AD 44 a écrit :25km/h...soit 7m/s, c'est un vent très faible non ?
Je pense qu'il y a confusion chez Juju64 entre 25km/h et 25 m/s.....
Si les éoliennes s’arrêtaient au-delà de +/- 25km/h, je pense que ça se saurait!
AD 44 a écrit :25km/h...soit 7m/s, c'est un vent très faible non ?
oli 80 a écrit :Salut à tous voila des projets d' éoliennes
Avec son éolienne offshore de 14 MW, Siemens Gamesa veut détrôner l’Haliade-X de General Electric
Annoncée le 19 mai, l’éolienne offshore SG 14-222 DD de Siemens Gamesa atteindra une puissance de 14 MW. Un prototype est prévu en 2021, avant une commercialisation en 2024. Elle deviendrait l’éolienne la plus puissante du monde, dépassant l’Haliade-X de General Electric et ses 12 MW.
Siemens Gamesa a annoncé le 19 mai la sortie prochaine d’une éolienne en mer de 14 MW. Baptisée SG 14-222 DD, elle devrait faire l’objet d’un premier prototype en 2021, avant d’être disponible commercialement en 2024. Elle détrônerait ainsi l’Haliade-X de General Electric (GE) au titre de la turbine la plus puissante du monde. D’une puissance de 12 MW, cette dernière doit entrer en production de série et être commercialisée en 2021.
Capable éventuellement d’atteindre 15 MW avec la fonction « Power Boost » de Siemens Gamesa, l’éolienne SG 14-222 DD aura des pâles de 108 mètres de long pour un diamètre total de 222 mètres. De quoi produire 25 % d’énergie en plus par rapport à la SG 11.0-200 DD, sa petite sœur de 11 MW dont la production en série est prévue pour 2022, selon l'entreprise.
Dans un communiqué, Siemens Gamesa indique que la SG 14-222 DD pourrait fournir suffisamment d’énergie annuellement pour alimenter 18 000 foyers européens moyens : « Environ 30 turbines SG 14-222 DD en mer pourraient couvrir la consommation en électricité de la ville de Bilbao, en Espagne. »
Le parc éolien de Cham Longe, un des premiers chantiers de repowering en France
12 juin 2020
Le repowering, ou le renouvellement des parcs éoliens, consiste à démonter les anciennes machines pour en installer de plus modernes et plus puissantes. Reportage vidéo sur la montagne ardéchoise.
Le parc éolien de Cham Longe en Ardèche (07) fait partie des premiers chantiers de repowering en France. C'est une activité qui va croître dans les prochaines années.
Ici, le contexte est un peu particulier, car le parc de 14 éoliennes se situe sur une crête de la montagne ardéchoise, à environ 1 500 mètres d'altitude, ce qui en fait le parc le plus haut de France. Ainsi, en hiver, le climat est plutôt difficile, la neige et le givre ont souvent posé problème à des éoliennes qui n'étaient pas suffisamment équipées pour tourner de façon optimale, voire pour tourner tout court…
Aujourd'hui, les machines qui vont remplacer ces éoliennes, vieilles d'une quinzaine d'années, sont équipées d'un système de chauffage des pales pour fonctionner quelles que soient les températures extérieures. Elles sont aussi deux fois plus puissantes et environ quinze mètres plus hautes. Le diamètre des fondations augmente également passant de 14 à 20 mètres. L'installation des éoliennes s'effectue exactement aux mêmes emplacements, ce qui nécessite de détruire toutes les fondations existantes pour en reconstruire des neuves, adaptées aux nouvelles machines.
Sur ce site, les anciennes éoliennes seront envoyées en Espagne pour être révisées et réinstallées dans une zone plus adaptée. Des éoliennes d'occasion en somme, ce qui permet de réduire considérablement les coûts pour des projets éoliens « de deuxième main ». Ces dernières devraient fonctionner encore au minimum pendant une dizaine d'années. Le chantier présente donc un modèle en termes d'économie circulaire car la majeure partie des déchets de chantier, essentiellement du béton et de la ferraille, est recyclée. Si les éoliennes n'avaient pas pu être réutilisées, le responsable construction du chantier, Alexis Glandières, explique que, pour les mâts qui portent les pales, étant en acier, il n'y aurait pas eu de soucis de recyclage. Par contre, les pales sont composées de fibre de verre, comme les coques des bateaux. Un matériau léger, très résistant, bon marché mais non recyclable. Selon le responsable construction, une voie de valorisation énergétique aurait néanmoins pu être trouvée avec un partenaire, en produisant du CSR (combustible solide de récupération). Ce type de combustible peut ensuite se substituer au charbon ou au pétrole, en cimenterie par exemple.
Le planning pour ce projet était de neuf mois, or la Covid-19 a entraîné un arrêt du chantier pendant un mois. Pourtant, le responsable construction du chantier l'assure, « la date de livraison prévue initialement sera tenue, en compressant certaines activités et avec énormément de co-activités sur le site. Aujourd'hui par exemple, on a en parallèle des chargements des anciennes machines sur les camions, de la démolition de massifs, la mise en place de nouveaux massifs et aussi du ferraillage. On a une grosse fourmilière sur le site, à peu près 45 personnes au quotidien ». Date de mise en service prévue : le 15 décembre.
Ahmed a écrit :Ces histoires "d'économie circulaires" relèvent bien plus du marketing que de la réalité. À part en agriculture où ce serait possible, la transposition dans les autres secteurs est absolument improbable dans les paramètres actuels.
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