clasou a écrit :Sinon oui c'est bien complquè,bon ce qui est sur c'est que ma terre c'est nettement amélioré (vivante)
a+claude
Salut, tu pourrais nous dire comment tu te rend compte de cela?
clasou a écrit :Sinon oui c'est bien complquè,bon ce qui est sur c'est que ma terre c'est nettement amélioré (vivante)
a+claude
La terra preta est un mélange complexe de terrain "naturel" (jaune ou rougeâtre et aride, dans le cas de l'Amazonie), de charbon, de fragments d’objets de poterie, de déchets organiques tels que les résidus de récolte, déjections animales et des os de poisson, et enfin de milliers d'organismes différents6.
La terra preta est très fertile, ce qui est une anomalie par rapport aux sols peu productifs de la forêt amazonienne7. Bien que les sols amazoniens exigent normalement des périodes de jachère entre 8 et 10 ans, six mois de repos peuvent suffire avec la terra preta au sol pour récupérer7. Dans au moins un cas, on sait qu’un sol de ce type a été en culture continue depuis plus de 40 ans sans apport externe d'engrais8.
clasou a écrit :Bonjour did67.
Oui j'ai par abus de langage tendance a appele la matière organique du brf
Par contre si tu peux m'éclairai,on dit bien que la plante capte le co2 de l'air pour croitre,et qu'on appel ça aussi de la matière carbonée.
Or dans ton explication ,j'ai l'impression qu'une fois digéré par le sol ,donc transformé en humus tous le co2 aurait été rejeté.
Tous ou une partie.
a+claude
clasou a écrit :.
Mais vu la facilité avec la quelle ça pousse ,si on en semé sur pas mal de terre en jachère ou lieu qui n'ont rien ,bien sur avec des maniéres respectueuses,
Imagine le volume qu'on pourrait séquestré ainsi que le stock de grain qu'on pourrait récolté.
C'est un peu comme quand j'abordai le chanvre ,tous ce c ou co2 qu'on pourrait capturé et dont la laine pourrait servir a isoler ,ça serait autant de gaz fioul ou autre qu'on économiserai ,sans compter l'impact sur la balance extérieur de la france.
a+claude
Il gèle physiologiquement dès + 8 ° !!!
Le sorgho une plante herbacée de la famille des Poacées (Graminées) qui porte le nom scientifique de Sorghum bicolor ou Sorghum vulgare. Il est appelé également gros mil en Afrique, Mil du Fou au Burkina Faso, maïs guinéen, millet indien ou blé égyptien. Il existe plusieurs sortes de sorgho dont les deux principaux sont le sorgho-grain dont on cultive de nombreuses variétés et qui est adapté à l'alimentation humaine et le sorgho fourrager utilisé pour l'alimentation animale.
D'autres types de sorgho possèdent des appellations qui déterminent ses usages multiples : le sorgho sucrier, le sorgho à papier et le sorgho à balais. Il est cultivé depuis au moins 3000 ans. On retrouve la culture de cette graminée 900 ans avant Jésus-Christ, en Inde. On note sa présence à Rome, en Italie au temps de Pline. Il tire son nom de l'italien « sorgo ou surgo» qui signifie « je pousse », mais il est certainement originaire d'Afrique, et plus précisément d'Éthiopie, d'où il s'est répandu dans toute l'Afrique.
Comme le manioc, le sorgho contient un élément toxique qui se transforme en acide. Il est donc préférable de cuire les grains à la vapeur avant de les consommer.
Son système de racines très profondes lui permet de très bien résister à la sécheresse. La plante résiste bien aussi à la chaleur, à la sécheresse et à la pauvreté des sols. Le sorgho s'acclimate aussi dans les sols salins, calcaires ou même gorgés d'eau et sous les climats tempérés.
En Afrique, il fait partie des éléments nutritionnels de base et s'utilise dans la composition de beaucoup de plats comme des galettes ou beignets. Au Mali, on en fait un type de couscous. Les fibres de la plante servent à fabriquer des panneaux de revêtement utilisés dans la construction, des emballages biodégradables ou des balais. Le sorgho serait-t-il la plante de l'avenir ? Peut-être pour les indiens qui vont l'expérimenter comme biocarburant. Et peut-être pour tout le monde, si l'on en croit l'expérience menée en 2007 à Chanteloup-les-vignes dans les Yvelines. La céréale a été plantée dans un champ incultivable à cause d'une station d'épuration. La terre était chargée de métaux lourds. Or, le sorgho se nourrit de cuivre, de mercure, de plomb et de nickel. La plante pourrait donc dépolluer la terre en profondeur et le sorgho pourrait devenir la nouvelle plante miracle. A suivre....
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