Le but est de faire baisser la fécondité par la même occasion..
Ah ben tiens, voila une bonne nouvelle !
La voila la solution a la demographie galopante !
Remundo a écrit :Pour revenir au MOX, j'ai trouvé un document plus accessible sur la puissance thermique résiduelle d'un assemblage de MOX comparée au UO2 avec leur temps de décroissance en années... et un petit article de synthèse consacré au MOX.
Source : La Gazette Nucléaire
La courbe parle d'elle-même et on comprend bien pourquoi le Daiichi n°3 est le plus incertain.
La découverte d'eau extrêmement radioactive dans le réacteur n° 2 de la centrale nucléaire de Fukushima-1 a provoqué une nouvelle évacuation des techniciens s'employant à relancer le processus de refroidissement de la centrale, dimanche 27 mars. Tepco, l'exploitant de la centrale, a confirmé que la radioactivité dans l'eau qui s'est accumulée dans la salle des turbines de ce réacteur "est 10 millions de fois plus élevé que le niveau de radioactivité de l'eau qui se trouve généralement dans un réacteur en bon état".
"Il existe une forte probabilité pour que les barres de combustible aient été endommagées", a dit un porte-parole de la compagnie, confirmant ainsi que le coeur du réacteur avait probablement subi des dommages. Jeudi, trois ouvriers, chaussés seulement de bottines en caoutchouc, ont été irradiés en marchant dans une flaque d'eau très fortement radioactive lors d'une intervention dans la salle de la turbine du réacteur n° 3. Deux ont dû être hospitalisés avec des brûlures aux pieds.
Tepco a annoncé que des experts doivent désormais déterminer où évacuer l'eau contaminée pompée dans trois réacteurs. "Nous allons installer une pompe et évacuer l'eau vers un condensateur", a précisé le responsable, ajoutant qu'il comptait commencer les opérations "dans la journée" de dimanche. Enfin, l'exploitant de la centrale a décidé de ne plus utiliser de l'eau de mer pour refroidir une partie des réacteurs, craignant que des dépôts de sel entravent le processus de refroidissement. Après avoir arrosé les réacteurs d'eau salé pendant deux semaines, Tepco a décidé d'utiliser désormais de l'eau douce.
Conscient du risque toujours important d'un désastre nucléaire, le porte-parole du gouvernement japonais n'était guère optimiste, dimanche. "Nous aimerions pouvoir donner un programme clair sur quand cela va être résolu, et ceux qui travaillent sur le site pensent la même chose, a déclaré Yukio Edano. Mais je ne peux pas être plus optimiste que la réalité".
RADIOACTIVITÉ EN HAUSSE AU LARGE DE FUKUSHIMA
Deux des six réacteurs sont maintenant considérés comme stabilisés à Fukushima-1, mais les quatre autres, qui émettent par intermittence de la vapeur ou de la fumée, suscitent des inquiétudes. Outre le réacteur n° 2, le réacteur n° 3 est surveillé de très près. Les autorités japonaises ont cru que le fort taux de radioactivité dans ce réacteur, qui concentre le plus d'inquiétude en raison de son état précaire, signifiait que la cuve était peut-être endommagée. L'Agence de sûreté nucléaire japonaise a ensuite estimé que cela pouvait provenir d'opérations de dégagement de vapeur menées pour faire retomber la pression, ou d'une fuite d'eau dans les tuyaux ou les valves.
Le taux de radioactivité dans le littoral au large de la centrale de Fukushima a encore augmenté, selon des mesures de l'Agence japonaise de sûreté nucléaire. A 300 mètres du rivage, le degré d'iode 131 était dimanche 1 850 fois supérieur au niveau habituel, alors qu'il était 1 250 supérieur samedi. Hidehiko Nishiyama, responsable de l'agence, a répété que les particules de radioactivité seront dispersées et diluées et ne constituent de ce fait pas un danger pour la vie marine ou la consommation de poissons. Reste la crainte de diffusion du césium 137, une substance radioactive dont la concentration ne se réduit de moitié que tous les 30 ans. Tepco dit avoir mesuré une concentration presque 80 fois supérieure à la limite légale de cette substance. La zone d'exclusion de 20 kilomètres autour de la centrale a déjà provoqué l'évacuation de près de 177 000 habitants.
A Tokyo, dimanche matin, la dose de radioactivité ambiante était de 0,22 milliSievert par heure, soit six fois la normale pour la ville. Cela reste néanmoins dans la fourchette de la moyenne mondiale de radioactivité naturelle, comprise entre 0,17 et 0,39 milliSievert/heure. Selon les derniers bilans fournis par les autorités japonaises, le séisme et le tsunami qui ont frappé l'île le 11 mars ont fait 10 489 morts et 16 621 disparus. Plus de 240 000 personnes étaient toujours logées dans des campements provisoires.
Obamot a écrit :Pour revenir à nos moutons, le dir de GreenPeace était hier soir à «On n'est pas couché» de L.R. Il a révélé que Tchernobyl avait coûté 1000 milliards d'€uros !!!!
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