Moteurs Stirling bois à pellets ou granulés + cogénération
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- chatelot16
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chatelot16 a écrit :lejustemilieu je ne vois pas le raport avec le sujet actuel stirling et cogeneration : le truc qui fait 12 fois plus de puissance de sortie que d'entré , c'est un truc suffisament compliqué pour cacher une erreur ...
C'est simplement pcq tu as écrit ceci:
il n'y a rien a inventer : le meilleur systeme pour avoir un mouvement alternatif sans perte d'energie est la bielle et le vilbrequin :
Le système des anciennes horloges est aussi un mouvement alternatif "sans perte d'énergie"(il fallait quand-meme remonter le ressort de temps en temps
Dans le lien, c'est le mouvement pendulaire, que je voulais souligner.
Enfin, c'est mon avis
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- chatelot16
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- chatelot16
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oui bien sur des aimant ca fait un peu ressort , mais combien ca pese : 10 100 ou 1000 fois plus lourd qu'un vilbrequin
un effort magnetique n'est pas sans perte : les aimant les plus puissant en alliage metalique ont des pertes par courant de foucauld : les aimant en ferrite sont isolant et n'ont pas de perte par courant de foucauld , mais il sont moins puissant , donc plus lourd pour la meme force : que ce soit pour un stirling ou un moteur a explosion , le vilbrequin est presque parfait et ce n'est pas la peine de se casser la tete pour le remplacer
un effort magnetique n'est pas sans perte : les aimant les plus puissant en alliage metalique ont des pertes par courant de foucauld : les aimant en ferrite sont isolant et n'ont pas de perte par courant de foucauld , mais il sont moins puissant , donc plus lourd pour la meme force : que ce soit pour un stirling ou un moteur a explosion , le vilbrequin est presque parfait et ce n'est pas la peine de se casser la tete pour le remplacer
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stirling Man
hello les Stirling Man
je vous joindrai les plans de mes stirling sauteurs dès que j'aurai un petit moment !en ce moment je suis en vacance!
Bien sur que ce genre de stirling est trop compliqué pour l'utiliser dans une application industrielle car ce système adabiatique est couplé au système auto oscillant et de plus la masse est une valeur critique dans la conception....mais bon ! on peut s'amuser à imaginer toute sorte de moteur à air chaud "la preuve" ... j' ai un article de ce "moteur" paru dans le bulletin de l'union des physiciens de 2005....
je vous ferai parvenir les plans bientôt.
A plus
je vous joindrai les plans de mes stirling sauteurs dès que j'aurai un petit moment !en ce moment je suis en vacance!
Bien sur que ce genre de stirling est trop compliqué pour l'utiliser dans une application industrielle car ce système adabiatique est couplé au système auto oscillant et de plus la masse est une valeur critique dans la conception....mais bon ! on peut s'amuser à imaginer toute sorte de moteur à air chaud "la preuve" ... j' ai un article de ce "moteur" paru dans le bulletin de l'union des physiciens de 2005....
je vous ferai parvenir les plans bientôt.
A plus
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Back to the futur
Hahaaa la SunnMachine !
Je suis originaire des Vosges et une société spinalienne avait commencée à en importer l'année dernière ...
Le produit était en phase de lancement il me semble, il l'avait présenté au salon des ENR de Lyon et avait même reçu un prix (pas sur ...)
Je ne sais pas ce que cela donne à l'heure actuelle ... Le système en lui même restait assez cher !
Quelques chose comme 30000€ la broloc' ...
Je suis originaire des Vosges et une société spinalienne avait commencée à en importer l'année dernière ...
Le produit était en phase de lancement il me semble, il l'avait présenté au salon des ENR de Lyon et avait même reçu un prix (pas sur ...)
Je ne sais pas ce que cela donne à l'heure actuelle ... Le système en lui même restait assez cher !
Quelques chose comme 30000€ la broloc' ...
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chatelot16 a écrit :oui bien sur des aimant ca fait un peu ressort , mais combien ca pese : 10 100 ou 1000 fois plus lourd qu'un vilbrequin
un effort magnetique n'est pas sans perte : les aimant les plus puissant en alliage metalique ont des pertes par courant de foucauld : les aimant en ferrite sont isolant et n'ont pas de perte par courant de foucauld , mais il sont moins puissant , donc plus lourd pour la meme force : que ce soit pour un stirling ou un moteur a explosion , le vilbrequin est presque parfait et ce n'est pas la peine de se casser la tete pour le remplacer
Bien sûr, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué !
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Article de 2006 trouvé à l'ADIT, on est mi 2008...et toujours rien comme offre concrètes sur le marché...me trompe je?
Les premières chaudières bois domestiques capables de produire de l'électricité sont promises pour 2007.
Photo : KWB et SPM développent un équipement composé d’une chaudière à pellets et un moteur Stirling. ISE travaille sur l’ajout d’un ballon d’eau chaude. (source : SPM).
À la faveur des hausses de prix du fioul et du gaz, le bois retrouve de son attrait.
D’énergie difficile à mettre en œuvre, il redevient « une forme stockée de l’énergie solaire », résume Benoît Sicre, ingénieur chercheur à l’institut pour les systèmes énergétiques solaires (ISE) de Fribourg en Brisgau (Allemagne).
Cependant, cette énergie conserve ses inconvénients : encombrement, coût de transport, peu de possibilités d’automatisation des systèmes à bûches.
Les solutions à pellets (granulés) ou à plaquettes sont des évolutions.
Mais ce chercheur s’est particulièrement penché sur la cogénération bois : la production combinée de chaleur pour le chauffage et d’électricité vendue sur le réseau ou exploitée sur place.
Ce cas de figure intéresse quasi-exclusivement le résidentiel collectif et l’industrie, mais des solutions plus compactes de micro-cogénération – de 10 à 15 kW électrique – émergent.
Techniquement, il s’agit de l’association d’une chaudière traditionnelle et d’un moteur à combustion externe, de type Stirling ou à vapeur.
Dans son travail Benoît Sicre souligne les avantages par rapport à la solution de micro-cogénération gaz ou fioul : la protection des ressources car le bois est une énergie renouvelable, une réduction des polluants car les arbres réutilisent le CO2 émis pour croître, moins de transport d’électricité avec par conséquent moins de perte sur le réseau, une réduction des investissements de renforcement du réseau haute tension, et un retour sur investissement court.
Le sujet préoccupe sérieusement les industriels.
Benoît Sicre liste une demi-douzaine de fournisseurs qui s’apprêtent à proposer leurs matériels sur le marché européen.
Revue de détail
- L’entreprise Sunmachine de Nuremberg a développé un monocylindre Stirling de 520 cm3 sous 33 bar qui affiche une puissance de 3 kW électrique (puissance mesurée avec un brûleur gaz). Ce moteur a été ré-équipé d’un brûleur de granulés avec flamme dirigée vers le bas (« upside-down »). Le constructeur annonce un rendement électrique de 20 à 25% et thermique jusqu’à 70%. Son prix HT devrait se situer vers 23.500 €.
- Le constructeur autrichien de chaudière Mawera travaille sur un prototype équipé d’un moteur Stirling 4 cylindres double action : les gaz d’échappement quittent la chambre de combustion à une température proche de 1 300 °C ; pour cela, l’air de combustion est préchauffé avec une partie des gaz d’échappement. Ce système affiche une puissance électrique nominale de 35 kW pour une température de retour du réseau de chauffage de 60 °C. Le constructeur annonce un rendement électrique entre 12 et 18%. Deux installations à l’essai cumulent 16 000 heures de marche.
- Le moteur Stirling de l’autrichien Stirling Power Module à 4 cylindres double action développe une puissance électrique de 1 kW, et son brûleur 15 kW thermique. Ce moteur, développé spécialement pour le combustible bois sera vendu en tant que module et pourra être adapté pour fonctionner avec le brûleur de différents fabricants. Les premiers tests en conditions réelles devraient débuter en 2007 en association avec le fabricant autrichien de chaudières à pellets KWB. Le Fraunhofer ISE travaille sur le design de ce système avec un ballon d’eau chaude haute performance.
- Le lichtensteinois Hoval travaille sur l’intégration d’un moteur Stirling de 1 kWel avec ses chaudières pellets et son gazéificateur de bois. L’entreprise ne le commercialisera pas avant 2008.
- l’Allemand Solo Stirling adapte son moteur d’une capacité de 9 kWel – une mesure effectuée avec un brûleur gaz naturel – pour fonctionner avec un gazéificateur de granulés de bois. Le moteur sera chauffé par les gaz d’échappement très chauds. Cette combinaison ne sera pas proposée avant 2007.
- Le fabricant allemand de chaudière OTAG adapte son système basé sur un moteur à vapeur Lion d’une capacité de 0.2 à 3 kWel (avec un brûleur à gaz naturel de puissance modulable de 2 à 16 kWth) pour fonctionner avec un brûleur à granulés de bois. Mise sur le marché en 2007.
Quelles opportunités en France?
Pour Benoît Sicre, les récentes mesures prises en France sont un encouragement au développement de cette technologie : crédit d’impôt sur les équipements bois, évolution de la politique tarifaire de rachat de l’électricité produite par les petits sites…
Seuls handicaps : l’inexistence en France d’une politique directement en faveur de la microcogénération bois et le coût de cette technologie.
Ce chercheur reconnaît aussi que la solution « requière encore des efforts de R&D avant d’être commercialisable.
Certaines composantes comme les filtres à gaz haute température ou les génératrices haute performance ne sont disponibles que pour des installations de bien plus grande taille.
De plus, des tests réels dans des maisons témoins seront également nécessaires afin d’informer et de convaincre le public.
Et enfin, la filière d’approvisionnement en pellets de bois doit être organisée à un niveau national, en créant de nouvelles chaînes de production pour couvrir l’ensemble du territoire. »
Contact : Benoît G. Sicre, ingénieur au Fraunhofer-Institut für Solare Energiesysteme ISE, Heidenhofstr. 2 - 79110 Freiburg, Allemagne, benoit.sicre@ise.fraunhofer.de, et site http://hlk.ise.fraunhofer.de
Une micro-cogénération à base de moteur Stirling : exploiter les gaz chauds d’une chaudière bois
Shéma : Sur les installations d’une puissance thermique de 10 à 15 kW, le moteur Stirling relié à un alternateur peut fournir 1 à 3 kW électriques (source : Hansen).
Moteur Stirling, moteur à vapeur : quelles définitions ?
* Le moteur Stirling est un moteur à combustion externe, basé sur le principe du travail d’un gaz, qui se dilate lorsqu’on lui transfère de la chaleur et qui se rétracte quand on le refroidit. Le moteur Stirling peut donc travailler avec différentes sources de chaleur (rayonnement solaire, chaleur rejetée, réaction nucléaire).
* Le principe du moteur à vapeur se base sur l’expansion de vapeurs chaudes. Ils sont caractérisés par le type de fluide utilisé (eau, fluide organique) et sont à combustion externe.
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