Cogénération nucléaire

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jonule
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par jonule » 28/01/08, 16:34

to confonds, remundo :

le granit rayonne par rayonnement gamma, ça ne bouge pas de place !

alros que les particles émises par les tours sont des particules alpha : les moins dangereuses ? oui à arrêter à distance, mais pas quand elles rentrent DANS notre corps à travers .. le nez où nous respiront, puis les poumons, puis directement les bronchioles alvéoles car leur taille est suffisamment microsopique, et directement dans le sang !
la comme les métaux lourds (c'en est) ça se fixe au coeur, cerveau, et irradie une zone microscopique mais irradie extrèmement !

au niveau de la surface des poumons la taille est rendue négligeable par les statisitiens pronucléaires, mais cela engendre cancers et malformations, qui peuvent se transofrmer en mutations génétiques et transmissibles ... pour les moins chanceux.

je vois que tu n'as pas lu les liens que j'ai fourni.





je dis : va donc vivre à côté d'une centrale nucléaire si tu y trouves l'air sain !

bon, maintenant qu'on a banni en france les mines d'uranium car trop nocives pour l'homme et l'environnement, regarde ce que ça donne au Niger ! facile de parler de délocalisation !
oui faire mourrir les autres à distance et se le faire livrer, c'est ce qu'on a de mieux ?

comprends pas !

est-ce que tu savais rémundo qu'on respire tous le même air sur la terre, et que celui ci est balayé aux 4 coins de la planète ?

regarde les vents du sahara qui se déposent pleins de sable sur les voitures, au sahara ont eu lieux les 1ers essais avec leurs catastrophes incontrolables, mais tu n'étais pas là tu attends certainement une autre catastrophe ?
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Christophe
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par Christophe » 28/01/08, 16:44

jonule a écrit :c'est à la CRIIRAD qu'il faut le demander je crois, ou sinon directement à EDF via l'IRSN.
http://www.criirad.org/
sur ce site on trouve les impacts des conséquences de l'exploitation de l'uranium en France, tchernobyl, les aliments importés irradiés, commander un mesureur de radioactivité, etc ...
l'organisme indépendant (comme le CRIIGEN ogm) dresse une carte de filtres mesurés, dommage qu'ils ne le fassent pas + ailleurs :
http://balisescriirad.free.fr/

(...)

alors, info ou intox ?


Blablablabala...blabalblabla...ca fait 30 ans qui nous les brisent ces écolos anti nuke...sans jamais proposer d'alternatives VIABLES! Combien de millions d'euro Greenpeace et le Criirad ont-ils dépensé en 30 ans juste pour faire du VENT autour du nucléaire? Combien ont-il investit dans des centrales biomasse ou dans la recherche de solution? La réponse : 0!

Je réitère également ma question:

je propose de calculer le % des écolos anti nucléaire qui l'ouvrent bien fort et qui chauffent soit leur ECS soit leur logement soit les 2 à l'électricité!
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Remundo
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par Remundo » 01/02/08, 00:37

Bonjour Jonule,



jonule a écrit :le granit rayonne par rayonnement gamma, ça ne bouge pas de place !

alros que les particles émises par les tours sont des particules alpha : les moins dangereuses ? oui à arrêter à distance, mais pas quand elles rentrent DANS notre corps à travers .. le nez où nous respiront, puis les poumons, puis directement les bronchioles alvéoles car leur taille est suffisamment microsopique, et directement dans le sang !
[]
est-ce que tu savais rémundo qu'on respire tous le même air sur la terre, et que celui ci est balayé aux 4 coins de la planète ?


Bon, tu dois habiter vraiment, vraiment près de la centrale...

Parce qu'une particule alpha, même de haute énergie, est arrêtée par quelques centimètre d'air. Alors je te raconte pas comment elle fait pour traverser du béton armé :P

Le granit rayonne du gamma, mais c'est infime. Je vis au milieu du granit du massif central et je me porte très bien.

Là où tu as raison, c'est lorsque l'on fixe un Emetteur alpha (comme des atomes de plutonium ou d'uranium) dans le poumon. alors là, c'est très dangereux, même mortel. Mais ce combustible est ultraconfiné au coeur de la centrale et fait l'objet de beaucoup de précautions... mais le risque zéro n'existe pas, cela allant dans ton sens farouchement antinucléaire, qui est respectable.

Merci de m'avoir appris qu'on respire tous le même air et que des échanges atmosphériques sont très intenses. Je ne m'en doutais pas :mrgreen:

Amicalement !
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le temps du retrait est venu
tagor
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par tagor » 01/02/08, 08:07

Remundo a écrit :Parce qu'une particule alpha, même de haute énergie, est arrêtée par quelques centimètre d'air. Alors je te raconte pas comment elle fait pour traverser du béton armé :P


voici une étude allemande qui n'a pas tenu compte de cela !!

Augmentation des cas de cancer infantile autour des centrales
nucléaires

Histoire des taux de radiations auxquels les populations sont exposées

par le Pr Edmund Lengfelder, Strahlenbiologisches Institut de
l'Université Ludwig-Maximilian de Munich

Une étude allemande menée entre 2003 et 2007 pour le compte de
l'Office fédéral de protection radiologique (BfS) a été publiée
récemment. Elle porte sur la question de savoir s'il existe une
corrélation entre la fréquence des cancers chez les enfants et la
proximité du lieu d'habitation de ces derniers avec une centrale
nucléaire. Précisons-le d'emblée: la commission d'experts
externes composée aussi bien de partisans que d'adversaires du
nucléaire mise sur pied par le BfS a conçu une étude extrêmement
détaillée et rigoureusement scientifique dont les résultats sont
parfaitement clairs. La probabilité qu'un enfant soit atteint
d'un cancer, en particulier d'une leucémie, augmente
considérablement en fonction de la proximité de l'endroit où il
grandit avec une centrale nucléaire (cf. courbe ci-contre). Cette
étude apporte des preuves évidentes de cette corrélation. Cet effet
cancérogène ne peut être associé à aucun autre agent qu'à la
radioactivité diffusée par les effluents gazeux et liquides des
centrales nucléaires.
Cependant, dans son résumé de l'étude, la mathématicienne qui a
conduit la recherche, Maria Blettner, prétend, en contradiction
évidente avec les connaissances en matière de radiobiologie et de
radiophysique, qu'au vu des résultats le nombre des cancers
augmente certes en fonction de la proximité avec la centrale
nucléaire - ce qu'on ne saurait contester - mais que la cause
du phénomène reste inexpliquée.
Pour que le message soit diffusé par la presse, l'étude a été
envoyée à la Süddeutsche Zeitung avant la conférence de presse,
probablement accompagnée de l'«explication des principaux
résultats». En effet, dans le peu de temps qui restait jusqu'au
bouclage du journal, aucun journaliste ne serait en mesure
d'étudier les 335 pages d'un texte hautement scientifique et la
Süddeutsche Zeitung ne voulait pas se laisser griller la primeur de
l'information. Et après la conférence de presse, les autres journa
listes n'approfondiraient guère le sujet: lecture du dossier de
presse et du résumé, quelques coups d'oil jetés au texte de
l'étude et ils livreraient bientôt leur article. Rares sont ceux
qui auront pris le temps de découvrir, à la suite d'une lecture
approfondie, l'aspect tendancieux du résumé.
Il convient, dans le contexte de cette étude, d'aborder à nouveau
la question des cen trales nucléaires. On ne peut pas négliger ces
résultats sans engager lourdement sa responsabilité vis-à-vis de la
santé publique. Les choses sont claires: Pour les profits nets
habituels de 1 million d'euros par jour des actionnaires et des
exploitants, les centrales nucléaires font dans la population des
alentours des victimes de cancers et de leucémies. Il est certain que
les valeurs-limites d'exposition au rayonnement devront être
considérablement réduites si nous prenons au sérieux la santé de
nos enfants et des générations futures.
Il faut saluer le fait que la Suisse - à la suite de pressions
politiques - ait l'intention de commander une étude analogue, à
condition qu'elle soit préparée avec le même soin et le même
souci d'équilibre que l'étude allemande.
Remarque préliminaire

Pour que vous puissiez vous faire une idée de qui je suis, j'ai
joint à cet article un curriculum vitae (cf. encadré). Vous y
découvrirez entre autres que mes activités scientifiques dans le
domaine des effets des radiations et de leurs risques comprennent la
rédaction d'un ouvrage sur le sujet. Depuis 20 ans, l'essentiel
de mes activités porte sur les conséquences sanitaires et
écologiques de la catastrophe de Tchernobyl et les maladies dues
également aux faibles doses radioactives que l'on constate dans la
région de Tchernobyl dans des zones importantes situées assez loin
du site nucléaire. En tant que médecin et scientifique, je me suis
rendu plus de 150 fois dans la région de Tchernobyl. En 2006,
plusieurs organisations scientifiques ont organisé un congrès
international consacré à la catastrophe au cours duquel de nombreux
spécialistes reconnus ont évoqué les effets sanitaires et autres de
la catastrophe, également celui des faibles doses. Les actes de ce
congrès, qui contient le texte de tous les exposés, viennent de
paraître.

Histoire des valeurs-limites

Abordons maintenant la question des valeurs-limites légales en
Allemagne en matière d'exposition au rayonnement. Elles sont de 0,3
mSv (par inhalation) et de 0,3 mSv (par ingestion). Comment en est-on
arrivé à ces valeurs? Depuis de nombreuses années, j'étudie à
fond la question et j'ai publié avec mon collègue Scholz (depuis
longtemps à la retraite) un texte de 37 pages intitulé
Strahlenschutz in der Bundesrepublik: Das 30-Millirem- Konzept
(Rapport No 1 (1989) de l'Otto Hug Strahleninstitut (ISBN
0941-0791). On peut encore en obtenir des exemplaires par mon
intermédiaire. L'internationalisation des valeurs a fait passer de
30 millirems à 0,3 mSv, norme en usage aujourd'hui. Le point de
départ de la norme des 30 millirems est constitué par la
recommandation de la Commission internationale de protection
radiologique (CIPR) de 1958 (ICRP-1: Recommendations of the
Commission on Radiological Protection, Pergamon Press, London, 1958).
A l'époque, on ne s'intéressait qu'à la dose génétique
(reçue par les gonades) et seulement sur la période allant de la
naissance à l'âge de 30 ans. On supposait que les enfants
n'étaient conçus que jusqu'à 30 ans.
«Selon les évaluations de différentes commissions, une dose
génétique de 6-10 rems accumulée de la conception à l'âge de 30
ans sous l'influence de toutes les sources de radiations
artificielles représenterait pour la société un danger consistant
en dommages génétiques. Elle peut cependant être considérée comme
supportable et justifiée en regard des avantages que l'on peut
attendre de l'utilisation de l'énergie nucléaire.» (ICRP-1)
Ensuite, à propos d'une valeur-limite de 1,5 rems que veulent fixer
certains pays pour les sources artificielles, on peut lire ceci:
«Mais cela imposerait à ces pays des limites
insupportables» [comprenez: pour le développement de l'énergie
nucléaire]. La Commission a alors recommandé de «retirer du concept
de valeur-limite l'exposition médicale au rayonnement et
d'utiliser pour toutes les autres sources une valeur-limite de 5
rems pour la dose génétique».
L'IRCP-9 (1965) a repris le concept et a pris en compte une
augmentation du taux de mutation de la population: «La dose
génétique, à laquelle la population est exposée en raison de la
totalité des installations nucléaires jusqu'à la fin de l'âge
moyen de la procréation ne doit en aucun cas dépasser 5 rems. Il
s'agit d'une dose qui s'ajoute à l'exposition aux sources
naturelles et médicales.» Il est précisé ensuite qu'une valeur-
limite de 5 rems pour la dose génétique «laisse une marge de
manouvre raisonnable au développement des programmes nucléaires».
Comme on était conscient que le fait de s'accommoder de dommages
génétiques dans l'intérêt du développement du nucléaire
conduirait la population, si elle apprenait cela, à perdre une bonne
part de sa confiance dans les commissions officielles de protection
radiologique, on chercha une autre justification qui paraîtrait
plausible. On trouva dans l'intervalle de fluctuation de
l'exposition au rayonnement naturel une grandeur numérique
appropriée et on commença à s'y référer pour justifier les
anciennes valeurs-limites.
Le 13 octobre 1969, la Commission nucléaire allemande a décrété
que «le tiers environ de la dose génétique - déterminée par la
science et qu'il convient de respecter - de 5 rems en 30 ans,
c'est-à-dire 2 rems en 30 ans, devrait être exigé de la
technologie nucléaire.» On en arriva ainsi aux 30 millirems par
année par inhalation et aux 30 millirems par ingestion. Plus loin, on
peut lire: «La condition de cette valeur-limite théo rique de 30
millirems est que cette dose d'exposition soit inévitable à un
coût encore acceptable.»
Il est donc clair que le coût acceptable pour les exploitants
d'installations nuclé aires a constitué la base de la fixation de
la valeur-limite qui implique forcément une dose d'exposition
inévitable et admet consciemment l'existence de dommages sanitaires.

On ne tient pas compte du risque de cancer

Le risque somatique, c'est-à-dire le risque de cancer pour toutes
les tranches d'âge de la population, n'était absolument pas pris
en compte par ces valeurs-limites, en particulier celui des personnes
de plus de 30 ans, qui constituent la majorité de la population.
Même en 1987, c'est-à-dire après Tchernobyl et après
l'adoption de la loi sur la prévention en matière de
radioprotection, la dose génétique était toujours la seule valeur
dans le rapport annuel très détaillé du ministre allemand de
l'Environnement sur l'exposition aux radiations en RFA! Le rapport
ne parlait toujours pas de la dose significative au plan somatique,
c'est-à-dire celle qui déterminait le risque de cancer. C'est
également sur cette base qu'ont été calculées les doses de
contamination dues aux centrales nucléaires. Le recours aux anciennes
valeurs, utilisées encore aujourd'hui, à l'intervalle de
fluctuation de l'exposition aux radiations naturelles a pour but
d'occulter le fait que l'exposition aux radiations naturelles
contribue de manière significative (5 à 10 %) au nombre des
cancers (425 000 en 2002) et des décès par cancer (210 000 en 2002),
lequel est encore augmenté par les doses de radiations artificielles.

Il faut réduire considérablement les valeurs-limites

Au vu de connaissances scientifiques solides, il faut réduire
considérablement les valeurs-limites, car ce ne sont pas les
personnes qui sont à l'origine des radiations artificielles, leurs
«avantages» (ICRP-1) et leurs «marges de manouvre» (ICRP-9)
qu'il s'agit de protéger mais la population.
Les résultats de l'étude actuelle ont nettement plus de poids que
ceux de la «Michaelis-Studie» (qui porte sur les années 1980-1990).
Dans l'étude récente, on a déterminé la distance graduelle par
rapport à la centrale nucléaire même à l'intérieur d'un rayon
de 5 km. On a constaté que les leucémies augmentaient plus que les
autres cancers, en comparaison de l'incidence des cancers dans les
zones témoins. Les leucémies infantiles viennent en tête des
cancers induits par les radiations.
Au sein du groupe d'experts qui a conçu l'étude, les partisans
des centrales nuclé aires et leurs adversaires se sont entendus sur
le protocole. On peut donc considérer que la méthode a été
unanimement acceptée.
Certes, la limitation - par le groupe Blettner, qui a réalisé
l'étude - de la distance par rapport à la centrale à 5
kilomètres minimise la portée du résultat communiqué à
l'opinion car l'étude a montré une augmentation des cancers
également à des distances supérieures. Les résultats auraient
été encore plus nets.
Dans ses rapports annuels, le BfS donne une limite supérieure
d'exposition de la population allemande aux radiations de 0,01 mSv
par année. Les doses annuelles indiquées dans le rapport annuel
parlementaire pour un individu de référence sont des valeurs qui
ont été non pas mesurées mais calculées sur la base de nombreuses
hypothèses concernant les conditions d'exposition. Les données de
base (nature, altitude et dynamique des émissions de substances
radioactives) sont recueillies et traitées par les exploitants de
centrales nucléaires eux-mêmes. Dans son étude, Mme Blettner
mentionne pour une personne de 50 ans une dose annuelle de 0,00032
mSv pour les radiations provenant de la centrale nucléaire de
Gundremmingen. Je ne sais pas d'où elle tient ce chiffre. En outre,
il est de fait que la dose exprimée en millisieverts est calculée
selon l'effective dose model dans lequel les chances moyennes de
guérison des cancers de différents organes sont incluses en
utilisant des facteurs de pondération.
Dans la littérature scientifique, la dose de doublement dans les
leucémies infantiles est de 10 mSv. On appelle dose de doublement une
dose de radiations qui conduit à un doublement de la fréquence
«normale» d'apparition des cancers, c'est-à-dire sans cause
reconnaissable. Pour expliquer les résultats trouvés dans
l'étude, il faut supposer que la part due aux centrales nucléaires
pour les enfants habitant à proximité est comprise dans cet ordre de
grandeur.

Ignorance persistante des autorités responsables

Le fait que les indications contenues dans les réglementations
officielles en matière de radioprotection peuvent être très
éloignées de la réalité apparaît dans les commentaires des
directives actuelles concernant la protection civile à la suite
d'accidents nucléaires. Elles ignorent toujours les résultats
publiés depuis des années sur les cas de cancer de la thyroïde, la
zone d'évacuation, etc. dans la région de Tchernobyl. Le texte des
ordres et recommandations qui doivent être communiqués par radio à
la population allemande en cas de catastrophe nucléaire est
partiellement faux et de nature à induire en erreur la population à
ses dépens. Il témoigne de l'ignorance persistante des autorités
et de leur réticence à tenir compte des faits nouveaux.
Dans le cas de la présente étude sur les cancers juvéniles, des
personnes qui pré tendent être des scientifiques ont avancé
l'idée que non seulement l'intensité des radiations mais
également la perception optique d'une centrale (surface de
l'image rétinienne de la centrale) diminuait avec le carré de la
distance.
Cette interprétation abstruse me vient à l'esprit quand
j'entends Mme Blettner dire que ce n'est pas le rayonnement
radioactif mais quelque chose d'autre, quelque chose d'inconnu,
qui explique l'augmentation prouvée des cas de leucémie et
d'autres cancers chez les enfants habitant à proximité des
centrales nucléaires en Allemagne.
On entend souvent dire que les radiations dues aux transports aériens
ou aux rayons X sont beaucoup plus élevées, que le tabagisme et
d'autres habitudes de civilisation aug mentent le risque de cancer
et que la société accepte cela. A quoi l'on peut rétorquer que
chacun peut échapper à ces risques sans grand effort ou les tolérer
volontairement en regard d'un profit personnel supérieur (par
exemple en radiologie). Mais les personnes vivant à proximité
d'une centrale nucléaire ne peuvent échapper à l'exposition au
rayonnement radioactif qu'en déménageant, ce qui implique
notamment des frais importants. Les centrales nucléaires
n'apportent pas d'avantage personnel, si ce n'est à quelques
employés et à ceux qui participent aux bénéfices. En outre, sur
les sites, les habitations existaient préalablement à la
construction de la centrale.

Il faut sortir sans délai du nucléaire

Cela dit, il ne faut pas oublier que la sortie immédiate de cette
technologie s'impose surtout parce qu'une catastrophe nucléaire,
à la différence des catastrophes de navettes spatiales, de TGV, de
trains à sustentation magnétique et d'autres systèmes de haute
technologie, détruit les bases existentielles d'un pays tout entier
et de millions de citoyens. .

Prof. Dr. med. Dr. h. c. Edmund Lengfelder, Strahlenbiologisches
Institut der Ludwig-Maximilians-Universität, Schillerstrasse 42,
D-80336 München
Tél: +49 89 2180 75 834, fax: +49 89 2180 75 835
E-mail: Lengfelder@lrz.uni-muenchen.de
(Traduction Horizons et débats)
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par denis » 01/02/08, 08:40

je vient de tout lire , le nucleaire est une solution de me...
il y a des serres chauffer oui , aussi zoo (ferme aux crocodile (pierelate)
les etudes ont forcement des pressions pour avoir des résultats faussé ! mais c'est de la parano , tout comme cette histoire de frontiere ( verité dévoilé 20 ans après ! )
la solution des ligne HT , c'est de les supprimer et faire l'electrecité sur le lieu de consomation (eolienne , solaire ....) deja moins de perte moins de pollution , et des économies !
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par jonule » 01/02/08, 09:07

je crois qu'on est tous d'accord, quand on regarde cette technologie dans son ensemble.
ô bien sûr on voudrait que ça soit propre et tout, et bien étanche, comme remundo, mais on sait bien que ça ne l'est pas et que l'homme n'est qu'un homme et pas un apprenti sorcier.

je n'habite pas près d'une centrale mais je pense à ceux qui y sont, je me rappelle notamment quelqu'un avori dit "ben quoi, c'est pas cher, et puis bon, on se dit qu'il y a pas de problèmes" ........ belle mentalité.

il n'y a pas que les centrales, mais aussi les usines qui préparent le combustible et ceux qui les retraitent, remundo ! ce sont des usines avec des cheminées très très hautes, comme les autres ... mais elles ne recrachent pas que du chocolat, surtout quand le vent tombe ...... on est peu de choses je sais bien.
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par Capt_Maloche » 01/02/08, 09:18

Bon, Quartz, faut se dépêcher de terminer ce moteur magnétique :D
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par tagor » 01/02/08, 09:30

Capt_Maloche a écrit :Bon, Quartz, faut se dépêcher de terminer ce moteur magnétique :D


ben oui ca urge !!
areva et toute la clique ont prévu d'inonder le monde
de centrale nucléaire en voulant etre dans le peloton de tete des constructeurs
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par denis » 01/02/08, 10:02

sans parler des chinois !! là ça sera autre chose , vue le sérieux dans les jouets !!!! :evil: securiteé ou profit ? eux ils savent !!
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par jonule » 01/02/08, 11:00

et les centrales nucléaires vendues en orient, en plein pays chaud, refroidi par l'eau ?

moi je dis que la prochaine explosion de réacteur ne se saura meme pas ...
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