http://fr.wikipedia.org/wiki/Banque_de_ ... .A9mission
La Banque de France (BdF) est la banque centrale française. La Banque de France n’est pas une entreprise privée, c’est une institution dont le capital appartient entièrement à l’État.[2] À ce titre, sur l'exercice 2007, le dividende versé à l’État s’élève à 1739 millions d’euros et l'impôt sur les sociétés, à 1396 millions d'euros.[3]
Créée le 18 janvier 1800 par le premier consul Napoléon Bonaparte, elle avait pour premier rôle d'émettre des billets payables au porteur et à vue. En 1811, elle installe son siège dans l'Hôtel de Toulouse, ancien hôtel particulier du Comte de Toulouse Louis Alexandre de Bourbon (1678-1737), rue de la Vrillière, dans le 1er arrondissement de Paris, l'accueil du public se faisant aujourd'hui au 31 rue Croix des Petits Champs.
Institution bicentenaire, nationalisée en 1945, indépendante du pouvoir politique depuis 1994, la Banque de France a perdu une part de son autonomie lorsque la politique monétaire de la zone euro a été confiée à la Banque centrale européenne (BCE). La BdF est membre du Système européen de banques centrales et son gouverneur siège au conseil des gouverneurs de la BCE. En raison de la réduction du champ de compétence de la Banque de France, le nombre d’employés, qui bénéficient d’un régime spécial de retraites, est voué à décroître.
La Banque de France et la politique de change
Le billet de banque s'est détaché progressivement de sa base or au cours du XXe siècle : le cours forcé, instauré en 1914, n'a été qu'en partie supprimé en 1928, puis rétabli en 1936. Depuis cette date, la valeur du billet repose essentiellement sur la confiance que le public lui accorde, confiance elle-même basée sur une saine gestion monétaire. L'or a ainsi cessé d'être un moyen de règlement interne pour devenir uniquement une réserve de change que la Banque de France a été naturellement appelée à administrer.
La Banque de France et la politique monétaire
Avec l'extension de ses attributions à la fourniture de liquidités au système bancaire et à l'organisation du crédit, la Banque de France a ainsi été amenée à participer de plus en plus activement à la politique monétaire.
S'il est vrai que les banques bénéficient d'un pouvoir de création monétaire (par les crédits qu'elles accordent), ce pouvoir n'en est pas moins limité par les contraintes de liquidité qui s'imposent à elles.
c'est exactement ce qui est présenté dans tous les documents que nous avons vus.
La mondialisation, c'est une prise de pouvoir mondiale par un petit groupe d'individus qui utilise des intêrets perçus à partir d'argent virtuel : ETOURDISSANT
est ce que cette mondialisation apportera la paix et la stabilité mondiale?
Je l'espère, car aprés tout, les précédents essais par la guerre ont été pires que cette guerre financière, et je suis pour une unification
D'un autre côté, je ne souhaite pas rester un esclave de la société
et en principe, nous ne devrions travailler que pour produire ce dont nous avons besoin pour vivre et nous distraire