Christophe a écrit :T'énerve pas Raymond! C'est plus dangereux là, ca devient juste comique...
Si on est pas foutu de foutre à terre MAINTENANT ce système mafieux avec tout ce que cela implique...alors on ne le fera plus jamais...
Hier, au boulot, un gars du syndicat m'a demandé mon opinion sur la grève générale qui aura lieu le 30 janvier en Belgique.
Je lui ai répondu qu'il faut regarder plus haut, et trouver qui tire les ficelles.
Je lui ai dit que l'agence standar et poor est sortie d'un chapeau de magicien, et que c'est elle qui dispose du pouvoir contrairement à ce que dit Sarcoléon.
Pas content le syndicat

Standard & Poor's publie 48 fois par an une lettre d'information hebdomadaire d'analyse du marché boursier. Intitulée The Outlook, littéralement « Perspectives », elle est disponible aux abonnés en édition papier et électronique.
Début 2011, sur fond de tensions entre les républicains et les démocrates, et dans l'incapacité de sortir d'un blocage financier, l'agence de notation a émis l'hypothèse d'un abaissement de la notation des États-Unis qui possèdent des dettes publiques d'environ 98 % de leur PIB (avril 2011), ce qui en fait un des pays les plus endettés au monde.
Le 5 août 2011, l'agence de notation abaissait la note attribuée à la dette publique à long terme des États-Unis de « AAA », la note maximale, au niveau immédiatement inférieur (« AA+ »), ce qui n’était pas arrivé à ce pays depuis 19171,2. Elle qualifiait de « négative » sa perspective à long-terme, avec la possibilité d’une nouvelle baisse de la notation dans les deux ans à venir et justifiait sa décision, entre autres critères, par les « risques politiques » de voir le pays prendre des mesures insuffisantes contre son déficit public. La note de la dette à court terme attribuée par Standard & Poor's restait cependant inchangée à « A-1+ »3. Parmi les éléments économiques à l'appui de cette dépréciation figurait initialement une projection de dette de deux mille milliards de dollars qui avait été comptabilisée deux fois par erreur. Malgré la reconnaissance implicite de cette erreur, Standard & Poor’s maintenait et justifiat la dégradation de la dette à long terme4. L'incident jetait un doute grave sur la crédibilité et le sérieux des agences de notation financière en général et de S & P en particulier, qui pourrait faire l'objet d'une enquête de la Securities and Exchange Commission (SEC)5. Ce manque de rigueur s'illustrera à nouveau le 10 novembre 2011, date à laquelle la société annonce par erreur à certains de ses abonnés que la "note" de la France a été dégradée alors qu'il n'en est rien6, avec comme conséquence un suivi plus poussé de l'entreprise par l'Autorité européenne des marchés financiers. Mais dans ce cas-ci elle déclara ne pas avoir l'intention de toucher à la note de la France7.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Standard_%26_Poor%27s