sicetaitsimple a écrit :Ahmed a écrit :N'y a-t-il pas cependant une forme d'embrayage du fait que la liaison mécanique se fait avec frottements? Lesquels frottements sont faibles à basse vitesse, pour augmenter ensuite rapidement avec la vitesse?
Encore une fois, le schéma en grand dans le dossier aurait permis de s'en rendre compte directement mais encore faut-il le lire !sicetaitsimple a écrit :Je ne pense pas, j'ai compris que c'était une liaison rigide entre le rotor de l'éolienne et le " touilleur".
Et de mon expérience, quand je touille à la main un pot de peinture par exemple, l'effort à fournir est beaucoup plus important au tout début qu'une fois que la peinture est mise en mouvement. Bon, je sais, c'est pas très scientifique![]()
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sicetaitsimple a écrit :Mais je pense que B.Labrique se fait beaucoup d'illusions sur le fonctionnement de son système sous faibles conditions de vent.
Je renonce à vous expliquer encore pourquoi un rotor Savonius à SEULEMENT 4 M DE HAUT (cF. l'étude en référence avec le schéma dans le dossier) est amplement suffisant : cf.(message édité) plus bas la notion de couple et qui est élevé pour le rotor Savonius !