Accident nucléaire au Japon, un Tchernobyl nippon?
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...en même temps on ne peut pas dire qu'il n'ont «rien fait» depuis Kobe, car si Tokyo avait été rayée de la carte en raison des effondrement d'immeubles. La situation serait pire encore.
Il ne faut pas oublier que le ciel leur est tombé sur la tête avec le séisme + tsunami + cata nucléaire.
Ils ont donc forcément été contraints de fixer des priorités... D'ailleurs ils ont assez vite cessé de rechercher des survivants, tellement ils étaient débordés.
A contrario, on commence juste à voir les enseignements qu'il faudrait en tirer si ça se passait dans nos régions denses en population et fortement urbanisées (je devrais dire «lorsque ça se passera», parce que ça arrivera si on n'arrête pas ça, c'est inévitable!).
Tchernobyl aura coûté mille milliard, combien pour Fukushima et la suivante?
Croyez-vous que ce sera tellement différent ici qu'au Japon?
— Tous les services seront débordés;
— Le gouvernement et l'armée ne feront que se qu'ils pourront dans l'urgence;
— Par la panique, les supermarchés et magasins seront vidés d'un coup.
— Les circuits d'approvisionnement habituel seront alors débordés par la demande...
— Les populations ne seront pas approvisionnées...
— Les gens seront sommés de restés chez eux!
— D'ailleurs la plupart ne pourront pas faire autrement, car le carburant viendra vite à manquer.
— Les gens ne pourront donc pas tout mettre dans un camion et déménager rapidement (pas assez de camion pour déporter des centaines voire des millions de personnes).
— Les populations seront donc prises au piège!!!
— Idem pour les huiles de chauffage pour ceux qui auront leur cuve vide en saison froide...
— Les populations seront laissées livrées à elles-même dans la grande majorité des cas, tous les services seront débordés;
— Comme nous ne sommes pas habitués à de grosses catastrophes, si ça devait se produire, toutes les infrastructures aussi seraient paralysée plus longtemps qu'au Japon, et les voies d'accès coupées.
— Les stock d'iode seront très vite épuisés, les pharmacies vidées, il n'y en aura pas en suffisance dans un périmètre de 50 km voire au-delà,.
— Lorsque ce sera à nouvean disponible, les gens en prendront, mais ça sera déjà bien trop tard;
— Il n'y aura pas de retour à la normale avant 1 mois au minimum;
— Les vivres et l'eau manqueront, vu qu'on ne fait pas de stock traditionnellement, comme au Japon ou ils ont des «survival kits» avec nourriture!
— De nombreux mois passeront avant des solutions de relogement provisoires;
— Comme au Japon, les autorités se voudront rassurantes «pour ne pas effrayer la population»!
— Comme au Japon elles tairont la vérité «parce que de toute façon on ne peut rien y changer» et il faut «garantir la paix civile» avant tout pour éviter des scènes de pillages.
— Comme au Japon, l'électricité manquera...
— Des scènes de pillages pourraient justement avoir lieu en raison de cet état d'urgence et du manque de transparence;
— Il y a fort à parier qu'il y aura un couvre-feu, dès lors que nous ne sommes pas aussi «respectueux et civilisés» que les japonnais!
— Comme en temps normal, la situation est déjà tendue au plan économique, les pays touchés seront en situation de crise économique et verront leur endettemment multiplié.
— La crise économique perdurera, par la perte de confiance sur les produits indigène.
— Le secteur de l'exportation souffrira immensément.
— Les médecins seront chargés «d'étouffer les inquiétudes» de la population, mais ils auront bien du mal à cacher les cas liés aux irradiations qui se multiplieront.
— Par la suite la balance des naissnces déjà déficitaire sera encore accrue. Il faudra largement faire appel à l'immigration pour compenser, avec tous les problèmes politiques que cela suggère.
— Les responsabilités seront difficile à mettre en évidence, et ce ne sera ps les sociétés privées ni les assurances qui en feront les frais, mais l'ensemble de la population!
— Beaucoup auront tout perdu et il n'y aura pas de dédomagement.
Etc..
Bref lorsque ça arrivera, le «système D» sera roi et ça sera pire qu'au Japon, si on ne fait rien au plan de la prévention.... Vu que les japonnais avaient tout prévu, n'importe comment ça ne fera pas une grande différence. Mais nous voilà prévenus: ça coûterait quand même beaucoup moins cher d'en sortir...
Il ne faut pas oublier que le ciel leur est tombé sur la tête avec le séisme + tsunami + cata nucléaire.
Ils ont donc forcément été contraints de fixer des priorités... D'ailleurs ils ont assez vite cessé de rechercher des survivants, tellement ils étaient débordés.
A contrario, on commence juste à voir les enseignements qu'il faudrait en tirer si ça se passait dans nos régions denses en population et fortement urbanisées (je devrais dire «lorsque ça se passera», parce que ça arrivera si on n'arrête pas ça, c'est inévitable!).
Tchernobyl aura coûté mille milliard, combien pour Fukushima et la suivante?
Croyez-vous que ce sera tellement différent ici qu'au Japon?
— Tous les services seront débordés;
— Le gouvernement et l'armée ne feront que se qu'ils pourront dans l'urgence;
— Par la panique, les supermarchés et magasins seront vidés d'un coup.
— Les circuits d'approvisionnement habituel seront alors débordés par la demande...
— Les populations ne seront pas approvisionnées...
— Les gens seront sommés de restés chez eux!
— D'ailleurs la plupart ne pourront pas faire autrement, car le carburant viendra vite à manquer.
— Les gens ne pourront donc pas tout mettre dans un camion et déménager rapidement (pas assez de camion pour déporter des centaines voire des millions de personnes).
— Les populations seront donc prises au piège!!!
— Idem pour les huiles de chauffage pour ceux qui auront leur cuve vide en saison froide...
— Les populations seront laissées livrées à elles-même dans la grande majorité des cas, tous les services seront débordés;
— Comme nous ne sommes pas habitués à de grosses catastrophes, si ça devait se produire, toutes les infrastructures aussi seraient paralysée plus longtemps qu'au Japon, et les voies d'accès coupées.
— Les stock d'iode seront très vite épuisés, les pharmacies vidées, il n'y en aura pas en suffisance dans un périmètre de 50 km voire au-delà,.
— Lorsque ce sera à nouvean disponible, les gens en prendront, mais ça sera déjà bien trop tard;
— Il n'y aura pas de retour à la normale avant 1 mois au minimum;
— Les vivres et l'eau manqueront, vu qu'on ne fait pas de stock traditionnellement, comme au Japon ou ils ont des «survival kits» avec nourriture!
— De nombreux mois passeront avant des solutions de relogement provisoires;
— Comme au Japon, les autorités se voudront rassurantes «pour ne pas effrayer la population»!
— Comme au Japon elles tairont la vérité «parce que de toute façon on ne peut rien y changer» et il faut «garantir la paix civile» avant tout pour éviter des scènes de pillages.
— Comme au Japon, l'électricité manquera...
— Des scènes de pillages pourraient justement avoir lieu en raison de cet état d'urgence et du manque de transparence;
— Il y a fort à parier qu'il y aura un couvre-feu, dès lors que nous ne sommes pas aussi «respectueux et civilisés» que les japonnais!
— Comme en temps normal, la situation est déjà tendue au plan économique, les pays touchés seront en situation de crise économique et verront leur endettemment multiplié.
— La crise économique perdurera, par la perte de confiance sur les produits indigène.
— Le secteur de l'exportation souffrira immensément.
— Les médecins seront chargés «d'étouffer les inquiétudes» de la population, mais ils auront bien du mal à cacher les cas liés aux irradiations qui se multiplieront.
— Par la suite la balance des naissnces déjà déficitaire sera encore accrue. Il faudra largement faire appel à l'immigration pour compenser, avec tous les problèmes politiques que cela suggère.
— Les responsabilités seront difficile à mettre en évidence, et ce ne sera ps les sociétés privées ni les assurances qui en feront les frais, mais l'ensemble de la population!
— Beaucoup auront tout perdu et il n'y aura pas de dédomagement.
Etc..
Bref lorsque ça arrivera, le «système D» sera roi et ça sera pire qu'au Japon, si on ne fait rien au plan de la prévention.... Vu que les japonnais avaient tout prévu, n'importe comment ça ne fera pas une grande différence. Mais nous voilà prévenus: ça coûterait quand même beaucoup moins cher d'en sortir...
Dernière édition par Obamot le 13/04/11, 12:17, édité 2 fois.
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Oui c'est clairement un record...mais la situation est elle même exceptionnelle !
En plus on s'est un peu ramollit la semaine dernière !
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Green Peace manifeste devant les bureaux d'hydro-Québec à Montréal pour que la seule centrale nucléaire ici au Québec ne soit pas rénover mais plutôt fermé.
http://fr-ca.actualites.yahoo.com/green ... 0-995.html
Des activistes de Greenpeace bloquent actuellement l'entrée du siège social d'Hydro-Québec sur le boulevard René-Lévesque, à Montréal.
Le groupe de pression demande à Hydro-Québec de fermer sa centrale nucléaire, Gentilly-2, plutôt que d'entamer sa reconstruction aux coûts de deux milliards de dollars.
C'est aujourd'hui, à Trois-Rivières, qu'Hydro-Québec doit demander le renouvellement du permis d'opération pour Gentilly-2 auprès de la Commission canadienne de sûreté nucléaire.
Les militants, tout habillés d'une combinaison blanche, ont déposé des barils jaunes devant l'édifice avec des cordons de sécurité et des banderoles sur lesquelles ont peut lire « Hydro-Québec : Fermez Gentilly-2! » et « M. Charest : Misez sur les énergies propres! ».
Selon des témoins, les employés pouvaient tout de même entrer dans l'édifice en empruntant d'autres accès.
L'organisme questionne le choix de dépenser deux milliards de dollars pour la réfection de la centrale, « alors que le Québec prévoit un surplus d'énergie ».
Donnant en exemple l'accident nucléaire de Fukushima, au Japon, et celui de Tchernobyl il y a 25 ans, Greenpeace rappelle que l'industrie nucléaire est considérée par plusieurs comme dangereuse.
Selon Shawn-Patrick Stensil, responsable de la campagne nucléaire pour Greenpeace, « Il est facile d'éliminer les risques d'accidents nucléaires comme ceux de Fukushima au Québec : il suffit de fermer Gentilly-2 et de remplacer la centrale par des énergies propres et durables ».
Greenpeace précise que la société d'État n'a jamais fourni de preuves quant à la rentabilité de la réfection de Gentilly-2 en comparaison aux alternatives sécuritaires.
« En sortant du nucléaire, le Québec pourrait allouer les milliards de dollars prévus pour la réfection de Gentilly-2 au développement des énergies renouvelables et aux économies d'énergie qui créeraient plus d'emplois tout en évitant les risques du nucléaire. Il faut qu'Hydro-Québec le dise haut et fort au premier ministre Jean Charest ».
Gentilly-2 est la seule centrale nucléaire du Québec. Arrivée à la fin de sa vie, elle doit être fermée d'ici 2013, mais Hydro-Québec souhaite la rénover pour poursuivre les opérations.
Le président-directeur général d'Hydro-Québec, Thierry Vandal, a indiqué le mois dernier que l'avenir de la centrale nucléaire de Gentilly-2 à Bécancour, dans le Centre-du-Québec, est entre les mains du gouvernement québécois.
http://fr-ca.actualites.yahoo.com/green ... 0-995.html
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Faire un pas derrière parfois peut permettre de renforcer l'amitié.
La critique est une bonne chose si ajouté a quelque compliments.
Alain
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Un nouveau gros problème...
http://lci.tf1.fr/monde/asie/2011-04/fu ... 87523.html
http://lci.tf1.fr/monde/asie/2011-04/fu ... 87523.html
Plus question d'utiliser de l'eau pour refroidir les réacteurs : leur arrosage intensif a provoqué l'accumulation de 60.000 tonnes d'eau radioactive, dont les techniciens ne savent que faire. Le problème est donc double : trouver d'autres méthodes de refroidissement, et évacuer l'eau irradiée.
Après avoir longtemps classé l'accident de Fukushima Daiichi au niveau 5 sur l'échelle internationale des événements nucléaires (INES), soit deux crans en-dessous de la catastrophe de Tchernobyl, les autorités japonaises ont accepté mardi de le relever au niveau maximum, c'est-à-dire au niveau 7, reconnaissant implicitement que le cas de la centrale japonaise figure parmi les plus graves jamais enregistrés. Cela signifie surtout qu'un "rejet majeur de matières radioactives" s'est produit avec "des effets considérables sur la santé et l'environnement".
Parmi ces rejets, il faut compter l'eau utilisée pour refroidir les réacteurs en surchauffe, qui s'est en partie accumulée dans le sol, et qui a en partie ruisselé jusqu'au Pacifique tout proche. Dans les premiers jours suivant le séisme et le tsunami, lorsque les techniciens ont été confrontés au problème d'un circuit de refroidissement devenu inutilisable et de barres de combustible en surchauffe, avec même un début de fusion, faisant craindre des fuites massives de matériaux fortement irradiés hors de l'enceinte de confinement du réacteur, la stratégie initiale a consisté à déverser de l'eau sur les réacteurs endommagés. Résultat : quelque 60.000 tonnes d'eau radioactive saturent aujourd'hui le site, compliquant l'accès aux réacteurs et posant la question de leur vidange.
Secousses à répétition
Cette eau devenue radioactive lors de ces tentatives de refroidissement est depuis devenue un problème à part entière. Les autorités japonaises ont ainsi reconnu jeudi qu'il pourrait être nécessaire de trouver d'autres moyens de refroidir le réacteur numéro 2 de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi. "Il pourrait être difficile de vidanger entièrement l'eau contaminée et par conséquent d'autoriser la poursuite du travail. Nous pourrions avoir à réfléchir à d'autres options", a déclaré Hidehiko Nishiyama, directeur général adjoint de l'Agence nationale de sûreté nucléaire et industrielle (Nisa). Mais rien n'a été dit jusqu'à présent sur ces "autres options".
Compliquant un peu plus le travail des techniciens, les secousses n'ont pas cessé depuis le séisme du 11 mars. Aucune jusqu'à présent n'a sérieusement aggravé la situation de la centrale de Fukushima Daiichi. Mais plus de 400 répliques de magnitude 5 et plus ont été enregistrées depuis le 11 mars. La dernière en date s'est produite tôt jeudi matin au large des côtes du nord-est du Japon, et elle a atteint la magnitude de 6,1, selon l'institut de géophysique américain. Ce nouveau séisme a été enregistré à 5h57, heure locale, à une profondeur de seulement 11,2 kilomètres, à 190 kilomètres à l'est de Morioka, sur l'île de Honshu. Or selon les experts, les bâtiments de la centrale, déjà fragilisés, pourraient subir de nouveaux dégâts en cas de fortes secousses répétées.
Suicide d'un centenaire près de Fukushima
Un Japonais de 102 ans, qui craignait de devoir abandonner sa maison située dans un village à 40 km de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima Daiichi, s'est suicidé, a annoncé jeudi sa famille à l'agence de presse Jiji. L'homme, qui a mis fin à ses jours mardi, était le doyen du village d'Iitate. En raison des risques liés aux radiations, la population a été évacuée dans un rayon de 20 kilomètres autour de la centrale sinistrée à la suite du séisme et du tsunami du 11 mars. Lundi dernier, le gouvernement japonais a annoncé qu'il serait peut-être nécessaire d'étendre cette zone dans les semaines qui viennent et a demandé aux 5000 habitants d'Iitate de se préparer à partir.
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L'homme est par nature un animal politique (Aristote)
- sherkanner
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lejustemilieu a écrit :Un nouveau gros problème...
http://lci.tf1.fr/monde/asie/2011-04/fu ... 87523.html
Pas nouveau, depuis qu'ils ont commencés ont le savait.
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Quand on travail, il faut toujours se donner à 100%: 12% le lundi; 25% le mardi; 32% le mercredi; 23% le jeudi; et 8% le vendredi
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- sherkanner
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lejustemilieu a écrit :Et c'est maintenant seulement qu'ils cherchent des solutions..
Mais c'est pas possible d'être aussi idiot...
Difficile de réfléchir sans cerveau.
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Quand on travail, il faut toujours se donner à 100%: 12% le lundi; 25% le mardi; 32% le mercredi; 23% le jeudi; et 8% le vendredi
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Où ça un cerveau?
Et dire qu'ils avaient de l'électricité gratos en abondance pour désaliniser l'eau de mer et l'entreposer dans des réservoirs de secours en cas de pépin, et le pauvre petit ordinateur neurophile qui leur sert de cerveau n'y a même pas pensé...
Pas assez cher mon fils !!!?
Ce qui est PROUVÉ avec Fukushima est que: ÇA PEUT, DONC ÇA SE REPRODUIRA ENCORE...
Et dire qu'ils avaient de l'électricité gratos en abondance pour désaliniser l'eau de mer et l'entreposer dans des réservoirs de secours en cas de pépin, et le pauvre petit ordinateur neurophile qui leur sert de cerveau n'y a même pas pensé...
Pas assez cher mon fils !!!?
Ce qui est PROUVÉ avec Fukushima est que: ÇA PEUT, DONC ÇA SE REPRODUIRA ENCORE...
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Le centenaire pouvait rester chez lui, sans danger les radiations pour lui, moins que le suicide !!
Enfin vu la situation la chaleur n'est pas maitrisée et cela va reexploser à terme et dépasser Tchernobyl, avec 4 réacteurs abîmés surchauffant à perpétuité !!
Temperatures rise at No.4 spent fuel storage pool 90°C
http://www3.nhk.or.jp/daily/english/13_35.html
Même avec de l'eau dessus la caléfaction empêche de refroidir et les problèmes de l'eau contaminée sont subsidiaires par rapport au risque d'explosion du coeur fondu bien plus forte !
A terme 4 explosions Tchernobyls au lieu d'une et 200Km évacués au minimum !!
Enfin vu la situation la chaleur n'est pas maitrisée et cela va reexploser à terme et dépasser Tchernobyl, avec 4 réacteurs abîmés surchauffant à perpétuité !!
Temperatures rise at No.4 spent fuel storage pool 90°C
http://www3.nhk.or.jp/daily/english/13_35.html
Même avec de l'eau dessus la caléfaction empêche de refroidir et les problèmes de l'eau contaminée sont subsidiaires par rapport au risque d'explosion du coeur fondu bien plus forte !
A terme 4 explosions Tchernobyls au lieu d'une et 200Km évacués au minimum !!
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