Bonjour à tous.
Boulon.
Je ne sais pas si
Naudin confond force et travail, moi je les mélange sûrement quand j’essaye de m’exprimer, mais derrière mon jugement, il y a toujours un solide sens pratique.
Un vilebrequin ne peut fonctionner seul, mais lié à un ensemble plus sophistiqué.
Padawan.
Ce que je rappelais dans mon message, n’a rien à voir avec des pignons magnétiques (qui ont toutes les chances de rester collés).
Connaissant depuis longtemps l’expérience de
Naudin sur la différence de forces tangentielle et axiale, à la proximité de 2 aimants en opposition.
La modélisation qu’il proposait était le vilebrequin proposé dans la première page,
http://jnaudin.free.fr/html/2magpup.htm pour le principe.
Mais il est évident qu’il fallait en mettre plusieurs, tous reliés, en synchronicité, avec un volant d’inertie qu’il faudrait démarrer au départ.
Dans l’autre lien de la page,
http://jnaudin.free.fr/html/mppprop.htm
il propose des idées de machines de ce type.
Après réflexions pratiques, je me suis rendu à l’évidence, que ces machines étaient difficilement réalisables par un amateur.
C’est pourquoi, j’ai trouvé que le premier dessin de
Toto 65 était original, et apportait un plus évident par rapport aux idées de machines de
Naudin :
Deux disques tournants orthogonaux, pourvus d’aimants, s’imbriquant sans jamais se toucher, (parce que reliés mécaniquement par 2 renvois d’angle à 90°).
Mais peut-être est-ce trop compliqué pour un universitaire ?
Réflexion pour
HenriII également :
C’est sur que l’attirance et la répulsion des aimants ne se fait pas en « tout ou rien », et qu’il obéissent aux diagrammes proposés par Naudin. Tu seras plus calé que moi, pour dire si ceux-là révèlent une différence sensible entre Fx et Fy, qui amènerait à croire qu’un mouvement serait possible.