dedeleco a écrit :sen-no-sen semble convaincu de l'infaillibilité du nucléaire Français !!!
Cocorico !!!
???
Je ne sais pas ou tu à vu cela dedelco???
dedeleco a écrit:
sen-no-sen semble convaincu de l'infaillibilité du nucléaire Français !!!
Cocorico !!!
???
Je ne sais pas ou tu à vu cela dedelco???
En ce qui concerne un hypothétique accident ,le plus inquiétant reste ceux qui pourraient survenir dans des pays instables,car en cas de conflit les sources de productions d'énergies sont souvent les premières cibles.
1957 Complexe nucléaire Mayak (à Kyshtym non loin de la ville de Tcheliabinsk, URSS). Une puissante explosion dans un centre de stockage de déchets radioactifs a projeté à plus d’un kilomètre d’altitude environ deux millions de curies de produits radioactifs, et près de dix fois plus dans l’environnement de l’installation, soit environ la moitié des quantités rejetées à Tchernobyl. Au moins 200 personnes périrent, l'application des mesures d'urgence comportait l'évacuation d'environ 10 000 personnes, une zone interdite de 250 km² (niveau 6 sur l'échelle INES) et des panneaux « fermez les fenêtres et roulez le plus vite possible » installés sur les bords des routes environnantes. Le régime soviétique a maintenu le secret défense sur cet accident, les premières informations ne seront révélées qu'en 1976 par le biologiste soviétique Jaurès Medvedev immigré en Angleterre. Dans le quotidien Libération du 24 août 2000, « les matières radioactives remontent en surface avec le jaillissement des eaux souterraines », affirme Igor Forofontov de Greenpeace Russie
26 avril 1986, catastrophe de Tchernobyl, en Ukraine. Accident de niveau 7 selon l'échelle INES. L'accident est survenu dans la centrale nucléaire Lénine située sur les rives de la rivière Pripiat, un affluent du Dniepr à environ 15 km de Tchernobyl et 110 km de Kiev, près de la frontière avec la Biélorussie. Suite à une série d'erreurs humaines et en raison de défauts de conception, le réacteur n°4 subit une fusion du cœur puis une explosion provoquant la libération de grandes quantités de radioisotopes dans l'atmosphère. Les autorités évacuent environ 250 000 personnes de Biélorussie, de Russie et d’Ukraine. Plusieurs centaines de milliers d'ouvriers (600 000 environ), les « liquidateurs » sont venus d'Ukraine, de Biélorussie, de Lettonie et de Russie pour procéder à des nettoyages.
Un bombardier B-52 explose en plein vol, relâchant deux bombes nucléaires Mark 39. Une des bombes tombe dans un champ boueux et s'enfouit à sept mètres de profondeur ; l'autre tombe en douceur après avoir ouvert son parachute. Après étude, il est établi que cinq de ses six dispositifs de sécurité n'ont pas fonctionné : un simple commutateur a empêché l'explosion de cette bombe nucléaire de 2,4 mégatonnes. Une portion enfouie de l'arme contenant de l'uranium n'a pu être récupérée : l'armée a acquis le terrain et fait régulièrement des tests[2].
30 novembre 1975, Snovosi Bor, en Russie, le réacteur n°1, le prototype du réacteur RBMK 1000, subit une défaillance de la machine de chargement, un début d'excursion de puissance et une fusion à 50 % du cœur, la ventilation rejette 131 000 curies d'iode contaminant un territoire de 25 km², aucune action de protection des habitants n'est entreprise.
17 octobre 1969, centrale nucléaire de Saint-Laurent-des-Eaux, Loir-et-Cher, en France. Un accident entraîne la fusion de cinq éléments combustibles dans le réacteur A1. Lors du déchargement, les opérateurs ont ordonné de charger un canal d'Uranium et de graphite. Le réacteur est resté un an à l'arrêt pour un coût de 20 millions de francs (un peu plus de trois millions d’euros). L'événement est qualifié d'incident par EDF[réf. nécessaire] ; selon l'échelle INES actuelle, il s'agit d'un accident qui se situe au niveau 4.
13 mars 1980, centrale nucléaire de Saint-Laurent, en Loir-et-Cher, en France. Un accident conduit à la fusion de deux éléments combustibles du réacteur A2 filière UNGG (uranium naturel, graphite-gaz) d'une puissance de 515 MWe. La plaque métallique de maintien des capteurs de pression du réacteur vient, à la suite de phénomènes de corrosion, obstruer une douzaine de canaux du bloc de graphite, ce qui empêche le bon refroidissement du cœur et provoque la fusion de deux éléments combustibles. Gravement endommagé, le réacteur est indisponible pendant deux ans et demi environ. C'est l'accident nucléaire le plus grave jamais répertorié pour un réacteur en France (niveau 4 selon l'échelle INES).
qui considère le risque "le plus inquiétant dans les pays instables" et pas dans les pays stables avec beaucoup de centrales nucléaires, qui sont implicitement eux sans danger inquiétant (purement hypothétique) et donc quasi infaillibles !!!!
Il est facile d'être manipulé par le lobby nucléaire sans s'en rendre compte !!!
De toute façon dedeleco, si jamais un nouvel accident semblable à Tchernobyl arrive, c'est la fin de l'industrie nucléaire (et l'ANPE pour moi).
Si tu veux avoir de la matière pour critiquer, informe toi!
Voici avec quoi tu peux commencer :
http://www.asn.fr/index.php/S-informer/ ... -de-surete
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