Le film matrix, ca vous dit rien ?
Plus ca va, plus j'ai l'impression que ce film devient realité !
La recette du purin d'ortie interdite...la liberté bientôt ?
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ex-océano a écrit :Il nous reste donc la diffusion d'info en parallèle.
Bon on le commence ce recueil de recettes interdites ?
Pour commencer : y a t-il un juriste dans la salle deja pour voir ce qu'"on" risque ?
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- Capt_Maloche
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Avant tout , il faut que chaque intervenant ait les coordonnées de tous les autres pour le cas où nous ne pourions plus nous joindre sur le forum
Les adresses e-mail, téléphones perso... sur une liste privée que nous nous ferons passer
Ensuite si problème avec l'état, faire intervenir ensemble les média et faire éclater le scandale, c'est le plus efficace.
En principe, receuillir et diffuser des recettes de mère nature ne devrait pas suffire à faire fermer un site.
De plus RIKA ZARAI le fait déja !!
Mais sérieusement, vous pensez vraiment que M. tout le monde va aller faire cueillette des orties pour faire son désherbant?
Notre action aura pour raison d'être de ne pas oublier les bonnes vieilles méthodes, une mémoire indispensable pour ne pas devenir trop dépendant en cas d'abus des "grands".
J'en suis
Pascal
Les adresses e-mail, téléphones perso... sur une liste privée que nous nous ferons passer
Ensuite si problème avec l'état, faire intervenir ensemble les média et faire éclater le scandale, c'est le plus efficace.
En principe, receuillir et diffuser des recettes de mère nature ne devrait pas suffire à faire fermer un site.
De plus RIKA ZARAI le fait déja !!
Mais sérieusement, vous pensez vraiment que M. tout le monde va aller faire cueillette des orties pour faire son désherbant?
Notre action aura pour raison d'être de ne pas oublier les bonnes vieilles méthodes, une mémoire indispensable pour ne pas devenir trop dépendant en cas d'abus des "grands".
J'en suis
Pascal
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"La consommation s'apparente à une recherche de consolation, un moyen de remplir un vide existentiel croissant. Avec, à la clé, beaucoup de frustration et un peu de culpabilisation, accrue par la prise de conscience écologique." (Gérard Mermet)
OUCH, OUILLE, AÏE, AAHH! ^_^
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ex-océano a écrit :La dernière herboristerie qui est à marseille va fermer. Le diplôme n'existe plus, il n'y a plus de chaires de pharmacognosie (médecine par les plantes) dans les facs de médecines. Par exemple, un de mes anciens profs de fac (il y a 21 ans...) Jean-Marie Pelt (l'Aventure des Plantes, l'Aventure de la Vie + des tas de bons bouquins) avait tenu la dernière chaire de pharmacognosie à la fac de médecine de Nancy.
Ah bon, tu as eu JM Pelt comme prof! J'ai été le voir l'année dernière à l'une de ces conférences. tu as fais tes études à Nancy alors ? tu es pharmacien ou bien ? Tu sais qu'il a fondé l'Institut Européen d'Ecologie ? Je l'ai interrogé sur sa capacité, via son Institut, à faire évoluer les choses en matière d'environnement mais sa réponse semblait désabusée, me faisant comprendre qu'il était impuissant à changer ça.
Aujourd'hui, les savoirs ancestraux sur ces remèdes naturels disparaissent. Il faut des diplômes pour enseigner ou préparer ou commercialiser. Mais on ne trouve que de plus en plus difficilement des ouvrages parlant de ces savoirs. Et on ne trouve plus personne capable (plutôt agréé par les autorités) pour les transmettre.
Eh oui, c'était pas bon pour la chimie pharmaceutique, comme l'homéopathie d'ailleurs qu'on tente de couler. Et aujourd'hui on va chercher des plantes tropicales à la cime des arbres pour étudier leurs molécules. Un éternel recommencement, à la différence que ces molécules ne seront plus à la portée de tous. Et pourtant si on laissait vivre ces "médecines" parallèles voire si on en faisait la promotion, la sécurité sociale ne s'en porterait que mieux, mais on ne pourrait plus justifier du trou pour faire perdurer les CSG et autres, qui servent par ailleurs à limiter la dette de l'Etat . Bon je m'égare, je me laisse emporter, désolé .
Il nous reste donc la diffusion d'info en parallèle.
Cela commence comme cela et puis après plus le droit de se faire de tisane, de chercher des plantes (non protégées), des fruits ou des champignons dans la nature (on peut s'empoisonner avec les champipi mon bon monsieur), de bouturer ses plantes ou de planter les graines issues de ses propres plantes (faut les acheter mon bon monsieur), plus le droit de pêcher ou de chasser. Pardon, la chasse oui, les chasseurs sont à la fois armés et très virulents quand on touche leurs privilèges...
Peut-être devrions nous l'être aussi (virulents) pour arrêter qu'on ne pense à notre place.
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Vidéo de TF1 du 15 septembre à ce propos (merci Loxo) :
https://www.econologie.com/file/videos/J ... 060915.wmv
Perso j'ai du mal à saisir les explications du ministere de l'agriculture à la fin...et vous ?
https://www.econologie.com/file/videos/J ... 060915.wmv
Perso j'ai du mal à saisir les explications du ministere de l'agriculture à la fin...et vous ?
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Christophe a écrit :Perso j'ai du mal à saisir les explications du ministere de l'agriculture à la fin...et vous ?
C'est normal, c'est incompréhensible.
Le peu que j'en ai compris est que ce monsieur ferait une distinction entre les produits utilisés à titre privé et les produits vendus.
Mais, si je ne raconte pas de conneries (si, si, de temps en temps, ça m'arrive ), la vente était déjà interdite auparavant.
Ma conclusion est que ces messieurs se sont fait griller en flagrant délit, que l'info commence à circuler un peu trop et que, du coup, ils sont obligés de s'expliquer. Comme ils n'ont aucune excuse valable, ils envoient un sous-fifre raconter n'importe quoi pour noyer le poisson et dire "on a pas été compris, on va clarifier le texte".
Le tout est de ne pas baisser la vigilance afin que cette parole soit tenue.
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"Celui qui croit qu'une croissance exponentielle peut continuer indéfiniment dans un monde fini est un fou, ou un économiste." K.E.Boulding
Christophe a écrit :Bon on le commence ce recueil de recettes interdites ?
Pour commencer : y a t-il un juriste dans la salle deja pour voir ce qu'"on" risque ?
Pour les recettes, j'en ai pas sous la main mais y'en a plein le web et franchement Christophe t'as pas besoin de pétocher pour si peu, un forum est un lieu d'échanges privés et comme le dit Capt Maloche, y'a des tas de bouquins qui existent déjà et on ne va pas pour autant poursuivre leurs auteurs. Peut-être brûlera-t-on ces livres dans qqs décennies mais d'ici là y'a encore un peu de temps.
Capt Maloche a écrit :Avant tout , il faut que chaque intervenant ait les coordonnées de tous les autres pour le cas où nous ne pourions plus nous joindre sur le forum
Les adresses e-mail, téléphones perso... sur une liste privée que nous nous ferons passer.
Bon bah faut espérer qu'on n'a pas de membre infiltré sur le forum.
Paraît que chez Attac, ça arrive.
Ensuite si problème avec l'état, faire intervenir ensemble les média et faire éclater le scandale, c'est le plus efficace.
Pourquoi pas le faire tout de suite
[Modif Modo Targol]Correction des quotes[/modif Modo Targol]
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Voila un article du Monde:
l'industrie du desherbant est vraiment de mauvaise foie.
Le président de la République va-t-il sauver le purin d'ortie ? L'association des Amis de cette urticacée qui, le 12 septembre, en a appelé à Jacques Chirac l'espère vivement. L'affaire, qui n'a rien d'un mauvais calembour, fait suite à l'interrogation par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) d'Eric Petiot, paysagiste-élagueur à Crozet (Ain) et coauteur du livre Purin d'ortie et compagnie (95 pages, 15 euros, Editions Terran).
Sa faute : avoir fait la promotion du purin d'ortie. Les inspecteurs ont saisi à son domicile des écrits aux titres aussi sulfureux que "Les plantes pour soigner les arbres". Milieux écologistes et tenants de l'agriculture biologique se sont aussitôt mobilisés et dénoncent l'absurdité de la démarche de la DGCCRF.
En fait, les fonctionnaires ne font qu'appliquer la loi d'orientation agricole de janvier 2006. Son article 253-1 et 7 spécifie que "sont interdites sur le marché l'utilisation et la détention par l'utilisateur final des produits phytopharmaceutiques s'ils ne bénéficient pas d'une autorisation de mise sur le marché (...). Toute publicité commerciale ou toute recommandation pour les produits (concernés) ne peuvent porter que sur des produits bénéficiant d'une autorisation de mise sur le marché".
Le purin d'ortie, mais aussi les préparations à base de fougères, pissenlits, sureau, consoude, utilisées en agriculture biologique, sont donc hors la loi puisqu'elles ne sont pas homologuées. Pourtant, fait remarquer Bernard Bertrand, cosignataire du livre de M. Petiot, "ce sont des produits qu'on utilise depuis des générations et qui sont 100 % biodégradables et sans nuisance". Leur appliquer la même procédure d'homologation que celles que suivent les pesticides chimiques pèserait sur leur prix, alors qu'ils ne sont cultivés et fabriqués que par de petits exploitants agricoles.
Les fabricants des pesticides de synthèse ne partagent pas ce point de vue : "Si un acteur vend un produit de synthèse ou naturel, il doit prouver qu'il est régulier en qualité et en efficacité, estime Jean-Charles Bocquet, directeur de l'Union des industries de protection des plantes. Et cela implique un minimum de tests." Quoi qu'il en soit, constate Bernard Bertrand, "La loi est passée, on n'a plus de recours." Sauf celui d'une mobilisation publique.
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0 ... 189,0.html
Bon où est la pétition.
Le livre a l'air bien:
Eric Petiot, paysagiste-élagueur à Crozet (Ain) et coauteur du livre Purin d'ortie et compagnie (95 pages, 15 euros, Editions Terran).
l'industrie du desherbant est vraiment de mauvaise foie.
Le président de la République va-t-il sauver le purin d'ortie ? L'association des Amis de cette urticacée qui, le 12 septembre, en a appelé à Jacques Chirac l'espère vivement. L'affaire, qui n'a rien d'un mauvais calembour, fait suite à l'interrogation par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) d'Eric Petiot, paysagiste-élagueur à Crozet (Ain) et coauteur du livre Purin d'ortie et compagnie (95 pages, 15 euros, Editions Terran).
Sa faute : avoir fait la promotion du purin d'ortie. Les inspecteurs ont saisi à son domicile des écrits aux titres aussi sulfureux que "Les plantes pour soigner les arbres". Milieux écologistes et tenants de l'agriculture biologique se sont aussitôt mobilisés et dénoncent l'absurdité de la démarche de la DGCCRF.
En fait, les fonctionnaires ne font qu'appliquer la loi d'orientation agricole de janvier 2006. Son article 253-1 et 7 spécifie que "sont interdites sur le marché l'utilisation et la détention par l'utilisateur final des produits phytopharmaceutiques s'ils ne bénéficient pas d'une autorisation de mise sur le marché (...). Toute publicité commerciale ou toute recommandation pour les produits (concernés) ne peuvent porter que sur des produits bénéficiant d'une autorisation de mise sur le marché".
Le purin d'ortie, mais aussi les préparations à base de fougères, pissenlits, sureau, consoude, utilisées en agriculture biologique, sont donc hors la loi puisqu'elles ne sont pas homologuées. Pourtant, fait remarquer Bernard Bertrand, cosignataire du livre de M. Petiot, "ce sont des produits qu'on utilise depuis des générations et qui sont 100 % biodégradables et sans nuisance". Leur appliquer la même procédure d'homologation que celles que suivent les pesticides chimiques pèserait sur leur prix, alors qu'ils ne sont cultivés et fabriqués que par de petits exploitants agricoles.
Les fabricants des pesticides de synthèse ne partagent pas ce point de vue : "Si un acteur vend un produit de synthèse ou naturel, il doit prouver qu'il est régulier en qualité et en efficacité, estime Jean-Charles Bocquet, directeur de l'Union des industries de protection des plantes. Et cela implique un minimum de tests." Quoi qu'il en soit, constate Bernard Bertrand, "La loi est passée, on n'a plus de recours." Sauf celui d'une mobilisation publique.
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0 ... 189,0.html
Bon où est la pétition.
Le livre a l'air bien:
Eric Petiot, paysagiste-élagueur à Crozet (Ain) et coauteur du livre Purin d'ortie et compagnie (95 pages, 15 euros, Editions Terran).
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Jean-Charles Bocquet, pollueur patenté désirant gagner encore plus de pognon a écrit :Si un acteur vend un produit de synthèse ou naturel, il doit prouver qu'il est régulier en qualité et en efficacité, Et cela implique un minimum de tests.
Mais qui parle de vendre : la loi interdit la diffusion de la recette ou même de la faire soi-même : la mauvaise foi dans cette affaire est vraiment de mise !!!
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"Celui qui croit qu'une croissance exponentielle peut continuer indéfiniment dans un monde fini est un fou, ou un économiste." K.E.Boulding
- elephant
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- Localisation : Charleroi, centre du monde....
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Y a un autre problème:
toutes ces certifications coûtent (horriblement ) cher.
T'es un industriel, tu peux payer pour pouvoir commercialiser le produit.
T'es un particulier......
faire imposer un inventaire des produits naturels par un groupe de parlementaires ne suffirait pas: il y aurait toujours bien une recette de grand mère que l'on aurait oublié !
Il faudrait trouver une définition ( par exemple l'existence dans la presse pour prouver une antériorité d'usage) et encore cà ne veut pas dire charette: j'ai déjà évoqué dans ce forum une mini liste de ... poisons 100 % naturels.
toutes ces certifications coûtent (horriblement ) cher.
T'es un industriel, tu peux payer pour pouvoir commercialiser le produit.
T'es un particulier......
faire imposer un inventaire des produits naturels par un groupe de parlementaires ne suffirait pas: il y aurait toujours bien une recette de grand mère que l'on aurait oublié !
Il faudrait trouver une définition ( par exemple l'existence dans la presse pour prouver une antériorité d'usage) et encore cà ne veut pas dire charette: j'ai déjà évoqué dans ce forum une mini liste de ... poisons 100 % naturels.
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éléphant: suprême éconologue honoraire..... pcq je suis trop frileux, pas assez riche et trop paresseux pour économiser vraiment le CO2 ! http://www.caroloo.be
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