Christophe a écrit :Euh oui mais...ça se décontamine comment une maison?
En la rasant?
En la cachant dans un bunker?
Exactement, je me demandais aussi comment !
LES CONS
En la lavant avec un désinfectant avec savon de Marseille plein d'un neurotoxique
lejustemilieu a écrit :décontaminer 110 000 maison dans toute la zone.
Christophe a écrit :Euh oui mais...ça se décontamine comment une maison?
En la rasant?
En la cachant dans un bunker?
Le Samedi 15 octobre 2011 sera une journée de manifestations antinucléaires partout en France. Voyez dans la liste ci-dessous où vous pouvez rejoindre une manifestation.
Après Fukushima, si vous n’êtes pas encore convaincu que l’énergie nucléaire peut apporter l’enfer en France, chez vous, c’est que vous ne vous êtes encore pas assez informé.
High radiation levels found in Tokyo
High radiation levels have been observed in Tokyo's Setagaya Ward.
Experts commissioned by the ward said on Thursday that up to 3.35 microsieverts per hour was detected 1 meter over a sidewalk near a residential fence.
The ward found a high of 2.707 microsieverts per hour a week ago in a 1-by-10-meter area, and made it off limits to protect schoolchildren and others.
The experts found that the most recently detected radiation is highly limited, as levels fall by almost half about 1 meter from the fence.
They added that up to 0.7 microsieverts per hour was recorded 4 meters from the strip.
The ward says it will work with residents to gauge radiation levels inside the fence and collect and analyze leaves at the site.
Environment official Yoko Saito says the survey has provided a rough picture of high-radiation spots. She says the ward will use the findings to find out the cause of the high levels and consider countermeasures.
Thursday, October 13, 2011 17:36 +0900 (JST)
High radiation in Tokyo residential area
A sidewalk in Setagaya ward, in the western part of Tokyo, has shown a radiation level of 2.707 microsieverts per hour, much higher than other areas in the same ward.
Setagaya ward put the 10-meter by 1-meter area on the roadside off limits, as elementary school children walk by on their way to and from a nearby elementary school.
The ward tried to decontaminate the spot earlier this month by using a high-pressure washer, but it only brought down the highest radiation reading by about 0.1 microsieverts per hour.
The ward is consulting experts to figure out what to do about the highly contaminated area.
The radiation dose at a place with a reading of 2.7 microsieverts per hour would accumulate to 38.88 microsieverts a day, and to 14.2 millisieverts a year, in line with assumptions used by the science & technology ministry. The ministry assumes that people spend 8 hours outdoors and 16 hours indoors every day.
The exposure of 14.2 millisieverts a year is lower than the government designated evacuation level of 20 millisieverts per year.
Thursday, October 13, 2011 12:51 +0900 (JST)
High radiation level affects school routes
Tokyo's Setagaya Ward has changed school routes in order to keep children away from the small area where a relatively high level of radiation has been detected.
On Thursday morning, about 10 teachers and local officials stood at an intersection to redirect children on their way to a nearby elementary school.
Some children were accompanied by their parents. A mother of a first-grader said she is worried that her child may have passed along the radiation contaminated site every day for over 6 months since the Fukushima accident.
The ward had already made the 10-by-one-meter area along a sidewalk off limits after announcing the finding on Wednesday.
But the ward decided to change school routes in response to concerns voiced by parents.
A ward official said the changes in the school routes will stay in place until the ward determines what caused the high level of radiation and decontaminates it properly.
Thursday, October 13, 2011 16:47 +0900 (JST)
Yokohama tests soil for radioactive strontium
Officials in Yokohama City are testing soil for radioactive strontium following a report from a local resident in September that the substance had been detected in sediment on the roof of an apartment building.
In September, radioactive cesium more than 80 times the government-set limit of 500 becquerels per kilogram was found in sediment collected from roadside ditches in Yokohama City, which is near Tokyo.
The city later removed sediment from the area.
But the city decided to retest the sample for radioactive strontium due to the request of a local resident.
The resident said a private testing institution had detected 195 becquerels of strontium per kilogram -- more than 6 times the government safety limit -- in the rooftop sample.
The science ministry says radioactive strontium can accumulate in bones if inhaled and that it poses a cancer risk.
The ministry added that it has found strontium in the soil in Fukushima Prefecture, site of the crippled Fukushima Daiichi nuclear plant. But the agency says it has conducted few checks for the substance outside the prefecture because the amounts detected in Fukushima Prefecture were very small.
Yokohama is located about 250 kilometers from the Fukushima plant.
Wednesday, October 12, 2011 19:28 +0900 (JST)
06/10/2011 : Libération - Fukushima: un employé est mort subitement, pas à cause des radiations
Un travailleur employé à la centrale nucléaire est décédé ce jeudi. La cause de la mort n'est pas révélée mais la responsabilité des radiations a été écartée.
Refroidissement du réacteur 4, mars 2011. (© AFP Tepco Via Jiji Press)
Un travailleur employé à la centrale nucléaire accidentée de Fukushima est décédé subitement jeudi, mais les radiations ne seraient pas en cause, a indiqué la compagnie exploitante du site.
L'homme, d'une cinquantaine d'années, est mort jeudi matin après avoir été transporté la veille à l’hôpital à la suite d'un malaise en début de journée.
Selon la compagnie Tokyo Electric Power (Tepco), il a œuvré 46 jours à Fukushima Daichi, à l'extérieur des bâtiments, travaillant à l'installation de réservoirs pour le traitement des eaux contaminées.
L'homme n'aurait reçu qu'une dose cumulée de radiations de 2,02 millisieverts, selon Tepco, nettement inférieure à la limite annuelle autorisée.
"Il est difficile dès lors d'imaginer que la radioactivité puisse être à l'origine de son décès", a expliqué la compagnie à l'AFP.
La cause de la mort de cet ouvrier n'a pas été révélée, étant en cours d'investigation.
Depuis l'accident du 11 mars, déclenché par le séisme et le tsunami qui ont endommagé les systèmes de refroidissement des réacteurs de cette centrale du nord-est, de nombreux travailleurs œuvrent à Fukushima dans le but d'y stabiliser la situation d'ici à la fin de l'année.
Ce décès est le troisième enregistré parmi les personnes employées dans la centrale depuis l'accident, sans compter deux salariés morts le jour du tsunami.
Dans tous les cas, la responsabilité des radiations a été écartée.
Areva veut fermer son usine belge de fabrication de combustible nucléaire
Le fabricant de combustible nucléaire FBFC, filiale du groupe français Areva, confronté à des problèmes de surcapacité notamment en France et en Belgique, envisage de fermer son usine belge de Dessel (nord), a-t-il annoncé mardi.
"La baisse des besoins de combustible nucléaire en Europe occidentale engendre une surcapacité durable du marché. FBFC International (Franco-Belge de Fabrication du Combustible) est directement affectée par cette situation. Par conséquent, la cessation des activités de fabrication du site de Dessel est envisagée", indique la société dans un communiqué.
"Par ailleurs, les événements survenus au Japon ont un impact direct, à court et moyen terme, sur le marché du combustible nucléaire, qui se traduit par une baisse durable de la demande, et ce dès 2011", ajoute la direction, qui a informé mardi matin de ses intentions les représentants du personnel de l'usine située près d'Anvers.
Le site belge emploie quelque 150 personnes, selon la direction et 180 selon les syndicats, qui tiennent compte des sous-traitants réguliers.
La fermeture de l'usine se ferait en plusieurs phases: elle commencerait par l'arrêt des activités de fabrication de dioxyde d'uranium, début 2012, suivie d'une externalisation de la fabrication des composants, courant 2012. Ces activités regroupent à ce jour 120 postes, selon le communiqué.
"L'une des activités d'assemblage de crayons, ainsi que le démantèlement des bâtiments pourraient se prolonger jusqu'en 2015, maintenant ainsi une activité de près de 30 postes sur le site" jusqu'à cette date, ajoute le texte.
L'activité d'assemblages de FBFC est présente sur deux sites, l'un en France, à Romans (sud), disposant d'une capacité de 1.400 tonnes par an, tandis que celle de Dessel a une capacité de 500 tonnes par an, explique le groupe.
Or, "le marché permet aujourd'hui à ces deux sites une production maximale cumulée de 1.000 tonnes/an. Cette situation structurelle confirme une surcapacité industrielle pour les deux sites réunis".
FBFC explique avoir choisi de sacrifier le site de Dessel car il ne "pourrait répondre seul à la demande du marché" et parce qu'il ne "possède pas non plus l'ensemble des étapes nécessaires à la fabrication des assemblages de combustible", à la différence du site de Romans.
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