L'analyse demeure reste à savoir quoi en penser. Pour ma part, déjà assez distant avec la psychanalyse, je suis sceptique d'entrée de jeu sur ce type particulier de psychanalyse réalisée à distance avec au final peu d'éléments sur l'individu. Je passe sur les déductions sur la personnalité de Macron à partir de sa relation avec Brigitte. Cela ressemble à de la psychanalyse de comptoir avec un côté nauséabond en plus. Parler de viol me parait déplacé voire impropre car juridiquement la majorité sexuelle est à 15 ans. De plus il faudrait être sûr qu'ils ont eu des relations sexuelles à cette période..
Dans la même veine, sans être spécialiste, parler de psychopathe semble quand même à côté de la plaque.
La psychopathie (des mots grecs : psyche, ψυχή (« esprit, âme ») et pathos, πάθος (« souffrance, changement accidentel »1) est un trouble de la personnalité, caractérisé par un comportement antisocial, un manque de remords et un manque de « comportements humains » décrit comme étant un mode de vie criminel et instable.
Particulièrement le mode de vie criminel et l'aspect antisocial ne me paraissent pas correspondre. Ainsi quand il parle de sa peur de l'affrontement, je ne vois pas de quoi il parle : on a vu Macron dès sa campagne se coltiner plusieurs situations chaudes et tenir pied dans des débats virulents grâce à son sens poussé de la rhétorique. Je n'aime pas Macron mais là ça me parait être un peu du grand n'importe quoi même si certaines analyses proviennent d'éléments vrais ce qui apporte un semblant de crédibilité. Bien sûr c'est un narcissique mais quel président ne l'est pas ? Que l'inconscient le déborde c'est une évidence (et là ça fait écho à ses petites phrases bien significatives, ses dérapages qui ont été bien médiatisés, dernier en date de hier : "Les gens en situation de difficulté, on va davantage les responsabiliser car y en a qui font bien et il y en a qui déconnent") et même une tautologie.