sen-no-sen a écrit :humus a écrit :Je pense que nous ne seront jamais d'accord sur cette cause originelle.
Pour moi le capitalisme flatte et surf sur les désirs humains de grandeur. L’énergie n’étant que le bras armé et pas le décideur.
Réponds à ses questions et tu comprendras:
Je gagne quoi ? des stock options ?
D’où viens le capitalisme?
Du désir de certains hommes, de "Messieurs plus" en herbe d'il y a quelques siècles.
En fait de la cupidité = un désir et du besoin de se rassurer (peur de manquer) , un autre désir.
Toujours l'homme et ses désirs au centre de la scène.
Quelle est la définition profonde du désirs?
Dico Tendance qui porte à vouloir obtenir.
Cela suppose au préalable un "centre" qui désir obtenir de la satisfaction (ou fuir de la souffrance), cela suppose un être vivant qui désir.
Qui du désirs humain et du Big bang était là le premier?
Le Big bang bien sur. C'est la cadre initial dans lequel nous sommes nés et dans lequel nous évoluons de concert avec le cadre.
L'humain a ceci de particulier qu'il peut choisir de suivre son désir ou non, par conséquent l'humain peut choisir d'utiliser de l’énergie ou pas, s'il en a disposition, bien évidemment
Fondamentalement l'homme n'est soumis a rien du tout, Il est le jouet de son inconscience face à ses désirs.
En accroissant sa conscience, l'humain s'extrait des déterminismes, il devient libre de suivre ou non ses désirs.
Les désirs émanent spontanément dans le cerveau. Ils sont le résultat d'un apprentissage culturel, le fruit de la réponse de ce savoir a des stimuli externes ou internes.
La scène avant les acteurs, le Big bang avant les humains mais les acteurs sont fondamentalement libres de faire ce qu'ils veulent sur la scène, dans les limites de la scène.
Alors on pourrait dire que la scène dicte sa loi en imposant des limites ( ce qui semble être ton point de vue) mais elle n'impose en rien d' approcher les limites, de les dépasser ou de rester sur la réserve. C'est l'humain qui choisi.
Déjà dit, si pas d'humains, les fossiles carbonées seraient toujours sous terre.
Toujours l'homme, ses désirs et sa conscience(inconscience ) au centre du cadre.
Le cadre n'a aucun problème, seul l'homme en a.