Quand on a un comportement loyal on reprend toutes les citations et non pas partiellement pour leur faire dire ce que toi tu veux bien.
pedrodelavega a écrit :Obamot a écrit :Evidemment qu'il vaudrait bien pour un indépendant, ne pas se lancer dans des activités "non rentables" ce n'est pas ce que j'ai voulu dire
C'est pourtant ce que tu as écrit là:Obamot a écrit :pedrodelavega a écrit :Si l'artisan n'atteint pas son seuil de rentabilité, son travail n’augmente pas ses revenus. Si son travail est pénible, que se passe-t-il?
Non, il n'a pas besoin de l'atteindre, puisqu'il reçoit automatiquement la partie des revenus qui lui permet de vivre.
Si je prends le schéma classique qui a cours dans l'industrie et l'artisanat, celui des 3 tiers: 1/3 marchandises achat, 1/3 FG, 1/3 bénef, on peut estimer que le RBI pourrait couvrir 1/3 (lorsque nous avons un couple cela ferait quand même 5'000 CHF....)
Donc si on raisonne part l'absurde, il pourrait travailler sans facturer ses heures, juste en vendant les fournitures!
[En bleu le passage que tu avais volontairement extrait] Curieusement ça n'est plus contradictoire pour quelqu'un qui sait lire avec son cerveau.
pedrodelavega a écrit :Et là:Je connaissais la règle des 3 tiers sur les bénéfices, pas celle sur le CA. 33% du CA en bénef, c'est pas mal. Mais si ces 33% ne sont couverts que par le RBI, il vaut peut être mieux arrêter de travailler pour rien et profiter de son temps libreObamot a écrit :Si je prends le schéma classique qui a cours dans l'industrie et l'artisanat, celui des 3 tiers: 1/3 marchandises achat, 1/3 FG, 1/3 bénef, on peut estimer que le RBI pourrait couvrir 1/3 (lorsque nous avons un couple cela ferait quand même 5'000 CHF....) [...] — actuellement le système est cantonal [...] truchement de l'augmentation des taux hypothécaires [...] Le RBI sera aussi un soutient efficace au secteur primaire, frange de la population de la filière agricole [...] on peut redéfinir la notion de "valeur ajoutée", de même que l'on peut comprendre qu'il n'en faut pas beaucoup pour 'créer du revenu", puisque les contraintes de "rentabilité" sont un peu plus subjectives, si on admet par exemple les travaux saisonniers, où là c'est "le plein boum" (comme dans l'agriculture) alors on vend beaucoup, il y a des profits, puis s'ensuit toute une période de revenus moins importants, où l'on tire un peu le diable par la queue... Il y a en effet des tas d'activités qui ne sont "momentanément" PAS rentables
Et bien si tu ne connais pas cette règle, qu'est-ce qui te permet de la commenter et de le contredire?
Effectivement, ça ne marcherait pas ainsi en France pour toutes sortes de raison. Je ne voudrais pas d'une PME domiciliée en France!
Il y a plusieurs indépendants dans mon giron familial et je fais le bilan/CPP chaque année et je sais de quoi je parle. Tu devrais t'installer ici
J'ai aussi dit que c'était cantonal et que cela dépendait du taux hypothécaire (donc montant des loyers...)
Si tu prends l'ensemble de ces paramètres, tu comprends à qui je m'adresse et pourquoi cela devient possible.