Bonjour Jean63
Je crois qu'il serait indescent pour moi de commenter ce post
il serait préferable que cela soit MMM lui même qui est l'auteur de ce montage , il serai mieux hablité que moi pour donner des détails
Je pense qu'il est assez ouvert pour repondre a vos questions.
Il a énumerer simplement le fonctionement un peu plus haut
En gros c'est le même principe pour le réacteur que tout le monde tige et tube, ce qui differre des autres c'est la façon de faire de la vapeur avant le réacteur il vas chercher les gaz du cartere moteur
(côté trés interessant que David avait sugerer en 2001)
Pour Ex-océan
Les vapeurs d'huile et d'eau dans le cartere sont dans les moteurs en légere depression afin de protéger les joints du vilbrequin, (dans un avion quand la sortie du reniflard dépasse sous le capot, dans l'air froide de l'hiver, si ce tube se bouche par de la glace, le joint du vilbrequin en avant de l'hélice se défonce et tu te ramasse avec une grandre trace d'huile dans le pare brise)
Pour son systeme injection c'est simple et original, mais il serait préferable que lui l'explique...
Maintenant pour éviter que certain moteur crache trop de vapeur d'huile dans le reniflard certain vehicule on un systeme avec des chicanes pour retenir l'huile en goutte et ne laisser que les finnes vapeur d'huile et bein évidement le but est de faire sortie la vapeurs d'eau et de maintenir en depression le carter.
Ceux qui nt possedé des 2CV citroen dans le bouchon de remplissage il y avait une sorte de clapet fait en bec de canard , cela laisse sortie la pression dans le carter mais cela ne laiss ps entrée d'air (c'etait un cas spécial le cartere est soumis comme a un pompage continu)
André
Lettre ouverte aux membres d'Econologie-Pantone
gaz carter
ex-océano a écrit :La pression dans le carter moteur me semble assez étonnante...
Il devrait il y en avoir peu si la segmentation du moteur est correcte. Par contre, si elle est usée, des gaz d'échappement peuvent passer dans le carter...
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gaz carter
En réponse aux questions posés je vais essayer de clarifier le sujet «pression carter »
Dans un carter moteur, il ne doit avoir pression, simplement une pression pulsée, des coups de bélier, des ondulations, pour les lire au manomètre ce simplement une vibration de l’aiguille comprise entre0/15 Pa traduisez égales à 0. Sauf comme il a spécifié André le moteur de 2Ch.
Dans une colonne d’eau arrive à peine en pleine charge à 11 mm d’eau, exceptionnellement moteurs Diesel 16 cylindres quadruple turbo ou double turbo, et une puissance débitée de 2.5 mega watt la colonne est de 19mm.
Le débit de cette colonne est en pleine charge, et j’entends bien la quantité de gaz de 11 fois la cylindrée du moteur, dans l’unité de temps mesuré, et pour un moteur standard, pour un moteur turbocompressé de 12 fois le cylindre du moteur, et une grosse unité turbo compressé, compound, etc. 13 fois. Méthode utilisée pour beaucoup de constructeurs, avec des outillages différents, ex. GM un simple réducteur, ¾ , ½ et relevé venturi sur colonne d’eau, rapporté sur le type de moteur, lecture directe de la Deutz colonne d’eau.
Mais le débitmètre est la plus sur puisqu’on s’affranchit du fait d’être un spécialiste de tel ou tel type de moteur, avec ces données vous pouvez déterminer l’usure du moteur de n’importe quel constructeur au centième pré. Et il est vérifiable en sens contrario par la méthode de calcul des fuites ; et j’arrête il me semble que ça sort du cadre de ces explications.
A partir des mesures obtenues, il s’agit de vérifier si dans toute la colonne d’alimentation du réacteur, on transgresse ces paramètres.
Les études sur l’écoulement de la colonne, sa vitesse, dans les conduites et réacteur me confirment que ce la section du réacteur lui-même qui va provoquer la seule restriction, la section des outres conduites il est possible de les modifier, à condition d’un deuxième paramètre, la température, mais ce un outre chapitre.
En conclusion pour finir (j’ai la tète comme une cougourde) appliquer ces mesures traduites en hauteur de colonne d’eau, me permettent d’appliquer une outre loi des moteurs thermiques, le frein maxi aux gaz d’échappement. Je l’applique à la colonne d’alimentation du réacteur, et çà concorde. Je puis passer de la bouillotte à l’alimentation directe.
Excusez moi j’arrête, l’écriture ce n’est pas mon fort.
Je voudrais demander S.V.P. à Pitmix (je plante dans l’envoi d’images) de poster le dernier schéma que je l’ai envoyé. Merci.
Dans un carter moteur, il ne doit avoir pression, simplement une pression pulsée, des coups de bélier, des ondulations, pour les lire au manomètre ce simplement une vibration de l’aiguille comprise entre0/15 Pa traduisez égales à 0. Sauf comme il a spécifié André le moteur de 2Ch.
Dans une colonne d’eau arrive à peine en pleine charge à 11 mm d’eau, exceptionnellement moteurs Diesel 16 cylindres quadruple turbo ou double turbo, et une puissance débitée de 2.5 mega watt la colonne est de 19mm.
Le débit de cette colonne est en pleine charge, et j’entends bien la quantité de gaz de 11 fois la cylindrée du moteur, dans l’unité de temps mesuré, et pour un moteur standard, pour un moteur turbocompressé de 12 fois le cylindre du moteur, et une grosse unité turbo compressé, compound, etc. 13 fois. Méthode utilisée pour beaucoup de constructeurs, avec des outillages différents, ex. GM un simple réducteur, ¾ , ½ et relevé venturi sur colonne d’eau, rapporté sur le type de moteur, lecture directe de la Deutz colonne d’eau.
Mais le débitmètre est la plus sur puisqu’on s’affranchit du fait d’être un spécialiste de tel ou tel type de moteur, avec ces données vous pouvez déterminer l’usure du moteur de n’importe quel constructeur au centième pré. Et il est vérifiable en sens contrario par la méthode de calcul des fuites ; et j’arrête il me semble que ça sort du cadre de ces explications.
A partir des mesures obtenues, il s’agit de vérifier si dans toute la colonne d’alimentation du réacteur, on transgresse ces paramètres.
Les études sur l’écoulement de la colonne, sa vitesse, dans les conduites et réacteur me confirment que ce la section du réacteur lui-même qui va provoquer la seule restriction, la section des outres conduites il est possible de les modifier, à condition d’un deuxième paramètre, la température, mais ce un outre chapitre.
En conclusion pour finir (j’ai la tète comme une cougourde) appliquer ces mesures traduites en hauteur de colonne d’eau, me permettent d’appliquer une outre loi des moteurs thermiques, le frein maxi aux gaz d’échappement. Je l’applique à la colonne d’alimentation du réacteur, et çà concorde. Je puis passer de la bouillotte à l’alimentation directe.
Excusez moi j’arrête, l’écriture ce n’est pas mon fort.
Je voudrais demander S.V.P. à Pitmix (je plante dans l’envoi d’images) de poster le dernier schéma que je l’ai envoyé. Merci.
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température
Suite a mon dernier post, pression carter, que n’existe pas, le traitement de la température, sans une isolation sérieuse, le système ne marche pas.
Placer des thermocouples tant que vous voudrez, ce le vrai Yo-Yo, peut-être que vous finirez comme moi, pour maintenir une température essayer de passer un virage de cinquième en quatrième, oups, ça ne passera pas, troisième et adieux la pompe injection.
Du moment que j’ai isolé correctement l’échappement et réacteur, ça été cool, il ne faut pas oublier que la SORTIE réacteur est 80 cm du plain de culasse, et l’ENTREE à 130 cm environ.
Pour quoi ça, pour avoir un accès au réacteur facilement par la fosse du garage. Ce une erreur. Beaucoup d’essais pour rien.
Pour la température, il faut se poser deus questions, voir trois au départ, elle est suffisante, oui a l’échappement directement, des ml/L par seconde, pas de problème. Le réacteur fonctionne, il faut essayer. Avec toutes ces mesures en train de faire le Yo-Yo, ce pas gagné.
Quelles sont les conditions pour que le réacteur «accroche », maintenant avec l’expérience j’élude la question, conditions ou réglages pour améliorer le fonctionnement ?
Pour quoi j’élude cette question ? par ce que un véhicule particulier cet impossible d’obtenir de quantifier un résultat, il y a trop de variables au tour pour pouvoir quantifier ou valider quoi que ce soit.
J’envoie un conseil a André, il y a une précaution a prendre dans des moteurs pousses, échappement libre, prévoir deus thermocouples une placé à l’endroit de restriction dans l’échappement, et la deuxième prés du plain de culasse, faire un essai avant de placer le réacteur, relever les températures, placer le réacteur, et faire un deuxième relève, la température prés du plain de culasse doit rester sensiblement le même et celui placé prés du réacteur doivent monter normalement ou rester égale, si non augmenter le diamètre de l’échappement. Précaution que j’ai prise tout au début.
Si vous avez besoin des éclaircissements sur les températures dans les moteurs thermiques, demandez, j’ai à votre disposition un post a ce sujet. Copier coller, je sais faire.
Un outre sujet d’inquiétude ça été l’auto-alimentation du moteur a partir des gaz chargés en huile et chauffés à 500° environ, la fabrication d’un déshuileur s’impose, et pour sécurité un Shut-off, ce un clapet d’étranglement pour arrêter le moteur en cas d’auto-alimentation.
J’ai préfère une outre solution plus élégante (que de perte de temps et travail pour rien), fabriquer un dispositif de coupure en cas d’urgence de tout le système Pantone et gaz du reniflard, et en prévoyant obtenir de plus amples renseignements associer le tout avec une soupape de réglage du débit envoyé au réacteur.
Magnifique, variation de la qualité vapeur, ça vitesse, l’outillage que je dispose, manomètres classe 2.5, compte tours en mesure instantanée et moyenne sur les dix dernières mesures, colonne d’eau, thermocouple, on pourrait voir plus claire dans ce foutu Pantone.
Maintenant il y a que,
Rouler, faire des essais, ça marche, précaution, ressayer le lendemain, ça marche et la première chose que j’ai fait ce de donner un grand coup de masse sur la bouillotte.
Les essais ont continué le mois d’auôt, septembre, et en novembre j’ai revu l’isolation, insuffisante, pour avoir 80° C dans tout type de circulation et mise à part quelques bizarreries, que je ne puis pas reproduire ou mesurer, ça marche je puis affirmer des choses sures, si non je me serais tu.
Placer des thermocouples tant que vous voudrez, ce le vrai Yo-Yo, peut-être que vous finirez comme moi, pour maintenir une température essayer de passer un virage de cinquième en quatrième, oups, ça ne passera pas, troisième et adieux la pompe injection.
Du moment que j’ai isolé correctement l’échappement et réacteur, ça été cool, il ne faut pas oublier que la SORTIE réacteur est 80 cm du plain de culasse, et l’ENTREE à 130 cm environ.
Pour quoi ça, pour avoir un accès au réacteur facilement par la fosse du garage. Ce une erreur. Beaucoup d’essais pour rien.
Pour la température, il faut se poser deus questions, voir trois au départ, elle est suffisante, oui a l’échappement directement, des ml/L par seconde, pas de problème. Le réacteur fonctionne, il faut essayer. Avec toutes ces mesures en train de faire le Yo-Yo, ce pas gagné.
Quelles sont les conditions pour que le réacteur «accroche », maintenant avec l’expérience j’élude la question, conditions ou réglages pour améliorer le fonctionnement ?
Pour quoi j’élude cette question ? par ce que un véhicule particulier cet impossible d’obtenir de quantifier un résultat, il y a trop de variables au tour pour pouvoir quantifier ou valider quoi que ce soit.
J’envoie un conseil a André, il y a une précaution a prendre dans des moteurs pousses, échappement libre, prévoir deus thermocouples une placé à l’endroit de restriction dans l’échappement, et la deuxième prés du plain de culasse, faire un essai avant de placer le réacteur, relever les températures, placer le réacteur, et faire un deuxième relève, la température prés du plain de culasse doit rester sensiblement le même et celui placé prés du réacteur doivent monter normalement ou rester égale, si non augmenter le diamètre de l’échappement. Précaution que j’ai prise tout au début.
Si vous avez besoin des éclaircissements sur les températures dans les moteurs thermiques, demandez, j’ai à votre disposition un post a ce sujet. Copier coller, je sais faire.
Un outre sujet d’inquiétude ça été l’auto-alimentation du moteur a partir des gaz chargés en huile et chauffés à 500° environ, la fabrication d’un déshuileur s’impose, et pour sécurité un Shut-off, ce un clapet d’étranglement pour arrêter le moteur en cas d’auto-alimentation.
J’ai préfère une outre solution plus élégante (que de perte de temps et travail pour rien), fabriquer un dispositif de coupure en cas d’urgence de tout le système Pantone et gaz du reniflard, et en prévoyant obtenir de plus amples renseignements associer le tout avec une soupape de réglage du débit envoyé au réacteur.
Magnifique, variation de la qualité vapeur, ça vitesse, l’outillage que je dispose, manomètres classe 2.5, compte tours en mesure instantanée et moyenne sur les dix dernières mesures, colonne d’eau, thermocouple, on pourrait voir plus claire dans ce foutu Pantone.
Maintenant il y a que,
Rouler, faire des essais, ça marche, précaution, ressayer le lendemain, ça marche et la première chose que j’ai fait ce de donner un grand coup de masse sur la bouillotte.
Les essais ont continué le mois d’auôt, septembre, et en novembre j’ai revu l’isolation, insuffisante, pour avoir 80° C dans tout type de circulation et mise à part quelques bizarreries, que je ne puis pas reproduire ou mesurer, ça marche je puis affirmer des choses sures, si non je me serais tu.
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- Bucheron
- Econologue expert
- Messages : 4731
- Inscription : 07/11/05, 10:45
- Localisation : En montagne... (Trièves)
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Raccourci tout à fait réducteur, faux dans sa formulation brute et franchement pas pas valorisant pour ceux qui croient à cette solution de transition à la portée de beaucoup...muzo_31 a écrit :[...]Toutefois, l'huile n'est qu'une solution bassement financière, car comme ton moteur crame autant d'huile qu'il cramait de gasole, il rejette autant de CO2, la bombe qu'on a amorcée pour nos petits-enfants.[...]
Quand, comme moi, on achète l'huile à un producteur local responsable, et qu'on ne peut pas rouler à fort %age, l'économie réalisée est de l'ordre de 10%... Pas du tout motivant ! Donc tu repasseras pour la solution bassement financière...
Par contre, toute l'huile que je brûle produit du CO2 qui ne participe pas à l'augmentation de l'effet de serre puisque qu'il tourne sur un cycle biochimique court, à l'échelle d'une saison de végétation (CO2 atmosphérique => molécule carbonée organique produite par photosynthèse => retour à l'atmosphère après combustion) alors que ce qui pose problème n'est pas "LE" CO2 en soi (sans CO2, pas de vie sur terre...) mais l'introduction dans l'atmosphère d'une très grande quantité de CO2 "hors-circuit" depuis très longtemps et ceci sur un laps de temps extrêmement court...
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Ecusses/schema
Veuillez m’excuser les membres cités, ceci est pour excuser au pré d’eux, je ne sais plus si le sujet Flux pousse «témoignage de MMM » correspond aux explications que j’ai envoyé en MP à Krigss29, ou Rpsantine, je ne me rappel plus.
Ci-joint un schéma de mon montage
(edité par ex-océano:correction BBCode (img) 020306-18:11)
Ci-joint un schéma de mon montage
(edité par ex-océano:correction BBCode (img) 020306-18:11)
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Bonjour mmm
Je penses, comme je te l'ai dis en mail, que ton injecteur est très semblable à ce que nous appelons le carbu à eau ou le venturi à eau.
Sauf que nous essayons de pulvériser l'eau injectée très finement par aspiration d'air (très difficile pour moi )
alors que toi tu le fais fonctionner par air et eau poussée (bien plus facile )
D'ailleurs pour mettre au point notre venturi à eau nous le faisons avec de l'air comprimé.
Tout mes essais avec aspirateur n'ont pas montré que l'eau était correctement pulverisée.
Et à prioris celà ce confirme avec mes resultat sur la conso.
Voilà pourquoi je pense que ton idée est bonne.
Parcontre j'ai des difficultées à comprendre si le reacteur aspire la vapeur ou si la vapeur est poussée.
Car si c'est le cas de vapeur poussée dans le reacteur et jusqu'a l'admission celà resoud tout les (mes) problèmes d'injection dans le moteur de ce qui sort du reacteur.
Donc je remets la sortie reacteur au dessus du papillon de gaz et peu importe la force d'aspiration du moteur puisque la vapeur est poussée.
Pour BUCHERON
il faut planter des arbres pour absorber le CO2 des voitures qui roulent au HVB comme ça la boucle est bouclée et ça fini par produire de L'O2
Je penses, comme je te l'ai dis en mail, que ton injecteur est très semblable à ce que nous appelons le carbu à eau ou le venturi à eau.
Sauf que nous essayons de pulvériser l'eau injectée très finement par aspiration d'air (très difficile pour moi )
alors que toi tu le fais fonctionner par air et eau poussée (bien plus facile )
D'ailleurs pour mettre au point notre venturi à eau nous le faisons avec de l'air comprimé.
Tout mes essais avec aspirateur n'ont pas montré que l'eau était correctement pulverisée.
Et à prioris celà ce confirme avec mes resultat sur la conso.
Voilà pourquoi je pense que ton idée est bonne.
Parcontre j'ai des difficultées à comprendre si le reacteur aspire la vapeur ou si la vapeur est poussée.
Car si c'est le cas de vapeur poussée dans le reacteur et jusqu'a l'admission celà resoud tout les (mes) problèmes d'injection dans le moteur de ce qui sort du reacteur.
Donc je remets la sortie reacteur au dessus du papillon de gaz et peu importe la force d'aspiration du moteur puisque la vapeur est poussée.
Pour BUCHERON
il faut planter des arbres pour absorber le CO2 des voitures qui roulent au HVB comme ça la boucle est bouclée et ça fini par produire de L'O2
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- Bucheron
- Econologue expert
- Messages : 4731
- Inscription : 07/11/05, 10:45
- Localisation : En montagne... (Trièves)
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C'est inutile, la part de CO2 de l'HVB issu des voitures qui en consomment a DÉJÀ été absorbé par la plante lors de sa croissance...PITMIX a écrit :[...]Pour BUCHERON
il faut planter des arbres pour absorber le CO2 des voitures qui roulent au HVB comme ça la boucle est bouclée et ça fini par produire de L'O2
Tous les végétaux pratiquant la photosynthèse produise de l'O2 en journée... (et du CO2 la nuit)
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Pour l'HVB, il y a un autre problème : en Indonésie, on déforeste et fait disparaitre la flore et la faune locale pour planter des palmiers.
But : produire de l'huile de palme pour les moteurs; 4 usines ont déjà été construites pour ça (on en parle dans oliomobile). Le WWF s'est d'ailleurs mis sur le coup pour demander le boycott de cette huile !!
site http://www.wwf.ch/fr/lewwf/notremission ... /index.cfm
donc HVB oui, mais en provenance de cultures faites sur des sols non issus de coupe d'arbres à blanc (Amazonie, Indonésie ..etc), car le mieux HVB, risque d'être pire que le mal PETROLE.
But : produire de l'huile de palme pour les moteurs; 4 usines ont déjà été construites pour ça (on en parle dans oliomobile). Le WWF s'est d'ailleurs mis sur le coup pour demander le boycott de cette huile !!
site http://www.wwf.ch/fr/lewwf/notremission ... /index.cfm
donc HVB oui, mais en provenance de cultures faites sur des sols non issus de coupe d'arbres à blanc (Amazonie, Indonésie ..etc), car le mieux HVB, risque d'être pire que le mal PETROLE.
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Ce n'est que quand il aura fait tomber le dernier arbre, contaminé le dernier ruisseau, pêché le dernier poisson que l'homme s'apercevra que l'argent n'est pas comestible (Indien MOHAWK).
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