Tribune méta-physique sur l'énergie libre

Innovations, idées ou brevets pour le développement durable. Diminution de a consommation d'énergie, réduction de la pollution, amélioration des rendements ou des process...Mythes ou réalité sur les inventions du passé ou du futur : les inventions de Tesla, Newman, Perendev, Galey, Bearden, la fusion froide...
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par nlc » 25/06/10, 10:29

Ah oui j'avais pas vu le pdf.....
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Christophe
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par Christophe » 25/06/10, 10:30

nlc a écrit :On pourrait evoir plus de détail sur son fonctionnement ? Car avec les explication sur le lien, j'ai rien compris !!


Une copie de sauvegarde: https://www.econologie.info/share/partag ... 2sFD3I.pdf

Pas sur que tu comprennes mieux (à l'époque en sortant de l'école j'avais eu du mal, aujourd'hui ca doit être pire...d'ailleurs je crois que c'est un prof qui m'avait branché dessus!), car c'est quand meme du lourd niveau physique...d'après ce que je me souviens, il faut de la technologie "microprocesseur" à très grande surface pour la fabriquer...pas accessible à tout le monde! Mais c'est plutôt ton domaine nlc, donc... :idea:

Merci à RealWheel d'avoir relancé le sujet en tout cas! Mais il faut qu'on lui crée un sujet!
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par RealWheel » 25/06/10, 11:25

Christophe a écrit :Ah la Paces (pompe à chaleur à écoulement spontané) de Brochet, j'avais lu ses doc en 2002 mais je n'avais plus retrouvé ses docs dans mes dossiers il y a quelques mois quand je voulais en reparler.

Je pense qu'il y a quelque chose à creuser...et comme l'écoulement est spontanné ce n'est même plus la peine de parler de COP.

Si je me souviens bien avec un fleuve comme le rhin on pouvait obtenir plusieurs GW thermiques.


Oui, c'est celà. Sa pompe présente la particularité de créer une instabilité locale qui se transmet de proche en proche et conduit à transférer de la chaleur d'une plaque à l'autre. La loi de répartition statistique des chocs est donc modifiée par l'application d'un potentiel local entre cavités et zones environnantes sur une même plaque. Au voisinnage des cavités, les molécules vont être accélérées mais pas piégées définitivement comme dans une plaque polarisée au même potentiel (filtres électrostatiques par exemple).

Le 1er principe, qui est une loi globale entre deux états, est inapplicable dans ce cas de figure (l'application du théorème de Carnot ne donne pas la valeur du COP de la machine. Il faut calculer l'énergie dépensée en entrée et produite en sortie). Il faut donc appliquer les lois de la thermodyamique localement. Le résultat global est un transfert de chaleur sans apport d'énergie autre que celui nécessaire pour maintenir le champ de potentiel électrique constant: pertes du diélectrique très faibles.

La machine, largement surunitaire, se comporte bien comme un amplificateur de puissance.

D'où ma définition d'une machine surunitaire: COP>1 et COE>1. Dans la machine de Brochet, les deux coefficients sont presque égaux (environ 500 000) mais ce n'est pas toujours le cas. Si le principe de conservation de l'énergie est universel, c'est qu'il existe alors une énergie du vide susceptible d'entretenir l'agitation moléculaire des gaz, de nature cinétique.

Dans notre compréhension actuelle des sciences, le seul paramètre tangible pour cette machine est le COP>1.

On peut remarquer que dans une pompe à chaleur conventionnelle on a COP>1 et COE=1. Le 1er principe est vérifié !

Il y a quelque temps, j'avais approché un professeur de l'école pour développer mon moteur surunitaire dans le cadre d'une étude spéciale. On m'a très gentiment remercié en expliquant qu'il était difficile de m'expliquer les raisons précises par téléphone de l'impossibilité de fonctionnement de ma machine. J'ai répondu par mail qu'il était dommageable pour l'image de l'école de ne pas donner foi aux propos d'un ancien (3ième de la promotion M79). Si tu as pu mener une étude sur le moteur Pantone, c'est vraisemblablement parce que les enseignants ont imaginé qu'il s'agissait tout bonnement d'une injection classique d'eau dans un moteur susceptible d'améliorer le rendement de combustion.

Suite à mes études diverses et variées depuis 5 ans, je suis en mesure de démontrer la possibilité de construire une machine surunitaire sur au moins 3 cas concrets (en faisant abstraction de la PAC de Brochet pour laquelle la faisabilité du processus est controversée). Ces exemples concernent: deux machines mécaniques, une machine hydraulique. Pour les deux machines mécaniques, les études théoriques sont achevées. Pour la machine hydraulique, seul le concept théorique a été posé. Le prototype d'une 1ère machine mécanique devrait être construit fin 2011. L'autre machine mécanique sera peut-être développée dans le cadre d'un projet OpenSource après avoir démontré la faisabilité d'au moins une machine surunitaire. Il est hors de question d'impliquer des partenaires potentiels dans des projets aux résultats uncertains.
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par nlc » 25/06/10, 14:07

Bon, j'ai lu une bonne partie du document, mais RealWheel, j'ai besoin d'explications car il y a une truc que je ne comprends pas !!

Page 21/22 on a le résumé du cycle de carnot, très bien. Page 22/23 l'auteur explique la différence avec son cycle électrostatique, auquel on n'aurait pas besoin de rajouter de travail pour accélérer les molécules dans la phase de compression.

Mais faut que tu m'expliques quelque chose, commençons par le schéma 36 page 22.
Phase 1 : accélération/réchauffement dans le champs d'attraction --> OK
Phase 2 : Refroidissement par accommodement thermique --> OK, les calories sont cédées à la source chaude
Phase 3 : Admettons...
Phase 4 : Je pige pas comment la molécule peut revenir toute seule jusque là, elle n'est plus attirée par le champ électrique de la source chaude !?
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par nlc » 25/06/10, 14:19

Sur la page 23, il y a "la mise en lumière" de l'aspect, mais justement ça met encore plus en lumière mon interrogation !!

:arrow: Le ballon arrive avec une vitesse élevée vers une planète --> OK
:arrow: Sous l'effet de la pesanteur il est accéléré --> OK
:arrow: Lors du choc il cède de l'énergie --> OK
:arrow: Il rebondit et ressort de l'atmosphère et à une vitesse cinétique moins élevée qu'en arrivant --> OK


:arrow: Le ballon n'a aucune dette vis à vis de la pesanteur --> OK, il est accéléré autant quand il arrive qu'il est freiné quand il ressort, bilan nul, je suis OK.

L'énergie qui est déposée sur terre vient donc de l'énergie cinétique initiale qu'avait le ballon avant d'arriver sur la planète --> OK :

Le problème c'est qu'en repartant son énergie cinétique est moindre, donc le coup d'après le cycle ne fonctionne plus, ou en tout cas s'atténue : le ballon rebondit jusqu'au moment où il n'a plus assez d'énergie cinétique pour ressortir de l'attraction de la pesanteur --> il reste plaqué au sol.

Pourquoi ça serait différent avec les molécules ? Pourquoi la molécule serait capable de retourner à la source froide et ne finirait pas par rester plaquée à la source chaude !?

L'illustration avec la boule et le condensateur c'est pareil : en ressortant la boule a moins d'énergie cinétique, le cycle ne peut pas marcher à l'infini !??
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par RealWheel » 25/06/10, 15:34

nlc a écrit :Phase 1 : accélération/réchauffement dans le champs d'attraction --> OK
Phase 2 : Refroidissement par accommodement thermique --> OK, les calories sont cédées à la source chaude
Phase 3 : Admettons...
Phase 4 : Je pige pas comment la molécule peut revenir toute seule jusque là, elle n'est plus attirée par le champ électrique de la source chaude !?


Il y a déjà un certain temps que j'ai étudié le mécanisme. Dans le mouvement Brownien d'agitation des molécules, la vitesse moyenne est associée à une température. Si une molécule a une vitesse plus faible que sa voisine, après le choc les deux vitesses sont uniformisées ainsi que les températures.

Le champ électrique pour les molécules au voisinage de la paroi se comporte comme un réchauffeur de gaz dans la phase d'accélération. Après avoir cédé une partie de son énergie cinétique (donc de sa chaleur à la source chaude), elle va conserver suffisamment d'énergie cinétique pour repartir en sens inverse en remontant le champ électrique contraire. Lorsque la molécule se sera extraite du champ électrique, elle aura une énergie cinétique plus faible que lors du chemin aller donc une température également plus faible.

Si la molécule peut s'extraire du champ électrique, c'est parce que la perte due au choc est très inférieure à celle qu'elle posséde dans la zone non influencée électriquement. Si la température moyenne des molécules était égale à T=O°K avant d'entrer dans le champ, ce ne serait évidemment plus possible.

Ensuite, la molécule va retrouver progressivement une température moyenne plus élevée par les chocs des molécules avoisinantes et le processus va se poursuivre.

Dans la pratique, le champ électrique n'apporte aucun travail effectif aux molécules (le travail fournit lors du trajet aller est perdu lors du trajet retour). Le champ électrique crée simplement un déséquilibre au niveau de la répartition statistique des chocs sur les deux plaques, d'où le transfert de chaleur.

C'est parce que je travaille personnellement sur d'autres machines surunitaires que j'ai été littéralement fasciné par le concept de cette machine.

Jean Luc BROCHET a précisé la manière de calculer le COP. La puissance dépensée par l'opérateur pour maintenir le champ électrique correspond aux pertes dans le diélectrique et sont donc très faibles. La puissance échangée par le gaz est relativement importante. J'ai dessiné pratiquement une telle machine sur la base des informations communiquées dans le document et je peux vous assurer qu'avec des dimensions très raisonnables on obtient une puissance de chauffe ou de climatisation tout à fait considérable.

Comme je n'ai malheureusement ni les compétences, ni le matériel nécessaire pour construire la plaque polarisée, je vais malheureusement rester sur ma faim durant de nombreuses années. Il est regrettable que les industriels français ou des universités ne s'intéressent pas à ce brevet. Comme je l'ai signalé dans un précédent post, il existe une véritable mise au ban de tous ceux qui s'intéressent à ce domaine. Les seuls invidualités ou sociétés qui engagent des travaux dans ce domaine sont Jean Louis NAUDIN, STEORN, SEARL (laboratoire en Indonésie partiellement financé par des français), une société hongroise. La société LUTEC ne semble pas beaucoup progresser vers la commercialisation de son moteur.
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par RealWheel » 25/06/10, 15:59

nlc a écrit :Sur la page 23, il y a "la mise en lumière" de l'aspect, mais justement ça met encore plus en lumière mon interrogation !!

:arrow: Le ballon arrive avec une vitesse élevée vers une planète --> OK
:arrow: Sous l'effet de la pesanteur il est accéléré --> OK
:arrow: Lors du choc il cède de l'énergie --> OK
:arrow: Il rebondit et ressort de l'atmosphère et à une vitesse cinétique moins élevée qu'en arrivant --> OK


:arrow: Le ballon n'a aucune dette vis à vis de la pesanteur --> OK, il est accéléré autant quand il arrive qu'il est freiné quand il ressort, bilan nul, je suis OK.

L'énergie qui est déposée sur terre vient donc de l'énergie cinétique initiale qu'avait le ballon avant d'arriver sur la planète --> OK :

Le problème c'est qu'en repartant son énergie cinétique est moindre, donc le coup d'après le cycle ne fonctionne plus, ou en tout cas s'atténue : le ballon rebondit jusqu'au moment où il n'a plus assez d'énergie cinétique pour ressortir de l'attraction de la pesanteur --> il reste plaqué au sol.

Pourquoi ça serait différent avec les molécules ? Pourquoi la molécule serait capable de retourner à la source froide et ne finirait pas par rester plaquée à la source chaude !?

L'illustration avec la boule et le condensateur c'est pareil : en ressortant la boule a moins d'énergie cinétique, le cycle ne peut pas marcher à l'infini !??


Votre démonstration est très intéressante mais vous oubliez que la molécule qui ressort du champ électrique va subir immédiatement des chocs des molécules voisinnes qui vont ramener progressivement son énergie cinétique à la même valeur que celle qu'elle avait précédemment.

Très simplement, la température tend à s'homogéniser à une valeur moyenne dans l'épaisseur non soumise au champ électrique. Le champ électrique crée donc une différence de température au voisinage de la paroi chaude qui va générer le flux de chaleur transmis entre les deux plaques.

Le processus d'agitation termique étant de nature statistique, il suffit de créer un déséquilibre (sans consommer de travail effectif autre que les pertes du diélectrique) pour générer ce flux d'énergie.

Sur une machine surunitaire d'un autre type, j'ai démontré qu'il est parfaitement possible de transformer une énergie potentielle statique (donc non susceptible de produire un travail en entrée de la machine) en énergie cinétique (capable de produire un travail net). Cette machine a été appelée convertisseur d'énergie statique en énergie cinétique. La machine viole la 3ième loi de Newton ce qui permet d'obtenir un torseur action des efforts différent du torseur réaction. Le COP est infini et la machine a un rendement d'environ 94% dans sa configuration standard. Aucune puissance auxiliaire n'est nécessaire au démarrage.

Je recherche des partenaires qui disposent de machines d'usinage (tours, fraiseuses) pour construire le prototype et qui soient capables d'élaborer les plans de fabrication avec tolérances de fabrication à partir d'un modèle 3D issu du logiciel SolidEdge. Le poids du prototype n'excéde pas 10 kg.
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par nlc » 25/06/10, 16:06

Merci pour ton explication, mais ça ne m'éclaire pas assez :

RealWheel a écrit :Il y a déjà un certain temps que j'ai étudié le mécanisme. Dans le mouvement Brownien d'agitation des molécules, la vitesse moyenne est associée à une température. Si une molécule a une vitesse plus faible que sa voisine, après le choc les deux vitesses sont uniformisées ainsi que les températures.


Jusque là je suis d'accord, plus la température est élevée, plus les molécules s'agitent. Et plus leur vitesse cinétique est importante. Mais les mouvements sont désordonnés, il n'y a rien à en tirer jusque là, on est d'accord ?

RealWheel a écrit :Le champ électrique pour les molécules au voisinage de la paroi se comporte comme un réchauffeur de gaz dans la phase d'accélération. Après avoir cédé une partie de son énergie cinétique (donc de sa chaleur à la source chaude), elle va conserver suffisamment d'énergie cinétique pour repartir en sens inverse en remontant le champ électrique contraire.


Jusque là je suis OK : le champ électrique qui a attiré la molécule l'accélère, elle s'échauffe en conséquence, elle percute la parois et cède un peu de son énergie cinétique à la source chaude, mais il en reste assez pour repartir et contrer le champ (dans ce cas l'énergie fournit à la source chaude provient bel et bien uniquement de l'énergie cinétique que la molécule avait avant d'arriver dans le champ électrique).

Lorsque la molécule se sera extraite du champ électrique, elle aura une énergie cinétique plus faible que lors du chemin aller donc une température également plus faible.

RealWheel a écrit :Si la molécule peut s'extraire du champ électrique, c'est parce que la perte due au choc est très inférieure à celle qu'elle posséde dans la zone non influencée électriquement. Si la température moyenne des molécules était égale à T=O°K avant d'entrer dans le champ, ce ne serait évidemment plus possible.


OK là dessus je suis toujours OK

RealWheel a écrit :Ensuite, la molécule va retrouver progressivement une température moyenne plus élevée par les chocs des molécules avoisinantes et le processus va se poursuivre.


C'est là que ça coince pour moi. Pour que cette théorie fonctionne, il faudrait que la molécule puisse se réchauffer, et que donc après son contact avec la source chaude et son extraction du champ électrique, sa température soit plus basse que celle de la source froide, n'est-ce pas ?
Sinon elle n'a pas la capacité à pomper la chaleur de la source froide n'est-ce pas !?

RealWheel a écrit :Dans la pratique, le champ électrique n'apporte aucun travail effectif aux molécules (le travail fournit lors du trajet aller est perdu lors du trajet retour).


Tout à fait, ça revient à l'exemple de la gravité/pesanteur dans le document (avec la boule qui vient de l'espace et rebondit).
Mais c'est bien là le problème ! La pesanteur et donc son homologue en champ électrique est statique, et pour moi la molécule ne peut que rebondir éventuellement plusieurs fois, mais le cycle ne peut pas être infini.
La seule façon d'exploiter la gravité c'est de faire monter un poids et exploiter ensuite son énergie potentielle à la descente. Mais il faut un travail préalable pour monter le poids.


RealWheel a écrit :Le champ électrique crée simplement un déséquilibre au niveau de la répartition statistique des chocs sur les deux plaques, d'où le transfert de chaleur.


Je pense que le transfert de chaleur finirait par se stabiliser et reviendrait au même que ce qu'on a sur terre avec la pesanteur : "forte" pression et "haute" température près du sol, et faible pression / basse température en altitude.
Il n'y a aucune raison que ce soit différent !!??
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par nlc » 25/06/10, 16:21

RealWheel a écrit :Votre démonstration est très intéressante mais vous oubliez que la molécule qui ressort du champ électrique va subir immédiatement des chocs des molécules voisinnes qui vont ramener progressivement son énergie cinétique à la même valeur que celle qu'elle avait précédemment.


Oui, à condition que quelque chose puisse stabiliser cette valeur moyenne en fournissant de l'énergie. En principe c'est le rôle de la source froide, dont on vient justement extraire les calories.

RealWheel a écrit :Très simplement, la température tend à s'homogéniser à une valeur moyenne dans l'épaisseur non soumise au champ électrique.


Oui mais il faut absolument que cette température moyenne soit inférieure à la température de la source froide non !!?
Sinon comment la source froide pourrait-elle fournir ses calories !?

RealWheel a écrit :Le champ électrique crée donc une différence de température au voisinage de la paroi chaude qui va générer le flux de chaleur transmis entre les deux plaques.


Moi je dirai plutôt que le champ électrique va générer un gradient de température et pression (comme l'atmosphère pour reprendre l'exemple de la doc), mais en aucun cas un flux de chaleur transmis de la source froide vers la source chaude

RealWheel a écrit :Sur une machine surunitaire d'un autre type, j'ai démontré qu'il est parfaitement possible de transformer une énergie potentielle statique (donc non susceptible de produire un travail en entrée de la machine) en énergie cinétique (capable de produire un travail net). Cette machine a été appelée convertisseur d'énergie statique en énergie cinétique. La machine viole la 3ième loi de Newton ce qui permet d'obtenir un torseur action des efforts différent du torseur réaction. Le COP est infini et la machine a un rendement d'environ 94% dans sa configuration standard. Aucune puissance auxiliaire n'est nécessaire au démarrage.


Mais je repose ma question que j'ai déjà posé plus haut : vous l'avez démontré comment, et à qui ?
Nous serions tous heureux ici pour voir le plan et discuter avec vous afin que vous nous expliquiez votre démonstration. Comme je l'ai dit je n'ai aucun a priori négatif sur la surunité, mais il faut du concret pour pouvoir discuter :D
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par Christophe » 25/06/10, 16:27

RealWheel a écrit :J'ai répondu par mail qu'il était dommageable pour l'image de l'école de ne pas donner foi aux propos d'un ancien (3ième de la promotion M79).


M79 comme Mécanicien Ensais 1979 ?

Oui le "pantone" n'a rien de surunitaire, c'est une amélioration de la combustion par prétraitement du carburant (dans sa phase "non dopage à l'eau"). N'empèche le concept n'a pas plus à tout le monde...
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