Concernant l'idée du caractère oppressif de l'écologisme économico-transitionnel*, deux attitudes seraient à éviter: si l'on éprouve de véritables inclinations écolos, les prendre pour ce qu'elles prétendent être, ou s'en offusquer si l'on reste un capitaliste inoxydable dans l'âme. Il ne s'agit là que d'une énième mutation du capitalisme, certes avec des aspects destructeurs, mais de façon moins dramatique qu'une guerre, fut-elle "bonne", et crier à la tyrannie des "khmers verts" au nom de celle du marché, n'est guère soutenable, ni dans son principe, ni dans la réalité, puisque ce n'est que la nouvelle posture de ce dernier...
* On ne vous l'avait encore jamais faite celle-là, d'expression? Avouez!
