lilian07 a écrit :Oui, je pense que c'est intéressant de parler de flexibilité du nucléaire car c'est une vision relative et qu'il est largement envisageable que dans la transition énergétique vers les EnR massive la filière nucléaire soit indispensable.
je pense pour ma part que nos centrales sont trop nombreuses dimensionnées pour alimenter des "grille pain" et que dans cette singularité française on a tenté de rendre les centrales "flexibles" mais on n'a fait que faire vieillir le parc et gaspillé encore plus d'énergie.
Le prix du Kwh nucléaire en ce sens explose et si nous trouvons pas un bon équilibre ce sera catastrophique pour le consommateur.
Alors non à la flexibilité du nucléaire,oui à son fonctionnement en puissance nominal. Le reste du débat de situe dans quelle genre de moyen mettre en oeuvre pour accompagner les fluctuations du réseau. Au risque d'être "lourd" commençons par l'isolation de masse, ensuite viendra toutes les autres possibilités alternatives au nucléaire "flexible"...
Bonne année à toutes et tous,
Ce qui est en jaune est facile à vérifier : le kWh français est un des moins chers d’Europe (à parité de pouvoir d’achat pour éviter que l’on ne m’oppose un pays de l’Est).
Beaucoup moins cher que dans les pays ayant surinvesti dans les EnR : Danemark, Espagne, Allemagne, et c'est là une relation de cause à effet : plus on investit dans les EnR, plus il faut subventionner.
Quant au reste, flexibilité du nucléaire, grille-pain, isolation de masse, c’est très long à commenter.
Pour l’isolation de masse, on navigue dans les centaines de milliards d’euros, sans garantie de rentabilité du tout.