Pour tirer le max de chaque aimant, il faut un max de masse de cuivre en bobine avec un bon flux, dans la zone ou le champ de l'aimant est proche de son maximum, donc devant et derrière les faces de l'aimant, le plus près possible.
Il y a intérêt à mesurer la distribution du champ magnétique de l'aimant, grossièrement en 1/r^3 .
Par aimant, avec deux plateaux à bobines fixes, devant et derrière les aimants,
on double la puissance et la tension, et donc c'est équivalent à deux alternateurs pour le même prix des aimants.
Doubler les aimants par bobine, n'a de sens que si le prix des bobines est très supérieur à celui des aimants.
Sinon, alors il vaut mieux si on double les plateaux d'aimants, autant tripler les bobines fixes devant et derrière les deux plateaux d'aimants, pour récupérer le max de flux magnétique et
quasiment tripler la puissance de l'alternateur, en doublant les aimants !!Dans ce cas, il est aussi simple de doubler le diamètre du simple plateau avec tous les aimants, pour doubler la vitesse des aimants devant les bobines (
toujours en double devant et derrière chaque aimant, pour déjà doubler la puissance) et ainsi en doublant la vitesse, multiplier par 2^2.2=8, huit fois la puissance (la puissance est le carré de la tension, donc de la vitesse).
donc la solution double plateau d'aimants avec une seule couche de bobines, perd un facteur 4 en rendement par aimant, mais peu par rapport au poids de cuivre utilisé. (donc acceptable si le cuivre est très cher par rapport aux aimants).
Il faut donc bien réfléchir,
tension comme la vitesse, comme racine carrée de
quantité de cuivre avec le flux proche du max dans les aimants, (donc bobines à mettre sur les deux faces des aimants) et puissance comme le carré de cette tension.
Sur internet il y a pas mal de réalisations peu logiques avec le simple bon sens.
Et le peu de gain potentiel hypothetique en vaut-il la chandele
.
Doubler en puissance l'alternateur, n'a rien d'hypothétique, sauf si les aimants ne coutent rien par rapport au cuivre, et si la puissance de l'alternateur est excessive par rapport à celles des pales, trop petites.
Plus les aimants sont proches des bobines (sans frotter), plus on obtient de puissance aussi, car moins de pertes de flux.
Plus cela va vite sur grand diamètre, (extérieur est bon, mais plus difficile pour avoir des bobines sur chaque face des aimants, qui double, donc à bien réfléchir ) plus la tension et la puissance (le carré de tension) sont élevées, mais un grand diamètre demande un plus grand poids d'aimants, (plus grand nombre à taille de chaque aimant fixe), pour obtenir une tension sinusoïdale )
Faire
très attention au diamètre du fil, car il fixe la tension, et cela doit être adapté à la vitesse des pales pour le vent typique, entre min et max désiré, pour l(utilisation. En effet cette tension change vite avec le diamètre. La puissance ne change pas avec le diamètre du cuivre, pour un volume et de poids de cuivre fixe.
La théorie (Faraday 1830 ) est un résumé de centaines de milliers d'expériences passées et en comprenant, en réfléchissant, elle permet d'éviter des essais inutiles et de gagner de l'argent, sinon perdu, si on réinvente ce que d'autres, en suant, ont découvert, pour le résumer dans la théorie précise !!