A oui pour toi : "scientifique = guignols" Revoit quand même tes valeurs avant de mourir idiot
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izentrop a écrit :l'UNSCEAR c'est comme le GIEC, des gens sérieux ...
A oui pour toi : "scientifique = guignols" Revoit quand même tes valeurs avant de mourir idiot
Manipulation d’étude scientifique
L’UNSCEAR n’en est pas à son premier forfait. Cette institution scientifique émanant de l’ONU est chargée de notre protection radiologique. Sauf que depuis qu’elle existe, elle n’a eu de cesse de se plier à une sorte de dogme (donc non scientifique) qui énonce que les faibles doses de radioactivité ne sont pas dangereuses pour la santé. Ainsi, en 1979, les habitants autour de Three Mile Island ont connu une augmentation de 20 % de l’incidence de cancer mais l’UNSCEAR n’en a pas tenu compte et a annoncé que le nuage radioactif n’avait pas eu d’effet. En 1986, dès que le nuage radioactif de Tchernobyl a sillonné l’Europe, l’UNSCEAR s’est empressé de dire qu’il n’était pas nécessaire de se confiner et que la prise de pastilles d’iode était superflue. A propos, le professeur Pellerin, qui a fait arrêter le nuage de Tchernobyl à la frontière de la France, était chef de la délégation française à l'UNSCEAR ; tout s’explique. En 2014, l’UNSCEAR a émis un rapport sur Fukushima disant que tout allait bien et que le nombre important de cancers de la thyroïde s’expliquait non pas par la radioactivité de l’iode 131 qui se fixe dans la thyroïde mais par un surdiagnostic ou un effet de dépistage. C’est donc sans étonnement aucun que l’on voit l’UNSCEAR reprendre ces mêmes conclusions et signer un nouveau rapport, publié avant-hier, confortant les conclusions de celui de 2014.
Des scientifiques indépendants s’inquiètent. Hisako Sakiyama, qui a été, en tant que chercheuse à l'Institut National des Sciences Radiologiques du Japon, membre de la commission d’enquête mandatée par la Diète sur la catastrophe nucléaire de Fukushima, a révélé samedi dernier que le protocole de restitution des résultats de l’enquête sur les cancers de la thyroïde a été modifié en cours de réalisation afin de cacher la corrélation entre le taux de radioactivité et le taux des cancers. Et cette manipulation a été faite en utilisant des estimations réalisées par… l’UNSCEAR. Aux dernières nouvelles, il y a 252 cas de cancers de la thyroïde suspectés, dont 202 ont été confirmés après une intervention chirurgicale.
C'est possible, mais on n'en meurt pas et rien ne prouve que c'est du à l'accident. https://www.lequotidiendumedecin.fr/act ... -indirects252 cas de cancers de la thyroïde suspectés
izentrop a écrit :l'UNSCEAR c'est comme le GIEC, des gens sérieux ...
A oui pour toi : "scientifique = guignols" Revoit quand même tes valeurs avant de mourir idiot
GuyGadeboisLeRetour a écrit :izentrop a écrit :C'est pourtant la vérité, mon bon Guy
Oui, parce que le lobby du nucléaire le dit.
GuyGadeboisLeRetour a écrit :Tu peux surtout l'appliquer à toi-même... bien vu.
moinsdewatt a écrit :Fukushima : l'eau contaminée bientôt rejetée dans le Pacifique
BOURSORAMA AVEC MEDIA SERVICES•19/10/2020
Le gouvernement japonais devrait acter la solution d'un rejet en mer d'ici la fin du mois, tandis que l'opération en elle-même ne devrait pas démarrer avant 2022 au plus tôt, selon plusieurs médias locaux.
C'est une décision qui fait polémique : le gouvernement japonais va prochainement officialiser sa décision de rejeter dans l'océan Pacifique de l'eau contaminée issue de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima , ont rapporté vendredi 16 octobre plusieurs médias nippons.
"Le gouvernement n'a pas décidé du plan à suivre ou du moment" pour l'annoncer, a toutefois réagi le porte-parole du gouvernement Katsunobu Kato lors de son point presse régulier. Mais "nous ne pouvons pas reporter une décision (sur cette eau contaminée, NDLR), afin d'éviter que les travaux de démantèlement de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi soient retardés", a-t-il ajouté.
Le gouvernement devrait acter la solution d'un rejet en mer d'ici la fin du mois, tandis que l'opération en elle-même ne devrait pas démarrer avant 2022 au plus tôt, ont affirmé auparavant plusieurs médias locaux.
1,23 million de tonnes d'eau pas débarrassées du tritium
Environ 1,23 million de tonnes d'eau contaminée sont actuellement stockées dans plus d'un millier de citernes à proximité de la centrale nucléaire ravagée par le terrible tsunami du 11 mars 2011 au nord-est du Japon. Cette eau provient de la pluie, des nappes souterraines ou des injections nécessaires pour refroidir les cœurs des réacteurs nucléaires entrés en fusion après le tsunami.
Elle a été filtrée à plusieurs reprises pour être débarrassée de la plupart de ses substances radioactives (radionucléides), mais pas du tritium , lequel ne peut pas être éliminé avec les techniques actuelles.
Les capacités de stockage sur place devant arriver à saturation mi-2022, les autorités japonaises ont évalué diverses solutions ces dernières années. Début 2020, des experts commissionnés par le gouvernement avaient recommandé le rejet en mer, une pratique déjà existante au Japon et à l'étranger sur des installations nucléaires en activité.
Cette option privilégiée au détriment d'autres scénarios, comme une évaporation dans l'air ou un stockage durable, est notamment très contestée par les pêcheurs et les agriculteurs de Fukushima , redoutant que cela ne dégrade encore davantage l'image de leurs produits auprès des consommateurs. La Corée du Sud voisine, qui interdit toujours l'importation de produits de la mer de la région, a aussi déjà exprimé ses inquiétudes sur l'impact environnemental d'une telle solution.
Le tritium n'est dangereux pour la santé humaine qu'à très haute dose, selon des experts . L'agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) plaide aussi pour l'option d'une dilution en mer.
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... ab6e0e940c
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