Dette publique: faillite de la Grèce...à qui le tour?

Economie actuelle et développement durable sont-ils compatibles? PIB, croissance (à tout prix), développement économique, inflation...Comment concillier l'économie actuelle avec l'environnement et le développement durable.
Christophe
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par Christophe » 11/04/12, 11:09

http://www.challenges.fr/entreprise/201 ... tures.html

Crise, chômage, hausses d'impôts, les Français ont de plus en plus de difficultés à s'acquitter de leurs dettes. Depuis deux ans, trimestre après trimestre, la capacité des ménages à régler leurs factures s'amenuise selon le Contentia Recovery Index (CRI). Parti d'une base 100 en septembre 2010, il a plongé à 89,3 au premier trimestre de cette année. (...)
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dedeleco
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par dedeleco » 18/05/12, 21:04

La Grèce approche de la sortie de l'€, la confiance diminue, le gouvernement démissionne, les Grecs retirent leurs fonds des banques ou convertissent en autre chose, et la monnaie Grecque drachme a même déjà une valeur faible dans les ordinateurs à Londres et l'€ dégringole.

http://finance.blog.lemonde.fr/2012/03/ ... a-athenes/

http://www.lemonde.fr/economie/article/ ... _3234.html

http://conjoncture.blogs.challenges.fr/ ... -euro.html

http://h16free.com/2012/05/15/15145-le- ... la-drachme

http://cib.natixis.com/flushdoc.aspx?id=63603

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2012 ... r-grec.php

http://www.lepoint.fr/economie/grece-la ... 435_28.php

http://www.boursorama.com/actualites/al ... cf0fdef92d

et ce n'est pas 5 ans, mais quelques mois :
https://www.econologie.com/forums/post224798.html#224798

L'Espagne est mal partie, avec ses banques trop dans un immobilier insolvable.


http://blogs.mediapart.fr/blog/lechiffr ... e-de-socie

La réalité des chiffres fait un gouffre, des milliers d'€ perdus par chaque français.

À eux seuls, les contribuables français risquent de devoir régler une facture de 66,4 milliards d'euros (soit un peu plus que le budget annuel de l'Éducation nationale), au cas ou Athènes déciderait de ne rien rembourser, a calculé Éric Dor, directeur de la recherche à l'Institut d'économie scientifique et de gestion (IESEG). On comprend la réticence de l'Allemagne à passer l'éponge sur la dette grecque : étant donné son poids dans l'Union monétaire, Berlin devrait débourser encore plus d'argent que Paris, à due proportion de son poids dans le capital de la Banque centrale européenne (BCE) et de ses garanties apportées au pare-feu de la zone euro, le fameux Fonds européen de stabilité financière (FESF).

Le gros de la facture serait présenté par la BCE. Au 31 mars 2012, la dette de la Banque de Grèce auprès de l'institution de Francfort s'élevait à 104 milliards d'euros, notamment à cause de la fuite des capitaux qui a frappé la Grèce depuis le début de la crise. En cas de défaut grec, la perte serait répercutée sur les banques centrales nationales, qui en elles-mêmes pourraient en appeler aux États pour recapitaliser la Banque centrale européenne, a due proportion de leur poids initial dans son capital. Facture pour la France : 22,7 milliards.
Les banques aussi

Une somme à laquelle il faut ajouter la valeur des obligations souveraines grecques rachetées par la BCE pour tenter de ramener la confiance (estimées à 45 milliards d'euros). Pour l'Hexagone, cela coûterait encore 9,8 milliards d'euros supplémentaires, calcule Éric Dor.

Et ce n'est pas fini. En mai 2010, les États européens ont volé au secours d'Athènes en lui octroyant des prêts bilatéraux, juste avant la mise en place du Fonds européen de stabilité financière (FESF). La France a déjà versé 11,4 milliards d'euros, une somme qu'elle a dû emprunter et qui a augmenté sa propre dette... En cas de sortie de la Grèce de la zone euro, elle risque de ne jamais en revoir la couleur non plus.

Pas plus que les garanties apportées au FESF pour lui permettre de faciliter l'effacement de la moitié de la dette privée grecque et financer le second plan d'aide à la Grèce décidé en juillet 2011. Encore 23,5 milliards supplémentaire de pertes potentielles pour l'État français et donc pour le contribuable...

À cela il faut ajouter celles qu'essuieraient les banques françaises. En admettant que la drachme dévalue de 50 % par rapport à l'euro, celles-ci pourraient perdre plus de 19 milliards à cause des quelque 39 milliards de prêt qu'elles ont accordés à la Grèce (banques, ménages et surtout entreprises) assure Éric Dor, en se fondant sur des estimations de la Banque des règlements internationaux (BRI) actualisée au 31 décembre 2011. De quoi calmer les ardeurs de ceux qui voudraient punir Athènes en l'expulsant de la zone euro.

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Obamot
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par Obamot » 18/05/12, 21:46

Le pire dans tout ça, c'est qu'avec 16% des suffrages, la gauche radicale devait théoriquement être en mesure de gouverner sans coalition. Or qu'a-t-on vu en décidant de nouvelles législatives? Que le vote populaire aurait été séquestré pour confisquer le gouvernement au peuple ! Alors que légalement ce n'était pas nécessaire.

Le message est donc devenu: vous pouvez voter «démocratiquement» tant que c'est un des deux parti majoritaire en place qui gagne....

Elle n'est pas belle l'hypocrisie européenne? :mrgreen: :cheesy:

Quel foutoir! De plus:

— chacun sait que beaucoup de banques sont elles-même à l'origine de la crise!
— parmi elles, certaines ont dû faire appel aux banques nationales pour ne pas faire faillite...
— parmi ces banques – qui sont réputées "savoir calculer et évaluer les risques", puisqu'elles ne font quasiment que ça, c'est leur boulot – nulle n'était censée ignorer que les états pourraient devenir insolvables pas moins que les particulier, pour l'Espagne la Grèce comme ailleurs (voir divers scandales dont le dernier avec Dexia).

Alors qu'outre-Atlantique, on s'apperçoit que des banques réputées solides comme JPMorgan (parmi les premières banques du pays!) plongent aussi dans l'hyperspéculation...

Mais à quelle jeu jouent-elles?

Les banques ne souhaiteraient-elles pas en secret faire exploser la zone euro? Pour quel motif? Sinon, pourquoi ne sont-elles pas assignées devant les tribunaux, pour n'avoir pas correctement octroyé des crédits. Sont-elles prisonnières du propre système qu'elles ont engendrée, soit des rendement toujours plus élevés, impossible à réaliser...

Ne sommes-nous pas rentré dans l'ère de l'hypercapitalisme, peu avant que tout le bateau de la finance ne s'engouffre dans les flots, tel le Titanic!

Car je ne suis pas sûr qu'elle résisterait à l'impact de la sortie de plusieurs pays de la zone euro! Voilà pourtant à quoi toute cette hypocrisie risque de nous mener...

Y'a-t-il un financier dans la salle, pour nous expliquer où l'on va? :mrgreen: :cheesy:
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Ahmed
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par Ahmed » 19/05/12, 12:48

Ce qui est admirable, et donc doit porter à une légitime circonspection, c'est l'unanimité (avec des nuances dans l'enthousiasme) qui fait de la finance le responsable de tous les maux!
Une étrange et suspecte schizophrénie semble tétaniser les esprits et réconcilier, au moins sur ce point, les opinions qui vont de l'extrême droite à l'extrême gauche, en passant par les courants intermédiaires...

Cette recherche d'un bouc émissaire, et de celui là en particulier, rappelle pas mal de souvenirs à tous ceux pour qui l'antisémitisme de l'entre-deux guerres signifie quelque chose: on reprend les même recettes (en édulcorant l'aspect antisémite) et on recommence!

Opposer une finance avide de profit et ne brassant que du vent à une économie réelle méritante mais victime d'une cruelle désaffection est une opposition dépourvue du moindre fondement.
L'hyper-rationnalité de la sphère économique ne doit pas faire écran à sa réalité fondamentale qui est complétement utopique et absurde.
Le problème intéressant de la bouteille à moitié pleine ou à moitié vide peut amener (par un détour improbable, je le reconnais volontiers!) à se demander, au lieu de considérer le marché économique comme atteint de déviances pathologiques nécessitant une régulation politique afin de le "moraliser" (sic!), si ce n'est pas son essence véritable d'aller jusqu'au bout de sa logique auto-transcendante* et de fonctionner de façon autonome en ignorant les nécessités humaines.
Considérées de la sorte, les choses me semblent devenir beaucoup plus claires...

*Auto-transcendentale: la transcendance est une notion métaphysique (pas de panique!) :qui désigne la source de valeurs supérieures s'appliquant à un domaine subordonné. Typiquement, le sacré oriente l'action humaine dans la vie pratique.
L'auto-transcendence constitue une boucle logique où un domaine est à lui même sa propre justification et impose ses normes à tous les autres; c'est pourquoi une "régulation" de l'économie par le politique est totalement illusoire, ce dernier n'étant que l'expression de la première.
Ça n'empêche évidemment pas un gouvernement "socialiste" d'accéder au pouvoir, du moment que le "socialisme" en question soit au service de la promotion et de la défense du capitalisme...
(Les critiques de Macro, loin d'être des a priori, sont parfaitement fondés.)
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par Obamot » 19/05/12, 18:31

Bein si même la gauche radicale accepte de se faire harakiri, y'a de quoi pleurer...

Mais j'aime bien te tendre la perche! :cheesy: Oui, c'est peine de voir à quel point la «dēmokratía» (qui n'est juste que la "forme", au lieu d'être potentiellement la remise en question de la forme) a été confisquée au peuple et a fini par contenir en elle-même les compromissions intrinsèques, qui l'empêcherait d'aboutir à des solutions réelles — d'abord en ayant le courage d'examiner: les causes, puis le fond et enfin la forme. Alors oui, la finance à beau dos même si c'est une cause potentielle certaine (pas de financement = pas d'abus possible... et alors pas besoin de ...consensus!).

Quant à la «schizophrénie», ce sont des pathologies parmi tant d'autres (il faudrait plusieurs tomes...). Mais ça commence avec l'autisme:

Image

Je n'élude pas l'équilibrisme génial (et salutaire pour les neuronnes) dont tu fais preuve souvent dans tes démonstration, puisque je retiendrais largement que la «régulation» serait fréquemment un emplâtre sur une jambe de bois! Au lieu d'être un réel outil conduisant vers l'équitté...

Mais n'est-on pas parvenu au cas contraire avec la crise de l'euro (comme à bien d'autres occasions): ce serait l'économie qui régulerait le politique (situation que le courageux Hollande entendrait éventuellement inverser à ce que j'ai cru comprendre... puisqu'avec toute la bonne volonté du mondre et ses 60 propositions, il s'interdirait largement les mêmes compromissions que ses prédecesseurs «socialo-centristes»...?)

Quant à Macro, je l'approuve également lorqu'il ne verse pas dans la xénophobie primaire, mais ses critiques gagneraient à être fondées sur un bilan et non sur des à prioris.
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par Ahmed » 19/05/12, 21:38

Alors oui, la finance à beau dos même si c'est une cause potentielle certaine...

Évidemment, la finance est également une cause seconde (et pas seulement potentielle), mais pour moi elle n'est pas séparable de la sphère économique dans laquelle elle est incluse et c'est la crise de l'économie qui entraîne un certain "détachement" et une suractivité de la partie financière.
Si tu veux, cette formulation s'oppose diamétralement à l'idée d'une finance prédatrice de l'économie "réelle".
Comme tu l'as bien compris, ce n'est pas de ma part une approbation aux agissement de la finance, mais la volonté de démêler les causes des conséquences et de sortir des manichéismes simplistes.
Quant à la régulation, moralisation, tout ça fait partie du spectacle qui établit un contre poids symbolique pour mieux permettre l'acceptation du pire, c'est de la novlangue orwellienne où le faux est le vrai...

Lorsque Mittal ferme les aciéries françaises et belges ce n'est pas pour des raisons techniques, mais parce qu'il veut privilégier des unités plus rentables et peser sur le cours de l'acier...
Mittal, comme tout ses homologues n'est pas un producteur d'acier, c'est un producteur d'argent, au sens numéraire du terme.
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par Obamot » 19/05/12, 23:26

Ahmed a écrit :
Alors oui, la finance à beau dos même si c'est une cause potentielle certaine...

Évidemment, la finance est également une cause seconde (et pas seulement potentielle), mais pour moi elle n'est pas séparable de la sphère économique dans laquelle elle est incluse et c'est la crise de l'économie qui entraîne un certain "détachement" et une suractivité de la partie financière.
Si tu veux, cette formulation s'oppose diamétralement à l'idée d'une finance prédatrice de l'économie "réelle".

Aaarf, ok. Oui en effet, je n'y avais pas pensé sous cet angle. Mais oui, en effet, le système de prédation est plus largement répandu que la finance elle-même... J'avais préparé une suite à titre exemplatif, j'aurais dû la publier tout de suite (mais alors je n'aurais pas eu ta réponse :mrgreen: ). La voici telle quelle et jusque là où je suis remonté:

Obamot, ‘OFF’ forum a écrit :Quant à la finance, elle est la pointe de l'iceberg (désolé de t'avoir tendu la perche :mrgreen: )

Ce qu'on interprète comme de la schizophrénie, tire probablement ses racines du tréfond de nos mécanismes de défense, dont notamment celui du stress, qui se décompose (généralement) en trois options possibles:
— «répondre directement» (les forces de défense sont mobilisées), c'est la riposte immédiate: la loi du talion, elle n'est autorisée en société qu'en cas de légitime défense.
— «prendre sur soi» (c'est l'adaptation à l'agent stressant, la résistance), hautement encouragé par les religions avec la notion de renoncement qu'elles prodiguent et généralement bien condisérée dans la société, puisque propice à la paix... Dans ce cas, le sujet est soit dans le pathos, soit dans une sorte de [fin de rédaction manquante]
— «l'auto-destruction» (Le stade d'épuisement, lors duquel le sujet est inexorablement atteint si l'agent stressant est suffisamment puissant et agit longtemps.), une explication est que le mécanisme de l'anxiété engendrée par la réprobation sociale (à «répondre directement»), qui font que les sujets retournent contre eux-même, l'énergie destructrice qu'ils auraient utilisée pour se défendre!

Ainsi, la deuxième et la troisième options sont propice à un certain autisme — si ce n'est plus grave lorsqu'elles rentrent dans le pathos [issued] – vers diverses pathologies, dont celle que tu cites (car elles sont nombreuses!)

Mais comme tout ça est fondé sur nos réactions de primates, cela traverse les âges...

Cet après-midi pendant ma sieste (ça m'arrive: en réponse à l'option 2 et pour éviter la ...3 et la 1...), je me demandais comment construire une société fondée sur la décroissance, pour qu'elle soit réellement viable ...?

J'ai fini par m'endormir... :mrgreen: :cheesy:

Voilà pour l'aparté, donc le système et bien ancré dans nos esprit... jusqu'au cerveau réptilien, semble-t-il...

Ahmed a écrit :Comme tu l'as bien compris, ce n'est pas de ma part une approbation aux agissement de la finance, mais la volonté de démêler les causes des conséquences et de sortir des manichéismes simplistes.

Un gros boulot, mais nécessaire (même si certains feignent de ne pas comprendre... parce que certaines choses les dépassent...?)

Ahmed a écrit :Quant à la régulation, moralisation, tout ça fait partie du spectacle qui établit un contre poids symbolique pour mieux permettre l'acceptation du pire, c'est de la novlangue orwellienne où le faux est le vrai...

Là, certains diront qu'on touche à la psychologie, d'autres se réfugieront dans les croyances (tellement la tâche leur semble hors d'atteinte, et probablement elle l'est...). Parmi eux, il y en a qui sont sincères, et d'autres encore qui ont atteint le principe de Peter...

Ahmed a écrit :Lorsque Mittal ferme les aciéries françaises et belges ce n'est pas pour des raisons techniques, mais parce qu'il veut privilégier des unités plus rentables et peser sur le cours de l'acier...
Mittal, comme tout ses homologues n'est pas un producteur d'acier, c'est un producteur d'argent, au sens numéraire du terme.

C'est donc eux qui fabriquent des composants pour la chaise électrique? :mrgreen:
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“Le “mal” porte en lui-même sa propre condamnation”

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par moinsdewatt » 20/05/12, 12:35

La prochaine grosse affaire c' est les problémes de la banque tazue JP. Morgan.

Allez suivre ca dans la presse.
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dedeleco
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par dedeleco » 20/05/12, 13:06

moinsdewatt a écrit :La prochaine grosse affaire c' est les problémes de la banque tazue JP. Morgan.

Allez suivre ca dans la presse.


JP Morgan noyaute tout, même la BCE, avec son nouveau chef, après avoir manipulé la Grèce, et avoir refilé les prêts immobiliers pourris en les camouflant, cause de la crise actuelle, du à la déréglementation totale, par manipulation politique !!!


Lisez le livre :
La Banque
Comment Goldman Sachs dirige le monde

par Marc Roche ed. Albin Michel
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tagor
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par tagor » 20/05/12, 18:21

dedeleco a écrit :

Lisez le livre :
La Banque
Comment Goldman Sachs dirige le monde

par Marc Roche ed. Albin Michel


un resume ici :

http://www.agoravox.fr/actualites/econo ... ne-a-59168
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