Bonjour à tous,
Voilà bien des années que je veux faire une cellule de Meyer et maintenant c'est un peu, mais alors très peu parti : beaucoup de problèmes de réalisation.
Dans l'entrefait, j'ai découvert le brevet de son frère jumeau, soit stephen dit "steve". Je pense qu'il est plus intéressant en production, mais c'est un avis personnel.
J'ai l'impression de revivre les mêmes problèmes dont a parlé Meyer avec le temps de réalisation où il pensait "torcher l'tout" en 6 mois voire un an : ce qui au final a mis plusieurs années.
J'aimerai répondre un peu à tom dans deux remarques : la première sur la réalisation de Naudin et la seconde sur sa question à propos de sa self.
Chacun sait que Meyer a été accusé de plagiat parce qu'il n'a pas réussi a reproduire les résultats annoncés devant les Juges qui ont conclu à une électrolyse classique. J. L. Naudin a sans doute voulu être vulgarisateur et novateur, comme à son habitude, dans cette expérience. Le fait d'isoler l'une des deux électrodes permet de montrer que ce _n_'est _pas_ une électrolyse classique, même si elle ne reproduit pas les résultats de Meyer. Pour information, cela fonctionne aussi avec les deux électrodes isolées !!! Surprennant, n'es-ce pas ?
Tom, deuxième remarque au sujet de ta self et je me permets de te tutoyer. L'expression donnée par
U= LI donne la tension en fonction l'inductance et l'intensité. Pour "analyser" le ce qu'il se passe à un instant t, on fait appel à la notation différentielle totale exacte, l'élément mathématique obtenu permet plus simplement de connaître l'ensemble à tout moment ! Même 3 MHz s'analyse très lentement !!!
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C'est dans le site de Naudin qui se justifie sur sa bobine bifilaire !
Ici, je fais un simple rappel du lycée, si je ne m'abuse. À mon époque, on parlait simplement de notation différentielle, totale exacte c'était pour plus tard, mais je ne le savais pas !!!
La question est simple : que veut-on ? Une bobine parfaite, ainsi je peux faire varier mon courant ou ma tension et être "sur" du résultat tout en ayant la propriété de la bobine de donner tout son courant emmagasiné dès que le potentiel tombe ! Es-ce qu'on se comprends ? !!!
Quand tu dérive la tension, dU/dt, tu dois dériver le produit LI ce qui te donne :
L(di/dt) + i(dL/dt) ! Rappel : (uv)' = u'v + uv'. J'ai mis des parenthèses pour être le plus clair possible, mais plus pour la suite : à toi de suivre et de voir de quoi je parle.
En pratique, dans l'électronique, ce facteur idL/dt m'importe pas puisqu'il ne vas pas jouer sur le courant ou la tension de manière bien plus significative, c'est pourquoi on le néglige. Et, pour information avec jeff, en électronique on ne fait pas la différence entre une impédance et une résistance ! On parle plus généralement de dipole, n'es-ce pas ? Une résistance est un dipôle passif, si je me souviens bien.
Ici, étant donné que le magnétisme importe énormément, nous allons avoir un flux magnétique perturbateur. Rappellons que l'austénitique est amagnétique et que même si Meyer n'en a jamais expliqué le pourquoi précisément, il a toujours su y faire attention.
D'où l'effet bifilaire, qui est une idée de Tesla ! Au fur et à mesure que la bobine crée le flux induit, mon idL/dt, j'ai un flux opposé qui se crée, pour l'annuler, et ce quelque soit la fréquence, l'intensité et la tension entrant en ligne de compte.
C'est parfaitement logique que le tout soit inversé de part sa fonctionnalité : l'inconvénient de ce système est sa consommation en énergie forcément double !
Rappel : en électronique, une bobine parfaite, qui ne produit pas de flux induit, est notée sans "croiser" les boucles la représentant mais en faisait joindre des moitié de cercle, 4 ou 5 en général. Une bobine normale au contraire fait se croiser les boucles pour symboliser le flux magnétique induit.
J'aimerai insister sur un point où l'on se moque totalement de la hauteur des tubes ! Si vous faîtes le calcul, vous vous aperceverez que la capacité crée est quasiment nulle : de l'ordre du pico farad. Cela n'empêche pas de régler la seconde self mais pour d'autres raisons ...
J'ai une question importante pour moi dans tout ça, j'ai lu qu'il fallait préparer les barres pendant une semaine, où c'est dit ça ? Et plus schématiquement, photos ou croquis souhaité, comment ? C'est pas la première fois que j'en entends parlé.
Et pourquoi du KOH ? Et combien ?
Sommes-nous d'accord sur le retrait de l'aluminium de l'inoxydable, avant immersion ?
C'est vrai cette histoire de 904L ? Il y a mieux encore, pour celui que cela intéresse : le 4565 d'Outo Kumpu ! J'ai lu que ce n'était pas bon et qu'il fallait éviter ce type d'inoxydable, i.e., la série 904L, 254Mo et 4565 ! Je me trompe ?
Du bon vieux 304, cela ne vous tente pas ?
Pour finir et pour information, le gaz qui sort de Stanley Meyer est non ionisé ! Celui qui sort de Stephen Meyer l'est : d'où, pour le post de départ l'utilité de mettre du tungstène en guise de catalyseur pour améliorer énormément le rendement.
Selon Stephen Meyer, qui vit toujours lui
), tout ceci peut avoir un rapport consommation/production de 1 sur 10 000. Oui, vous avez bien lu et lui l'a bien dit dans son interview d'une heure où il demande trois fois au journaliste pourquoi la neige est blanche !!!
La section 101 d'où est issu chacun de tous ces brevets ne les valides qu'après constation entre autres sur matériel fonctionnant par un préposé, sans doute néophyte en toute matière surtout après le passage de Stanley Meyer qui n'expliquait pas comme les scientifiques voulait l'entendre, mais c'est un autre problème. Aujourd'hui, je pense savoir pourquoi : même un bon scientifique peut-être un chippeur de brevet, n'es-ce pas ?
Ce qui devrait un peu plus aider les dubitatifs : à bon entendeur.
Bien amicalement.
Sril, just call me sril.
p.s. : je ne sais pas d'où vient cette idée de faire bouillir l'eau de pluie si ce n'est la distiller pour qu'elle soit "plus pure", mais alors dans le vide pour ne pas l'abimer. C'est pour les tests tout ça, pas indispensable pour que ça marche. Meyer a constaté que l'eau de pluie était la même dans tout les endroits du monde !!! Le brevet de son frère donne fréquence et valeurs capacitives, selfiques et résistives à cet effet, je pense. Son site parle de l'eau qui suit un cycle de 3 ans et calcul même la masse d'eau de mer : toujours pas convaincant ? convaincu ?