Bonsoir,
Quelques nouvelles. Le système électronique est terminé et opérationnel depuis mai 2016. En gros tout ce qui se faisait avec des thermostats multiples ce fait aujourd'hui par le microcontroleur arduino.
Pour piloter mes ventilos j'utilise le mode PWM c'est à dire la vitesse est variable en fonction de la température grâce à un découpage du signal.
En mode clim, cet été tout a fonctionné normalement. En octobre j'ai eu une grosse panne, un moteur de ventilo bloqué avec comme conséquence la destruction d'un Mosfet de puissance. Comme j'ai doublé tous les étages de puissance à part un transistor à changer et quelques fils un peu brunis, tout est rentré dans l'ordre.
Le contrôle est effectué par un système indépendant basé sur deux arduino nano, composé de deux modules l'un détecteur, l'autre émetteur. J'ai opté pour du 2,4 Ghz suffisamment puissant avec émission tous les quart d'heures. Le système est assez sophistiqué, si la température est trop haute oui trop basse, un buzzer se met à sonner, me permettant d'intervenir rapidement.
Je dispose de deux afficheurs LCD, l'un dans la serre donnant les températures de consigne d'alarme, les vitesses des ventilos en fonction des tensions.
A l'intérieur un autre afficheur me donnent les températures dans la serre, dans les bacs tampon, les maximum et mini.
Donc j'ai pris mon pied...
Je suis en train d'ajouter un mesureur de vitesse directement sur les ventilos, de manière à stopper l'alimentation en cas de blocage.
Enfin, j'ai doublé mon installation avec des tuyaux de cuivre qui courent tout autour de ma table centrale (13 mètres en tout) alimentés comme les radiateurs, ils assurent une meilleure répartition de la chaleur avec moins d'effort sur les ventilos
Je confirme les commentaires ci-dessus, arduino c'est de la folie on peut tout faire ou presque...
Arduino, applications et exemples econologiques?
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Re: Arduino, applications et exemples econologiques?
Bonjour,
Voilà un bel exemple de ce que l'on peut faire avec un Arduino. La complexité du montage et l'utilisation des sorties PWM ont du te procurer pas mal de tourments si tu n'es pas programmeur. Tu as utilisé pas mal de fonction utiles pour tout éconologue soit :
-La possibilité de faire varier les vitesses des moteurs par simple commande d'une broche PWM
-La gestion des entrées (analogique / numérique) pour obtenir tes températures (à savoir que l'arduino peut transformer ses broches en entrée ou en sortie juste par le programme)
-l'utilisation d'un (shield / module additif) pour dialoguer en hertziens ( 2,4 Ghz je savais pas qu'il existait déjà des shield de ce niveau pour moi seul le 433 MHz était courant....certainement l'environnement des drones qui a poussé la communauté à l'ajout du shield et ça veut dire aussi qu'on peut transmettre de la vidéo à la volé!).....
Peux tu parler des difficultés ou pas du codage et de la partie électronique ?
Savez vous que la communauté a développé une interface pour nous les personne non rompu au langage C, en effet j'ai découverts récemment qu'on pouvait programmer l'arduino sans programme juste avec des briques élémentaires (un jeu d'enfant).
C'est le blocky arduino
http://blogpeda.ac-poitiers.fr/lp2i-si/ ... nvenients/
Avec ca on fait un pas en avant vers la simplicité et je ne pense pas qu'on arrive si facilement au limite du langage par bloc car on peut quand meme piloter des robots avec ce type de langage simplifié à l’extrême....
Plus qu'a connaitre un peut quelque notion d'électricité/électronique et seul notre imagination devient la limite....
Voilà un bel exemple de ce que l'on peut faire avec un Arduino. La complexité du montage et l'utilisation des sorties PWM ont du te procurer pas mal de tourments si tu n'es pas programmeur. Tu as utilisé pas mal de fonction utiles pour tout éconologue soit :
-La possibilité de faire varier les vitesses des moteurs par simple commande d'une broche PWM
-La gestion des entrées (analogique / numérique) pour obtenir tes températures (à savoir que l'arduino peut transformer ses broches en entrée ou en sortie juste par le programme)
-l'utilisation d'un (shield / module additif) pour dialoguer en hertziens ( 2,4 Ghz je savais pas qu'il existait déjà des shield de ce niveau pour moi seul le 433 MHz était courant....certainement l'environnement des drones qui a poussé la communauté à l'ajout du shield et ça veut dire aussi qu'on peut transmettre de la vidéo à la volé!).....
Peux tu parler des difficultés ou pas du codage et de la partie électronique ?
Savez vous que la communauté a développé une interface pour nous les personne non rompu au langage C, en effet j'ai découverts récemment qu'on pouvait programmer l'arduino sans programme juste avec des briques élémentaires (un jeu d'enfant).
C'est le blocky arduino
http://blogpeda.ac-poitiers.fr/lp2i-si/ ... nvenients/
Avec ca on fait un pas en avant vers la simplicité et je ne pense pas qu'on arrive si facilement au limite du langage par bloc car on peut quand meme piloter des robots avec ce type de langage simplifié à l’extrême....
Plus qu'a connaitre un peut quelque notion d'électricité/électronique et seul notre imagination devient la limite....
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Re: Arduino, applications et exemples econologiques?
Bonjour,
Je me suis trompé de fil. Désolé, le bon fil était "chauffage serre par tampon thermique"
Sinon on ne comprends rien
Cordialement
Je me suis trompé de fil. Désolé, le bon fil était "chauffage serre par tampon thermique"
Sinon on ne comprends rien
Cordialement
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Re: Arduino, applications et exemples econologiques?
Bonsoir,
Par mon job, j'ai utilisé plusieurs langages mais jamais en spécialiste. Cela dit, l'apprentissage d'un langage informatique, c'est comme apprendre une langue étrangère, pour la première c'est souvent douloureux car il faut penser différemment, puis ensuite c'est plus facile.
Donc le C et le C++ on s'y fait vite tout du moins dans un mode d'usage un peu rustique...
Utiliser des blocs, plusieurs autres langages s'y sont essayés comme LaTex. Ayant utilisé les deux, il n'y a pas photo, la programmation pure et dure est autrement plus jouissive que les produits préfabriqués. Enfin c'est un point de vue. Il vaut mieux souffrir un peu au début pour ensuite prendre son pied...
En fait j'ai assez peu souffert pour bâtir mon projet, il faut dire que j'ai pris mon temps et que j'ai absorbé un paquet de tutos sur arduino. Des ennuis on en a toujours, une consigne pour laquelle on a oublié l'hystérésis et qui fait que ça s'arrête, ça repart, ça s'arrête à nouveau...
C'est peut être pour mettre à l'heure mon horloge à quartz que j'ai le plus galéré !
Pour piloter mes deux ventilos et mes 2 pompes (en tout 4 moteurs à courant continu) j'ai utilisé un double étage de puissance par moteur (2 MOSFET FQP30N06 montés en parallèle ) fixés sur des radiateurs surdimensionné. Donc en tout 2x4 MOSFET.
Pour le reste, j'ai utilisé un boîtier baby d'ordinateur pour y installer l'électronique. Le conseil que je peux donner est qu'il faut toujours prévoir grand au niveau du boitier d'accueil, c'est vite plein. L'alim des moteurs est fournie par une alimentation PC e bonne qualité.
Je n'ai pas utilisé de circuit imprimé, j'ai hesité, fait quelques essais et ai opté pour un shield avec pas mal de connecteurs dupliqués sur lequel j'ai installé mon arduino uno. L'intérêt, c'est que si le microcontrõleur est mort, je déconnecté et replace un nouveau.
Concernant la liaison radio, j'ai opté pour des RF24l01 avec antenne aérienne (non imprimée sur le circuit) il y a plus de puissance. On trouve dans les bibliothèques en ligne des pilotes comme nrf24 ou mirf. On y passe un peu de temps mais ça finit par marcher...
J'ai choisi une solution de type bourrin : plutôt que de dialoguer entre émetteur et récepteur (l'émetteur envoie sa trame, le récepteur attend, si celle-ci passe mal, il informé l'émetteur qui va relancer la trame, etc) j'ai choisi au contraire, uune émission puissante, m'assuant à tout coup la transmission, mais pour ne pas baigner dans un nouveau champ électromagnétiques (il y en a déjà suffisamment) j'envoie la trame de données en une fois, tous les quart d'heure (d'où la nécessité d'utiliser un module d'horloge de type DS313.
Cordialement
J'ai utilisé suivant le cas des soudures + gaines thermorétractables , des sucres et des wagos..
Par mon job, j'ai utilisé plusieurs langages mais jamais en spécialiste. Cela dit, l'apprentissage d'un langage informatique, c'est comme apprendre une langue étrangère, pour la première c'est souvent douloureux car il faut penser différemment, puis ensuite c'est plus facile.
Donc le C et le C++ on s'y fait vite tout du moins dans un mode d'usage un peu rustique...
Utiliser des blocs, plusieurs autres langages s'y sont essayés comme LaTex. Ayant utilisé les deux, il n'y a pas photo, la programmation pure et dure est autrement plus jouissive que les produits préfabriqués. Enfin c'est un point de vue. Il vaut mieux souffrir un peu au début pour ensuite prendre son pied...
En fait j'ai assez peu souffert pour bâtir mon projet, il faut dire que j'ai pris mon temps et que j'ai absorbé un paquet de tutos sur arduino. Des ennuis on en a toujours, une consigne pour laquelle on a oublié l'hystérésis et qui fait que ça s'arrête, ça repart, ça s'arrête à nouveau...
C'est peut être pour mettre à l'heure mon horloge à quartz que j'ai le plus galéré !
Pour piloter mes deux ventilos et mes 2 pompes (en tout 4 moteurs à courant continu) j'ai utilisé un double étage de puissance par moteur (2 MOSFET FQP30N06 montés en parallèle ) fixés sur des radiateurs surdimensionné. Donc en tout 2x4 MOSFET.
Pour le reste, j'ai utilisé un boîtier baby d'ordinateur pour y installer l'électronique. Le conseil que je peux donner est qu'il faut toujours prévoir grand au niveau du boitier d'accueil, c'est vite plein. L'alim des moteurs est fournie par une alimentation PC e bonne qualité.
Je n'ai pas utilisé de circuit imprimé, j'ai hesité, fait quelques essais et ai opté pour un shield avec pas mal de connecteurs dupliqués sur lequel j'ai installé mon arduino uno. L'intérêt, c'est que si le microcontrõleur est mort, je déconnecté et replace un nouveau.
Concernant la liaison radio, j'ai opté pour des RF24l01 avec antenne aérienne (non imprimée sur le circuit) il y a plus de puissance. On trouve dans les bibliothèques en ligne des pilotes comme nrf24 ou mirf. On y passe un peu de temps mais ça finit par marcher...
J'ai choisi une solution de type bourrin : plutôt que de dialoguer entre émetteur et récepteur (l'émetteur envoie sa trame, le récepteur attend, si celle-ci passe mal, il informé l'émetteur qui va relancer la trame, etc) j'ai choisi au contraire, uune émission puissante, m'assuant à tout coup la transmission, mais pour ne pas baigner dans un nouveau champ électromagnétiques (il y en a déjà suffisamment) j'envoie la trame de données en une fois, tous les quart d'heure (d'où la nécessité d'utiliser un module d'horloge de type DS313.
Cordialement
J'ai utilisé suivant le cas des soudures + gaines thermorétractables , des sucres et des wagos..
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Re: Arduino, applications et exemples econologiques?
Merci d'avoir évoqué ton approche ça peut donner des idées.
Pour ma part je programme un peu mais je vais tenter d'utiliser la méthode simple du blocky arduino (google est derrière ce concept quand même), le risque étant bien sur d'arriver à la limite des blocky (ce que je doute) puis de devoir programmer par la suite. La souplesse de ce langage par bloc toutefois permet à n'importe quel bricoleur de se lancer sans crainte. Ce que j'aime c'est que c'est éprouvé au niveau enseignement et au niveau passionnés. On peut facilement passer du bloc visuel à la transformation codée et on peut faire ainsi du mix (code/bloc) certain professionnelles ont poussé le langage en utilisant simplement des organigrammes. Je pense d'ailleurs que le mode organigramme est plus adapté à nos gestions de système ''éconologue'' mais je préféré le bloc qui d'ailleurs permet de mieux comprendre le programme au premier coup d’œil (initié ou non initié).
Pour ma part, je vais tester la mise en place d'un système de gestion de chauffage intelligent uniquement avec du "bloc" même si j'ai déjà réalisé de la programmation (que je réserve pour le spécifique au delà des capacités des blocs). j'utiliserai un maximum les "shield" (horloge, relais, Ethernet...). Je veux éviter la complexité du programme, augmenté la facilité de dépannage (programme et module annexe) et avoir l'ensemble en double (arduino uno et les "shields" pour le dépannage instantanée) . Cela me paraît plus que raisonnable pour un système de gestion de chauffage.
La gestion de bloc me paraît moins sujet aux erreurs,en effet lorsqu'un bloc de gestion de vanne par hystérésis sur 2 consignes de T° est réalisé,un simple déplacement de bloc permet de ne pas réitérer le problème (le copier coller d'un langage étant plus difficile car il y a souvent du codage légèrement différent le long du programme)
Je ferai bien évidemment également du "reporting" de résultats pour optimiser la gestion solaire thermique à terme ce qui va de soit avec l'arduino.
Pour ma part je programme un peu mais je vais tenter d'utiliser la méthode simple du blocky arduino (google est derrière ce concept quand même), le risque étant bien sur d'arriver à la limite des blocky (ce que je doute) puis de devoir programmer par la suite. La souplesse de ce langage par bloc toutefois permet à n'importe quel bricoleur de se lancer sans crainte. Ce que j'aime c'est que c'est éprouvé au niveau enseignement et au niveau passionnés. On peut facilement passer du bloc visuel à la transformation codée et on peut faire ainsi du mix (code/bloc) certain professionnelles ont poussé le langage en utilisant simplement des organigrammes. Je pense d'ailleurs que le mode organigramme est plus adapté à nos gestions de système ''éconologue'' mais je préféré le bloc qui d'ailleurs permet de mieux comprendre le programme au premier coup d’œil (initié ou non initié).
Pour ma part, je vais tester la mise en place d'un système de gestion de chauffage intelligent uniquement avec du "bloc" même si j'ai déjà réalisé de la programmation (que je réserve pour le spécifique au delà des capacités des blocs). j'utiliserai un maximum les "shield" (horloge, relais, Ethernet...). Je veux éviter la complexité du programme, augmenté la facilité de dépannage (programme et module annexe) et avoir l'ensemble en double (arduino uno et les "shields" pour le dépannage instantanée) . Cela me paraît plus que raisonnable pour un système de gestion de chauffage.
La gestion de bloc me paraît moins sujet aux erreurs,en effet lorsqu'un bloc de gestion de vanne par hystérésis sur 2 consignes de T° est réalisé,un simple déplacement de bloc permet de ne pas réitérer le problème (le copier coller d'un langage étant plus difficile car il y a souvent du codage légèrement différent le long du programme)
Je ferai bien évidemment également du "reporting" de résultats pour optimiser la gestion solaire thermique à terme ce qui va de soit avec l'arduino.
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Re: Arduino, applications et exemples econologiques?
D'accord avec toi, les shields ça simplifie la vie et en cas de panne, un échange standard règle immédiatement le problème. Ton approche informatique est peut être également plus simple à debugger que x pages de lignes de code.
Cordialement
Cordialement
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Re: Arduino, applications et exemples econologiques?
Je viens très récemment de découvrir un ''shield arduino'' développé uniquement pour les opérations de "reporting" et de gestion de l'ensemble des énergies de l'habitat.
c'est le shield Open Energy monito EMonTx. Il est capable de mesurer l'énergie électrique réelle consommée,injecté ou restitué à EDF à l'aide de ses capteurs à effet hall, 4 entrée prévues à cet effet (pince de mesure de courant sans débrancher l'installation) .
Il a également des entrées spécifique pour la température et les mesures de tension. Une liaison 433 Mhz et une sortie RJ45 pour tranmettre les datas sur un site prévue à cet effet. L’utilisateur n'a plus qu'à installer ses points de mesures et utiliser son PC ou smartphone pour voir différents graphes.
Si l'utilisateur doit gérer les nombreuse sorties c'est du programme arduino...
c'est le shield Open Energy monito EMonTx. Il est capable de mesurer l'énergie électrique réelle consommée,injecté ou restitué à EDF à l'aide de ses capteurs à effet hall, 4 entrée prévues à cet effet (pince de mesure de courant sans débrancher l'installation) .
Il a également des entrées spécifique pour la température et les mesures de tension. Une liaison 433 Mhz et une sortie RJ45 pour tranmettre les datas sur un site prévue à cet effet. L’utilisateur n'a plus qu'à installer ses points de mesures et utiliser son PC ou smartphone pour voir différents graphes.
Si l'utilisateur doit gérer les nombreuse sorties c'est du programme arduino...
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