaro.fr/international/20 ... adhafi.php
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moinsdewatt a écrit :La longue traque des avoirs de Kadhafi
Un an après la mort de Mouammar Kadhafi, les nouvelles autorités de Tripoli poursuivent la traque de son magot, disséminé à travers le monde. Le journal anglais The Telegraph l'évalue à plus de 87 milliards.
............
Je ne vois pas trop le rapport entre un dictateur et l'escroquerie de la dette...ah si il y en a un tu fais bien d'en parler... la Libye était un des pays les moins endetté au monde...
Cf: http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_de_p ... e_publique
En 2010 c'était même le dernier des 131 pays comptabilisés:
131 Libye 3,30% du PIB
Tenez l'Iran n'est pas mauvais élève non plus:
114 Iran 16,20%
Tout ceci vaut bien une petite leçon...de démocratie militaire...
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